Si on regarde le combo Marianas Trench d’un œil, on pense à des clones de groupes pop pour ados boutonneux genre les One Direction.
Il faut dire que les 4 garçons font propres sur eux et que le chanteur Josh Ramsay avec sa mèche bleue ressemble aux leaders de ces combos qu’on a envie de tarter !!! Et pourtant…L’habit ne fait pas le moine, c’est ce qu’on dit et là, force est de constater que l’adage se vérifie. En effet, ces 4 Canadiens ont sorti un des meilleurs albums pop de l’année 2015 baptisé Astoria. Déjà le packaging est sublime avec la pochette et le titre en référence au film culte des année 80, Les Goonies !!
Le livret est une sorte de carte aux trésors et les 4 garçons sont croqués comme sur l’affiche du film. La forme est parfaite mais que dire du fond qui prouve que le combo est loin, très loin de faire dans la mièvrerie la plus totale.
Astoria est un concept album qui propose 1h de zique de haute intensité et sans qu’on s’ennuie une seule seconde. Ne pas se fier au premier single One Love qui œuvre dans un classicisme qui n’est pas ce qu’on retrouve le plus sur cet album concept.
Dès que vous aurez mis le premier morceau Astoria vous comprendrez sans doute mieux ma chronique. On est ici devant un titre qu’aurait pu pondre un type comme Robby Valentine. Plus de 7 minutes avec des changements de rythmes et de structures régulier. Un chanteur qui même s’il a la mèche bleue se révèle être un phénomène tellement il module et pousse dans les aigus avec une facilité déconcertante. Bref, une entrée en matière remarquable. Mais le soufflet ne retombe pas et on embraye avec le funky, Burning Up qui rappelle le meilleur de Prince. Là encore sur le refrain la voix de tête de Ramsay fait des merveilles. Comment ne pas sautiller et se trouver des talents de danseurs en écoutant un tel morceau. Plus dans une veine pop EMO voici venu le temps de Yesterday et là aussi le titre fait mouche. Un groove d’enfer pour la aussi un titre qui met en joie. Le groupe peut s’accompagner d’un simple ukulélé que là aussi il réussit son pari avec Dearly Departed. Il peut aller tranquillement dans le monde des Jacksons avec le très remuant et vintage Shut Up and Kiss Me. Mais il sait aussi pondre des hits de pure pop comme Wildfire qui la aussi marque aux fers rouges nos oreilles. Vous l’aurez compris, j’ai complètement craqué sur cet Astoria et ce groupe. J’ai essayé les précédents, qui même s’ils contiennent des bons titres, ne sont pas au même niveau de cet Astoria qui est monumental.
Je vous conseille donc de commencer par celui-ci et de ne pas aller voir sur You Tube les différents clips des singles des précédents opus de peur d’être déçu et de zapper ce superbe opus.
Le livret est une sorte de carte aux trésors et les 4 garçons sont croqués comme sur l’affiche du film. La forme est parfaite mais que dire du fond qui prouve que le combo est loin, très loin de faire dans la mièvrerie la plus totale.
Astoria est un concept album qui propose 1h de zique de haute intensité et sans qu’on s’ennuie une seule seconde. Ne pas se fier au premier single One Love qui œuvre dans un classicisme qui n’est pas ce qu’on retrouve le plus sur cet album concept.
Dès que vous aurez mis le premier morceau Astoria vous comprendrez sans doute mieux ma chronique. On est ici devant un titre qu’aurait pu pondre un type comme Robby Valentine. Plus de 7 minutes avec des changements de rythmes et de structures régulier. Un chanteur qui même s’il a la mèche bleue se révèle être un phénomène tellement il module et pousse dans les aigus avec une facilité déconcertante. Bref, une entrée en matière remarquable. Mais le soufflet ne retombe pas et on embraye avec le funky, Burning Up qui rappelle le meilleur de Prince. Là encore sur le refrain la voix de tête de Ramsay fait des merveilles. Comment ne pas sautiller et se trouver des talents de danseurs en écoutant un tel morceau. Plus dans une veine pop EMO voici venu le temps de Yesterday et là aussi le titre fait mouche. Un groove d’enfer pour la aussi un titre qui met en joie. Le groupe peut s’accompagner d’un simple ukulélé que là aussi il réussit son pari avec Dearly Departed. Il peut aller tranquillement dans le monde des Jacksons avec le très remuant et vintage Shut Up and Kiss Me. Mais il sait aussi pondre des hits de pure pop comme Wildfire qui la aussi marque aux fers rouges nos oreilles. Vous l’aurez compris, j’ai complètement craqué sur cet Astoria et ce groupe. J’ai essayé les précédents, qui même s’ils contiennent des bons titres, ne sont pas au même niveau de cet Astoria qui est monumental.
Je vous conseille donc de commencer par celui-ci et de ne pas aller voir sur You Tube les différents clips des singles des précédents opus de peur d’être déçu et de zapper ce superbe opus.
Année:2015
Label:604 Records
Production:Josh Ramsay
Discographie : |
Fix Me (2006) |
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