Sarah Connor ?
(Pourquoi cette question ? Facile, Maënora is back)
Oh, « Dugenou », tu veux une confidence ?
Pas besoin de sortir de la cuisse de Jupiter, pour dire que TALON c'est le pied !
La vrai traduction « serre » (une papatte de rapace), si cela se voit sur l'eponym 2002 ; pochette qui n'est pas restée dans les annales (avec deux « n ») on notera que celle-ci est beaucoup plus jolie.
Pour comprendre un vin, on peut dans un premier temps s’intéresser aux cépages qui le composent, la région où il est élaboré et … qui l’assemble.
Ici, c’est la même chose ; alors on dira que ce groupe à un petit gout de Victory (période Culture Killed The Native). Pour l’assemblage pas de fruits pourris, ça joue sévère.
Du bon Hard–Rock avec les guitares qui vont biens, le hurleur adapté et un combo’ qui délivre des compositions dites de groupe. C'est l'ensemble qui trône !
Dès l’entame on monte plein pot dans les tours, le second , troisième et quatrième morceaux viennent adoucir le flacon pour se rapprocher d’un bon heavy-mélodique, typé Pride (le combo British, hélas disparu). Pour l’amoureu/se/x du hard (*) – heavy de la fin des 80, je lui promets des riffs acérés. Il y a un peu de copié/collé à l’esprit des premiers George Lynch. Des solos inspirés, la voix reste l’identité de ce TALON ; ce qui pourrait se révéler son point faible, pour les gens qui s’hérissent devant les hurleurs du style. Pour moi, … No problémo ! Si j’ai cité Victory, ce n’est pas un hasard ; on retrouve des intonations hispaniques, qui viennent donner une couleur différente.
(-) Pour l'amoureuse du Hard x, il y a erreur sur la matière ; désolé !!!
La présence de Mr Jeff Scott SOTO, permet de mesurer le talent du chanteur du groupe ; et pourtant Jeff se voit offrir là un superbe titre, pulsé ; et ... bizarrement sur ce titre c’est la gratte qui tire la vedette. Voilà, cependant, un voyage qu'il n’aura pas fait pour rien. Un morceau, que j’aurai aimé ré entendre en bonus en fin d'album et en version 100% Talon. Musique plus voix, par exemple en variante Live.
Maybe One Day, la ballade acoustique ; est somptueuse ; la voix de Shawn Pelata ferait presque oublier le passage de Jeff. Et comme ils nous y ont si bien habitué, ce morceau ne serait pas apothéose, sans son solo hyper mélodique, que je trouve là digne d’un Mike Slamer.
You don’t Know Me At All, permet de conforter mes dires : le son est très proche des Dokken ; même la batterie est mixé à … l’ancienne. Pour vous assurer de la « mélodicité » de ce combo, je vous garantit des youuyouu en chœurs sur des refrains.
Walk Away, encore un titre pulsé. L’impression d’être au volant dans un jeu vidéo, sauf que Maënora il ne joue pas. Mais pour les amoureux du canapé & des escarres du fion, je vous offre une bande son !
Brothers, oh ! Re ballade, des fois que vous auriez eu du mal à conclure sur le « Maybe One Day » l’occasion de vous racheter, le piano venant apporter sa part d’ambiance. Dans la retenue, on apprécie d’autant plus les chanteurs puissants. Et pareil pour les six cordistes dignes de ce nom !
When Will I, c’est l’âme de cet opus ; un morceau typiquement PRIDE … Je me régale, un style pas très développé sur la scène actuelle. Je vous rassure, cela ne sonne pas trop américain, trop scandinave. Il y a ce petit plus, que l’on trouve dans certains bons groupes anglais. Quatre minutes qu’on ne voit pas passer.
Une intro à l’inspiration des Maiden firsts. Plus adoucit, avec une rythmique pas si éloigné d’un Seek and Destroy (oui ! des Four Hoursemen) … mais plus adoucit, (je me répète si je veux !) avec une bonne lourdeur dans la composition et un bon solo encore une fois … De toute beauté !!! Un groupe qu’il faudrait assurément voir en Live.
Pour l’apothéose, petite reprise ; pardon GRANDE reprise « Jane » de Jefferson Starship … si le morceau sonne Talon ; il en garde son essence originelle. Toutes les qualités de ce groupe, se mesure sur ce titre. Il a été déterré, dépoussiéré / caressé et cette nouvelle jeunesse offerte, lui confère toute sa magie d’antan ; bel hommage !!!
Pour conclure, je vous assure d’une chose, pas d’amertume ni de gout de bouchon et vous pouvez boire à même le goulot … C’est du Hard !
La vrai traduction « serre » (une papatte de rapace), si cela se voit sur l'eponym 2002 ; pochette qui n'est pas restée dans les annales (avec deux « n ») on notera que celle-ci est beaucoup plus jolie.
