Après un Madame Guillotine bien trop punk pour mes gouts, voici Lost Opera a priori mieux armé pour me séduire, au moins dans sa branche métal symphonique. Ceci étant, ce n’est qu’une partie du style proposé, l’objectif de ce groupe d’Evreux, plutôt ambitieux, est de ponctuer les parties orchestrales par des chants Death voire Black, j’avoue d’ailleurs ne pas bien différencier les deux ! Formé en 2007, et après deux démos, voici leur première offrande. J’avoue que les premières écoutes ont plutôt été déroutantes, mais en même temps, le potentiel était palpable, et j’ai donc insisté. A l’heure des bilans et après avoir digéré cette potion pour le moins originale, sans trop de surprise le chant « clair » passe comme une lettre à la poste, les growls un peu moins. En fait tout est question de dosage, il y a à mon gout une ligne rouge franchie sur le titre Alone, dans lequel Loïc Conti s’époumone en black/death, et là, c’est franchement pénible. Dès que le chant clair domine, Loïc est d’ailleurs bien plus convaincant dans ce registre, à l’image de Sombres Peines ou bien de Xenocide, j’adhère beaucoup plus, Razielle (Banshee Part I) étant à mon gout le plus réussi, avec un refrain percutant.
Bon potentiel donc pour ce combo, le grand écart entre extrême et symphonique ne plaira pas forcément à tout le public, pour ma part je prendrais bien une option pour beaucoup plus de chant clair, mais je ne suis pas sûr d’être entendu !
Bon potentiel donc pour ce combo, le grand écart entre extrême et symphonique ne plaira pas forcément à tout le public, pour ma part je prendrais bien une option pour beaucoup plus de chant clair, mais je ne suis pas sûr d’être entendu !
Label : | Brennus |
Sortie : | 10/2011 |
Production : | n/a |
Discographie : |
LOST OPERA Alchemy of Quintessence (2011) |
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