J’ai eu peur du syndrome Matt Wertz à qui je l’ai souvent comparé. Peur que le garçon se lance comme son compère dans une sorte de musique pop dance un peu piteuse. Impression que j’ai eu surtout à l’écoute du premier titre She Sets The City On Fire ou même de New Love.
En effet, on est ici sur des titres très formatés pop actuelle qui passe en radio mais finalement ce sont les deux seules plages dans ce genre et à la longue on s’y fait aisément. La première citée propose d’ailleurs un refrain qui rentre définitivement dans la tronche. Pour le reste, que les fans se rassurent, c’est toujours aussi bon. De la bonne pop teintée de soul qui rappelle Train. Des passages très 60s comme avec Annalee mais aussi des incursions sur le reggae avec le couplet de Making Love With The Radio On qui se transforme ensuite en hymne pop du meilleur cru. Comme souvent De Graw s’est entouré de quelques pointures comme Butch Walker pour la production mais aussi John Shanks qu’on retrouve beaucoup sur le dernier Bon Jovi pour deux titres dont le très remuant How Lucky Can I Met Get. Comme souvent chez DeGraw, en plus de la qualité des compos, c’est la voix qui fait la différence. Un organe bien chaud qui est fait pour la soul ou le rythm and blues. 6ème opus pour ce jeune garçon qui trace sa route tranquillement. Encore méconnu dans notre contrée, il a pourtant tous les atouts pour s’imposer auprès d’un public très large. Comme beaucoup, vous me direz…
Et oui de temps en temps, j’ai vraiment l’impression de chercher du sable dans le désert tellement j’essaye de mettre en lumière des types dont tout le monde, ou presque, se contrefout !!! Tant pis, tel un Jacques Cheminade de la chronique, je continue à œuvrer et à essayer de mettre en avant des artistes qui, à mon sens, le méritent. 4.25 étoiles
En effet, on est ici sur des titres très formatés pop actuelle qui passe en radio mais finalement ce sont les deux seules plages dans ce genre et à la longue on s’y fait aisément. La première citée propose d’ailleurs un refrain qui rentre définitivement dans la tronche. Pour le reste, que les fans se rassurent, c’est toujours aussi bon. De la bonne pop teintée de soul qui rappelle Train. Des passages très 60s comme avec Annalee mais aussi des incursions sur le reggae avec le couplet de Making Love With The Radio On qui se transforme ensuite en hymne pop du meilleur cru. Comme souvent De Graw s’est entouré de quelques pointures comme Butch Walker pour la production mais aussi John Shanks qu’on retrouve beaucoup sur le dernier Bon Jovi pour deux titres dont le très remuant How Lucky Can I Met Get. Comme souvent chez DeGraw, en plus de la qualité des compos, c’est la voix qui fait la différence. Un organe bien chaud qui est fait pour la soul ou le rythm and blues. 6ème opus pour ce jeune garçon qui trace sa route tranquillement. Encore méconnu dans notre contrée, il a pourtant tous les atouts pour s’imposer auprès d’un public très large. Comme beaucoup, vous me direz…
Et oui de temps en temps, j’ai vraiment l’impression de chercher du sable dans le désert tellement j’essaye de mettre en lumière des types dont tout le monde, ou presque, se contrefout !!! Tant pis, tel un Jacques Cheminade de la chronique, je continue à œuvrer et à essayer de mettre en avant des artistes qui, à mon sens, le méritent. 4.25 étoiles
Année:2016
Label:RCA
Production:John Shanks/Butch Walker/Dave Bassett/Johan Carlsson/Gregg Wattenberg/Ricky Reed
Discographie : |
Chariot (2003) |
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