Il nous propose ici son deuxième opus sobrement et avec une certaine logique appelé II. La première surprise à l’écoute des premières notes de Forever Free, c’est le son des claviers mis en avant, un son très 80 que les détracteurs pourront comparer à une celui de vieux jeux style console Nintendo, voire Bontempi ! Donc avis aux allergiques à ce son, il tourne en boucle tout l’album, cela vous sera insupportable !
Pour les autres, et j’en suis, cela devrait aller, c’est un petit peu dans la tradition de Brother Firetribe. Et c’est tout à l’honneur du ”frontman” Alexandre Oriz de ne pas mettre sa guitare en avant, il nous la joue collectif, ses riffs et soli, au demeurant très bons, étant au même niveau que les autres instruments. Si sur Desert Rider, le clavier est un peu éteint, cela repart de plus belle sur Put Out The Flame, et couplé avec un refrain mémorable presque pop et des riffs bien appuyés, j’avoue que le mélange prend bien à mon goût. Après quelques autres tubes comme This Feeling , Broken, ou Living, Alexandre s’autorise un instrumental prétexte à mettre sa guitare un peu en avant, mettant Mattias Eriksson au repos, Mattias qui n’est pas le meilleur des chanteurs, loin s'en faut, correct sans plus !
Au final et malgré de petits défauts, cet album est plutôt agréable à condition d’en apprécier le son des claviers (la vidéo ci-dessous donne un bon aperçu) et d’avoir la nostalgie des années 80.
Pour les autres, et j’en suis, cela devrait aller, c’est un petit peu dans la tradition de Brother Firetribe. Et c’est tout à l’honneur du ”frontman” Alexandre Oriz de ne pas mettre sa guitare en avant, il nous la joue collectif, ses riffs et soli, au demeurant très bons, étant au même niveau que les autres instruments. Si sur Desert Rider, le clavier est un peu éteint, cela repart de plus belle sur Put Out The Flame, et couplé avec un refrain mémorable presque pop et des riffs bien appuyés, j’avoue que le mélange prend bien à mon goût. Après quelques autres tubes comme This Feeling , Broken, ou Living, Alexandre s’autorise un instrumental prétexte à mettre sa guitare un peu en avant, mettant Mattias Eriksson au repos, Mattias qui n’est pas le meilleur des chanteurs, loin s'en faut, correct sans plus !
Au final et malgré de petits défauts, cet album est plutôt agréable à condition d’en apprécier le son des claviers (la vidéo ci-dessous donne un bon aperçu) et d’avoir la nostalgie des années 80.
Label : | DOOLITTLE GROUP/ LILJEGREN RECORDS |
Sortie : | 13/11/2011 |
Production : | n/a |
Blue Topaz (2009) II (2011) |
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