Pour comprendre un vin, on peut dans un premier temps s’intéresser aux cépages qui le composent, la région où il est élaboré et … qui l’assemble.
Ici, c’est la même chose ; alors on dira que ce groupe à un petit gout de Victory (période Culture Killed The Native). Pour l’assemblage pas de fruits pourris, ça joue sévère.
Du bon Hard–Rock avec les guitares qui vont biens, le hurleur adapté et un combo’ qui délivre des compositions dites de groupe. C'est l'ensemble qui trône !
Dès l’entame on monte plein pot dans les tours, le second , troisième et quatrième morceaux viennent adoucir le flacon pour se rapprocher d’un bon heavy-mélodique, typé Pride (le combo British, hélas disparu). Pour l’amoureu/se/x du hard (*) – heavy de la fin des 80, je lui promets des riffs acérés. Il y a un peu de copié/collé à l’esprit des premiers George Lynch. Des solos inspirés, la voix reste l’identité de ce TALON ; ce qui pourrait se révéler son point faible, pour les gens qui s’hérissent devant les hurleurs du style. Pour moi, … No problémo ! Si j’ai cité Victory, ce n’est pas un hasard ; on retrouve des intonations hispaniques, qui viennent donner une couleur différente.
(-) Pour l'amoureuse du Hard x, il y a erreur sur la matière ; désolé !!!
La présence de Mr Jeff Scott SOTO, permet de mesurer le talent du chanteur du groupe ; et pourtant Jeff se voit offrir là un superbe titre, pulsé ; et ... bizarrement sur ce titre c’est la gratte qui tire la vedette. Voilà, cependant, un voyage qu'il n’aura pas fait pour rien. Un morceau, que j’aurai aimé ré entendre en bonus en fin d'album et en version 100% Talon. Musique plus voix, par exemple en variante Live.
Maybe One Day, la ballade acoustique ; est somptueuse ; la voix de Shawn Pelata ferait presque oublier le passage de Jeff. Et comme ils nous y ont si bien habitué, ce morceau ne serait pas apothéose, sans son solo hyper mélodique, que je trouve là digne d’un Mike Slamer.
You don’t Know Me At All, permet de conforter mes dires : le son est très proche des Dokken ; même la batterie est mixé à … l’ancienne. Pour vous assurer de la « mélodicité » de ce combo, je vous garantit des youuyouu en chœurs sur des refrains.
Walk Away, encore un titre pulsé. L’impression d’être au volant dans un jeu vidéo, sauf que Maënora il ne joue pas. Mais pour les amoureux du canapé & des escarres du fion, je vous offre une bande son !
Brothers, oh ! Re ballade, des fois que vous auriez eu du mal à conclure sur le « Maybe One Day » l’occasion de vous racheter, le piano venant apporter sa part d’ambiance. Dans la retenue, on apprécie d’autant plus les chanteurs puissants. Et pareil pour les six cordistes dignes de ce nom !
When Will I, c’est l’âme de cet opus ; un morceau typiquement PRIDE … Je me régale, un style pas très développé sur la scène actuelle. Je vous rassure, cela ne sonne pas trop américain, trop scandinave. Il y a ce petit plus, que l’on trouve dans certains bons groupes anglais. Quatre minutes qu’on ne voit pas passer.
Une intro à l’inspiration des Maiden firsts. Plus adoucit, avec une rythmique pas si éloigné d’un Seek and Destroy (oui ! des Four Hoursemen) … mais plus adoucit, (je me répète si je veux !) avec une bonne lourdeur dans la composition et un bon solo encore une fois … De toute beauté !!! Un groupe qu’il faudrait assurément voir en Live.
Pour l’apothéose, petite reprise ; pardon GRANDE reprise « Jane » de Jefferson Starship … si le morceau sonne Talon ; il en garde son essence originelle. Toutes les qualités de ce groupe, se mesure sur ce titre. Il a été déterré, dépoussiéré / caressé et cette nouvelle jeunesse offerte, lui confère toute sa magie d’antan ; bel hommage !!!
Pour conclure, je vous assure d’une chose, pas d’amertume ni de gout de bouchon et vous pouvez boire à même le goulot … C’est du Hard !
Label : | Escape Music |
Sortie : | 2011 |
Production : | TALON & Ty Sims John Parker et Kory Voxen |
Discographie : |
III (2011) |
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Comments:
Commentaires
TALON, y'a pas à dire : "Ces gars en ont sous le pied !" De temps en temps, moins de pouets - pouets & + de distors' ... cela fait du bien ; là où ça passe !
Allez, je retourne mettre l'ampli dans le rouge. Histoire de provoquer l'exode au voisinage ;-D
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