La pochette la plus moche de 2014 ??? Surement !!!
En effet, on a l’habitude avec le groupe de pop Indépendante US Weezer qui nous pond à chaque fois des pochettes hideuses. On sait qu’on est dans le mouvement Indépendant rien qu’à voir la pochette. Je ne sais pas pourquoi les artistes Indépendants ont tous de gouts de chiottes !!! Allez-vous balader dans les rayons Indépendants un jour et vous comprendrez ce que je veux dire. Là où le hard soigne ces jaquettes, le rock et la pop Indé eux font un concours à celui qui sortira l’album le plus laid du point de vue forme !!!
Bref, après ces considérations artistiques, explorons le 9ème album du groupe de Rivers Cuomo. J’ai toujours eu une attirance couplée avec une certaine répulsion pour ce groupe. Ils sont capables de très bonnes choses mais aussi de trucs nettement moins audibles.
Un album comme Raditude en 2009 m’avait plutôt plut. J’avais zappé Hurley en 2010 (qui au rayon pochette moche se positionne aussi comme un monument !!!). Je me rattrappe maintenant avec cet Everything Will Be Alright In The End. A la production on retrouve Rick Ocasek le leader de The Cars.
La filiation avec ces derniers est d’ailleurs flagrante et ce n’est pas pour rien que Weezer avait repris le You Might Think des Cars sur la Bo de The Cars 2. On retrouve aussi des influences Cheap Trick, de la power pop et de la pop plus Indépendante. Dans l’ensemble c’est plutôt un très bon album car sur la durée il tient la route. Il n’y a pas trop de daubasses que je pouvais retrouver sur les précédents essais. Là, la part belle est laissée aux mélodies qui sont par moment inspirées comme avec les très bons Eulogy For A Rock Band, Lonely Girl, le funky I’ve Had It Up To Here ou bien Foolish Father. Là on est dans de la pop US de très haut niveau qui ne dépasse pas 3 minutes mais qui percute juste là où il faut. Cuomo est un très bon chanteur capable de moduler sa voix. Les titres plus underground bizarrement sont au début du cd avec Ain’t Got Nobody et Back to The Shack que j’aime moins par exemple. Et puis comme souvent le groupe part sur un délire en plage 11 avec The Futurescope Trilogy découpé en 3 parties dont 2 instrumentaux de haute qualité que sont The Waste Land et Return To Ithaka qui prouve que les musiciens de pop peuvent se montrer aussi de très bons zicos.
Bref, un très bon album de pop music pour un groupe qui traine souvent dans des rayons ou je m’aventure peu mais surement à tort car il doit y en avoir d’autres du même tonneau. A découvrir pour ceux qui ne connaîtraient pas.
Bref, après ces considérations artistiques, explorons le 9ème album du groupe de Rivers Cuomo. J’ai toujours eu une attirance couplée avec une certaine répulsion pour ce groupe. Ils sont capables de très bonnes choses mais aussi de trucs nettement moins audibles.
Un album comme Raditude en 2009 m’avait plutôt plut. J’avais zappé Hurley en 2010 (qui au rayon pochette moche se positionne aussi comme un monument !!!). Je me rattrappe maintenant avec cet Everything Will Be Alright In The End. A la production on retrouve Rick Ocasek le leader de The Cars.
La filiation avec ces derniers est d’ailleurs flagrante et ce n’est pas pour rien que Weezer avait repris le You Might Think des Cars sur la Bo de The Cars 2. On retrouve aussi des influences Cheap Trick, de la power pop et de la pop plus Indépendante. Dans l’ensemble c’est plutôt un très bon album car sur la durée il tient la route. Il n’y a pas trop de daubasses que je pouvais retrouver sur les précédents essais. Là, la part belle est laissée aux mélodies qui sont par moment inspirées comme avec les très bons Eulogy For A Rock Band, Lonely Girl, le funky I’ve Had It Up To Here ou bien Foolish Father. Là on est dans de la pop US de très haut niveau qui ne dépasse pas 3 minutes mais qui percute juste là où il faut. Cuomo est un très bon chanteur capable de moduler sa voix. Les titres plus underground bizarrement sont au début du cd avec Ain’t Got Nobody et Back to The Shack que j’aime moins par exemple. Et puis comme souvent le groupe part sur un délire en plage 11 avec The Futurescope Trilogy découpé en 3 parties dont 2 instrumentaux de haute qualité que sont The Waste Land et Return To Ithaka qui prouve que les musiciens de pop peuvent se montrer aussi de très bons zicos.
Bref, un très bon album de pop music pour un groupe qui traine souvent dans des rayons ou je m’aventure peu mais surement à tort car il doit y en avoir d’autres du même tonneau. A découvrir pour ceux qui ne connaîtraient pas.
Année:2014
Label:Republic
Production:Ric Ocasek
Discographie : |
Weezer (1994) |
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