Il y a des artistes et des groupes qui assument réellement leur filiation et dès qu’on met l’album sur la platine ça nous saute aux oreilles.
Je préfère d’ailleurs ce genre de combo qui parfois font un copié collé de leurs idoles plutôt que ceux, plus faux cul, qui ressemblent sans le dire. Je pense à Grand Design avec Def leppard et maintenant à The Explorers Club avec les Beach Boys. Ces Américains de Caroline du Sud assument leur amour de la bande à Brian Wilson, c’est le moins que l’on puisse dire.
Rien que la pochette de Freddom Winds leur premier essai de 2008 est un hommage très appuyé à celle de 1964 des Boys avec l’opus All Summer Long. Mais s’il n’y avait que la pochette !!!
Que nenni, car nos amis poussent le mimétisme dans la façon de composer, dans la qualité des mélodies mais aussi dans le travail sur les voix. Pour se mettre totalement au diapason, ils ne disposent pas non plus d’un physique avantageux comme leurs glorieux ainés et ils sont loin de faire les pop stars.
Bref, après un premier opus remarquable, un second Grand Hôtel de 2012 moins Beach Boys mais très ancré tout de même années 60 avec des réminiscences au musique des films de Tarantino ou à Burt Bacharach, revoilà nos Explorers en 2016 avec Together qui la aussi propose une pochette rappelant le Friends de 68 des Boys. On revient ici avec du lourd, du très lourd. Personnellement, j’adore ce groupe et je me régale des mélodies sucrées aux vocaux magnifiques. Les Together, Once In A While ou California’s Callin Ya sont tous absolument parfaits. Alors de temps en temps le soufflé retombe un peu sur des titres plus lents comme avec Before I’m Gone mais au final on s’en tape. Comme avec les garçons de la plage, The Explorers a aussi son Bryan Wilson en la personne de Jason Brewer multi instrumentiste et compositeur émérite. Il y a aussi un autre gars dont j’avais adoré le premier album solo Wyatt Funderburk et qui fait étalage la aussi de toute sa classe.
Un vrai régal pour les oreilles pour peu que les Beach Boys parlent aux gens.
Rien que la pochette de Freddom Winds leur premier essai de 2008 est un hommage très appuyé à celle de 1964 des Boys avec l’opus All Summer Long. Mais s’il n’y avait que la pochette !!!
Que nenni, car nos amis poussent le mimétisme dans la façon de composer, dans la qualité des mélodies mais aussi dans le travail sur les voix. Pour se mettre totalement au diapason, ils ne disposent pas non plus d’un physique avantageux comme leurs glorieux ainés et ils sont loin de faire les pop stars.
Bref, après un premier opus remarquable, un second Grand Hôtel de 2012 moins Beach Boys mais très ancré tout de même années 60 avec des réminiscences au musique des films de Tarantino ou à Burt Bacharach, revoilà nos Explorers en 2016 avec Together qui la aussi propose une pochette rappelant le Friends de 68 des Boys. On revient ici avec du lourd, du très lourd. Personnellement, j’adore ce groupe et je me régale des mélodies sucrées aux vocaux magnifiques. Les Together, Once In A While ou California’s Callin Ya sont tous absolument parfaits. Alors de temps en temps le soufflé retombe un peu sur des titres plus lents comme avec Before I’m Gone mais au final on s’en tape. Comme avec les garçons de la plage, The Explorers a aussi son Bryan Wilson en la personne de Jason Brewer multi instrumentiste et compositeur émérite. Il y a aussi un autre gars dont j’avais adoré le premier album solo Wyatt Funderburk et qui fait étalage la aussi de toute sa classe.
Un vrai régal pour les oreilles pour peu que les Beach Boys parlent aux gens.
Line up: Année:2016
Label:Goldstars Recordings
Production:Jason Brewer
Discographie : |
Freedom Winds (2008) |
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