Dans le genre va falloir quand même y aller pour faire mieux, voire aussi bien !!!
Vous prenez Jack Blades à la basse qu’on ne présente plus, Doug Aldrich à la gratte qu’on ne présente plus non plus et Deen Castronovo au chant et à la batterie qu’on ne présente plus itou. Vous montez avec ces 3 compères un projet baptisé Revolution Saints. Vous appelez le grand manitou du label Frontiers, Alessandro Del Vecchio pour les compos et le prod et vous sortez sur le label Italien, le premier album éponyme. Bien sûr vous conviez quelques guests comme Armel Pineda, Neal Schon ou bien Erik Martensson sur quelques compos.
A l’arrivée, ce Revolution est un mix entre Journey (pour une fois la comparaison tient !!!) et des projets plus récents comme WET ou Eclipse. Quand on mélange de la merde avec de la merde cela donne …. De la merde. A l’inverse quand on mélange du bon avec du bon ça donne …. Du très bon. Déjà très bon car on a à faire à 3 musiciens d’exceptions qui n’ont plus rien à prouver. Parce qu’on redécouvre combien Castronovo peut être un grand vocaliste aperçu parfois chez Journey sur le Mother Father par exemple en live. On découvre que Aldrich est plus qu’un gratteux de hard et qu’il peut se fondre aisément dans un registre plus AOR. On comprend aussi pourquoi Del Vecchio est indispensable à Frontiers tellement ce type à un talent de composition certain et sait parfaitement adapter ses morceaux en fonction des types qu’il a en face de lui.
En effet, tout est calibré au pied à coulisse. D’un côté des titres très rythmés et de l’autre des balades toutes plus langoureuses les unes que les autres. Difficile de ressortir quelques titres par rapport à d’autres tellement cet album est de qualité.
Si on se risque on peut commencer par le brulot d’ouverture écrit par Del Vecchio mais qui sonne très Eclipse et Wet sur le couplet puis Journey sur le refrain, j’ai nommé Back On My Trail qui représente bien les deux facettes de l’opus. Plus FM encore et absolument imparable Turn Back Time qui lui lorgne ostensiblement du côté du groupe de Neal Schon. Del Vecchio et Jack Blades sont aux commandes de ce titre qui postule pour être un des hymnes de l’année. Au rayon balade, elles sont toutes de qualité mais un accessit tout de même au superbe Don’t Walk Away ou la voix de Castronovo fait des ravages, un titre qui vous met les poils. Je terminerai par l’excellent Dream On ou on retrouve Del Vecchio, Blades mais aussi Martensson à l’écriture. Plus on est de fous !!! Putain là aussi on n’est pas loin d’un titre de l’année. On aurait pu citer la reprise d’Eclipse, To Mend A Broken Heart très fidèle à l’originale ou bien le superbe duo avec Armel Pineda sur la balade You’re Not Alone et puis le reste...
Frontiers vient de frapper un grand coup en ce début d’année. Franchement, je suis impatient de voir les commentaires des grincheux qui seraient passés à côté de ce petit bijou !!!
A l’arrivée, ce Revolution est un mix entre Journey (pour une fois la comparaison tient !!!) et des projets plus récents comme WET ou Eclipse. Quand on mélange de la merde avec de la merde cela donne …. De la merde. A l’inverse quand on mélange du bon avec du bon ça donne …. Du très bon. Déjà très bon car on a à faire à 3 musiciens d’exceptions qui n’ont plus rien à prouver. Parce qu’on redécouvre combien Castronovo peut être un grand vocaliste aperçu parfois chez Journey sur le Mother Father par exemple en live. On découvre que Aldrich est plus qu’un gratteux de hard et qu’il peut se fondre aisément dans un registre plus AOR. On comprend aussi pourquoi Del Vecchio est indispensable à Frontiers tellement ce type à un talent de composition certain et sait parfaitement adapter ses morceaux en fonction des types qu’il a en face de lui.
En effet, tout est calibré au pied à coulisse. D’un côté des titres très rythmés et de l’autre des balades toutes plus langoureuses les unes que les autres. Difficile de ressortir quelques titres par rapport à d’autres tellement cet album est de qualité.
Si on se risque on peut commencer par le brulot d’ouverture écrit par Del Vecchio mais qui sonne très Eclipse et Wet sur le couplet puis Journey sur le refrain, j’ai nommé Back On My Trail qui représente bien les deux facettes de l’opus. Plus FM encore et absolument imparable Turn Back Time qui lui lorgne ostensiblement du côté du groupe de Neal Schon. Del Vecchio et Jack Blades sont aux commandes de ce titre qui postule pour être un des hymnes de l’année. Au rayon balade, elles sont toutes de qualité mais un accessit tout de même au superbe Don’t Walk Away ou la voix de Castronovo fait des ravages, un titre qui vous met les poils. Je terminerai par l’excellent Dream On ou on retrouve Del Vecchio, Blades mais aussi Martensson à l’écriture. Plus on est de fous !!! Putain là aussi on n’est pas loin d’un titre de l’année. On aurait pu citer la reprise d’Eclipse, To Mend A Broken Heart très fidèle à l’originale ou bien le superbe duo avec Armel Pineda sur la balade You’re Not Alone et puis le reste...
Frontiers vient de frapper un grand coup en ce début d’année. Franchement, je suis impatient de voir les commentaires des grincheux qui seraient passés à côté de ce petit bijou !!!
Année:2015
Label:Frontiers
Production:Alessandro Del Vecchio
Un titre complet à voir ICI..
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