Pour ceux qui connaissent et apprécient le premier album de 1991 produit à l’époque par Phil Ramone, ce sera du vrai bonheur. En effet, ce jeune garçon à l’époque avait pondu un opus très original, frais qui nous faisait admirer ses talents de pianiste et de vocaliste. Un single My Hearts Belongs To You allait d’ailleurs faire son petit bonhomme de chemin dans les charts US. Et puis après, le garçon s’est tourné vers son rôle de musicien, producteur et compositeur. Il a écrit pour Foreigner, Meat Loaf, Scorpions et surtout Aerosmith avec What Could Have Been Love qui figure sur le dernier essai des Tyler Boys. Avec cette bande, il tourne en live en assurant les claviers sur scène depuis 1997. Ce Get Me Home est un pur produit Indépendant. Il n’est pas signé par une maison de disque et pourtant comme on dit « ça sonne grave ».
Nettement plus teinté jazz que le premier album, il n’en demeure pas moins qu’on retrouve ce qui faisait le charme du premier éponyme. Une finesse dans la voix et dans les arrangements, un piano hyper présent mais aussi des cuivres et une section rythmique d’enfer. Steven Tyler et Brad Whitford sont de la partie tout comme le trompettiste Chris Botti qui étale toute sa classe sur le superbe Manhattan. Dans l’ensemble, la première partie du Cd est plus pop que la seconde qui se veut plus traditionnelle avec des bons vieux titres qui lorgnent du coté du blues basique. On retrouve les parties de pianos enflammées du premier album sur des titres comme The Perfect Beast mais aussi de superbes ballades qui filent la chaire de poule avec So Close To Heaven. Du blues avec Mother Erath, du pur rock ‘ roll à la Jerry Lee Lewis avec Evil Eye, un air de John Lennon sur Find the Light. Un album qui balaye tous les genres et qui de ce fait ne peut laisser indifférent. Alors certes, il y a des titres que je préfère à d’autres mais c’était déjà le cas sur le premier. Il n’en demeure pas moins que l’impression d’ensemble est très positive et que cela fait du bien de s’aérer les oreilles avec un tel album. Russ Irwin est doué c’est certain et on peut se demander pour quelle raison avoir attendu plus de 20 ans pour sortir un nouvel album.
J’espère que le prochain mon gars ça sera pas dans 20 ans car là je l’écouterais peut être au sonotone !!!!!!
Nettement plus teinté jazz que le premier album, il n’en demeure pas moins qu’on retrouve ce qui faisait le charme du premier éponyme. Une finesse dans la voix et dans les arrangements, un piano hyper présent mais aussi des cuivres et une section rythmique d’enfer. Steven Tyler et Brad Whitford sont de la partie tout comme le trompettiste Chris Botti qui étale toute sa classe sur le superbe Manhattan. Dans l’ensemble, la première partie du Cd est plus pop que la seconde qui se veut plus traditionnelle avec des bons vieux titres qui lorgnent du coté du blues basique. On retrouve les parties de pianos enflammées du premier album sur des titres comme The Perfect Beast mais aussi de superbes ballades qui filent la chaire de poule avec So Close To Heaven. Du blues avec Mother Erath, du pur rock ‘ roll à la Jerry Lee Lewis avec Evil Eye, un air de John Lennon sur Find the Light. Un album qui balaye tous les genres et qui de ce fait ne peut laisser indifférent. Alors certes, il y a des titres que je préfère à d’autres mais c’était déjà le cas sur le premier. Il n’en demeure pas moins que l’impression d’ensemble est très positive et que cela fait du bien de s’aérer les oreilles avec un tel album. Russ Irwin est doué c’est certain et on peut se demander pour quelle raison avoir attendu plus de 20 ans pour sortir un nouvel album.
J’espère que le prochain mon gars ça sera pas dans 20 ans car là je l’écouterais peut être au sonotone !!!!!!
Label : | |
Sortie : | 2012 |
Production : | Russ Irwin/Kevin Seigal |
Discographie : |
Russ Irwin (1991) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL |
Notes des visiteurs : |
Comments:
Lire la suite...