Au bout d’un moment la prose s’estompe !!!!
On se dit « putain qu’est ce que je vais bien écrire encore au sujet de LAD cette année ??? ». Neuvième album en 8 ans d’existence et autant de chroniques qui vont avec. Alors on cherche, la nouveauté, le changement de style, les compos supérieures aux précédents et franchement c’est un casse-tête.
En effet, le groupe ne sort que rarement de mauvais album ça va du moyen au très bon mais souvent on aimerait une petite pause dans la discographie tellement un album de LAD ressemble à un autre album de LAD. Personnellement, j’ai toujours aimé et suivi le groupe depuis le début en ayant la totalité de la disco mais je risque peut être à la longue de me lasser.
Pour ce Nine Lives, on reste dans ce que sait faire LAD c’est-à-dire un mélange savant d’AOR matinée de bonnes guitares, un gros son et un petit côté pop parfois. Ce dernier opus n’est pas sur la totalité le meilleur essai du groupe. Je le qualifierais de bancal. Pourtant, on retrouve peut être ici certains de leurs meilleurs morceaux, j’ai nommé In A Perfect World qui ouvre le CD de façon magistrale avec ce riff de guitare qu’on n’oublie pas et ce refrain entêtant qui est la marque de fabrique d’un vrai Hit. Il y a aussi le duo avec Jeff Scott Soto, The Last To Know qui lui aussi est vraiment très réussi et rentre définitivement dans la tête. Au rayon des bons titres on peut citer aussi Angel Eyes et All I Can Think Of qui sont dans la lignée de ce que sait faire le groupe de façon très pro. Par contre on s’ennuie un peu sur Nine Lives, Merry Go Round ou bien Golden Cage qui sans être de mauvais titres sont très passe partout et font ressortir peut être un manque d’inspiration. Les musiciens sont toujours au top et Erlandsson assure vocalement mais il manque quelsque chose à la différence de Yes sorti l’an dernier que je trouvais plus abouti et surtout meilleur dans sa globalité. Ce que j’avais déjà souligner sur les précédents, c’est que les meilleurs titres sont écrits par Jamie Borger comme We Never Said Goodbye. Il écrit la moitié de l’album et ce sont les meilleurs morceaux qui se détachent franchement de ceux écrits par Erlandsson.
Peut-être que le groupe devrait laisser totale liberté au batteur afin qu’il ponde un opus entier tellement ce type a le sens de la mélodie. Au final, ce Nine Lives demeure très recommandable et ne fera pas tâche au milieu des autres même si ce n’est pas celui que vous ressortirez le plus souvent. Allez on se donne rendez-vous début d’année prochaine pour la prochaine fournée à moins qu’ils nous pondent un live avant !!!!
En effet, le groupe ne sort que rarement de mauvais album ça va du moyen au très bon mais souvent on aimerait une petite pause dans la discographie tellement un album de LAD ressemble à un autre album de LAD. Personnellement, j’ai toujours aimé et suivi le groupe depuis le début en ayant la totalité de la disco mais je risque peut être à la longue de me lasser.
Pour ce Nine Lives, on reste dans ce que sait faire LAD c’est-à-dire un mélange savant d’AOR matinée de bonnes guitares, un gros son et un petit côté pop parfois. Ce dernier opus n’est pas sur la totalité le meilleur essai du groupe. Je le qualifierais de bancal. Pourtant, on retrouve peut être ici certains de leurs meilleurs morceaux, j’ai nommé In A Perfect World qui ouvre le CD de façon magistrale avec ce riff de guitare qu’on n’oublie pas et ce refrain entêtant qui est la marque de fabrique d’un vrai Hit. Il y a aussi le duo avec Jeff Scott Soto, The Last To Know qui lui aussi est vraiment très réussi et rentre définitivement dans la tête. Au rayon des bons titres on peut citer aussi Angel Eyes et All I Can Think Of qui sont dans la lignée de ce que sait faire le groupe de façon très pro. Par contre on s’ennuie un peu sur Nine Lives, Merry Go Round ou bien Golden Cage qui sans être de mauvais titres sont très passe partout et font ressortir peut être un manque d’inspiration. Les musiciens sont toujours au top et Erlandsson assure vocalement mais il manque quelsque chose à la différence de Yes sorti l’an dernier que je trouvais plus abouti et surtout meilleur dans sa globalité. Ce que j’avais déjà souligner sur les précédents, c’est que les meilleurs titres sont écrits par Jamie Borger comme We Never Said Goodbye. Il écrit la moitié de l’album et ce sont les meilleurs morceaux qui se détachent franchement de ceux écrits par Erlandsson.
Peut-être que le groupe devrait laisser totale liberté au batteur afin qu’il ponde un opus entier tellement ce type a le sens de la mélodie. Au final, ce Nine Lives demeure très recommandable et ne fera pas tâche au milieu des autres même si ce n’est pas celui que vous ressortirez le plus souvent. Allez on se donne rendez-vous début d’année prochaine pour la prochaine fournée à moins qu’ils nous pondent un live avant !!!!
Label : | Avalon | |
Sortie : | 2011 | |
Production: |
|
Discographie : |
Last Autumn's Dream (2004) |
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Comments:
Commentaires
Ses interventions sur les albums de la bande à Denander, également. Cependant ... On en parlait avec mon ami Fab' il y a 8 jours (env.) et je l'informais de qques difficultés : d'une : de faire tourner l'album ; deux : de ne pas arrêter les morceaux après les solos ; trois : voire stopper l'album avant la fin ! Les lignes de grattes sont noyées dans une production mettant trop en avant la sonorité de la batterie. Jamie aurait aurait gagné à muscler son jeu ! Il doit passer trop de temps à composer il en oublie qu'il est batteur, ou quoi ? Je prendrai un exemple, pour ceux qui comme moi se délectent d'un Porcupine Tree ; il arrive parfois que le solo se trouve absorbé en partie par la batterie ... Mais uniquement car le jeu de frappe est sublissime ; pas mixé comme un pied ! Comme Fab' je trouve un côté bancal (mais ++), des morceaux légèrement copiés / collés sur d'autres albums ; que ce soit dans LAD ou Michael Erlandsson solo.
Un conseil les amis de LAD, trois ans de vacances ; 50 compos et 11 sur le prochain album. Là j'ai l'impression d'écouter un opus de démos sortie d'un carton de garage. P#tain, je ne pensais pas dire ça un jour de LAD. Même Andy, n'arrive pas à me faire oublier le côté gnangnan de certains titres. Allez on oublie et on écoute les anciens ; il y a de quoi faire !
J'ai la réponse,ce disque est vraiment excellent et je ne suis pas d'accord avec Fab sur des titres comme Nine Lives que je trouve vraiment réussi.
Je le rejoins sur le fait que le groupe pourrait s'offrir une pause et essayer de se renouveler un tantinet, mis à part çà, c'est du tout bon.
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