Au départ il a fait appel à divers amis musiciens. Puis plus tard, les dits musiciens amis ont formé un vrai line-up. Après un EP et un premier album entièrement autoproduit Among Grey Masks, le groupe signe chez 7Hard en mai 2010. Cela se concrétise aujourd’hui avec cette première partie de la trilogie Project Elimi Huit titres au compteur, mais ne vous fiez pas aux apparences, ces huit pièces, comme disent nos cousins Québécois, totalisent 76 mn d’une musique ambitieuse.
Pas d’analyse « track by track », Project Elimi nous emporte dans un tourbillon progressif typique, chacun des titres est un chapitre à lui tout seul ménageant plages sereines avec d’intenses moments dramatiques. Côté musique, c’est mélodique et accrocheur, l’inverse de certains disques progressifs techniques et ennuyeux. Par moment les riffs se font heavy et Piero Pellegrino nous régale de soli brillants. Jan Michaelis chante dans un registre qui me fait par moments penser à Brian Ferry, dans les médiums. Quand il se risque dans les aigus, il se place parfois dans les limites de la justesse, et les allergiques aux aigus pourront trouver cela pénible. Pour ma part, hormis 2 ou 3 maladresses, je trouve ce chant plutôt adapté au propos.
Ce premier volet de la trilogie revèle un combo avec un très bon potentiel et un album de metal progressif interessant, la suite devrait logiquement monter encore plus en puissance.
Pas d’analyse « track by track », Project Elimi nous emporte dans un tourbillon progressif typique, chacun des titres est un chapitre à lui tout seul ménageant plages sereines avec d’intenses moments dramatiques. Côté musique, c’est mélodique et accrocheur, l’inverse de certains disques progressifs techniques et ennuyeux. Par moment les riffs se font heavy et Piero Pellegrino nous régale de soli brillants. Jan Michaelis chante dans un registre qui me fait par moments penser à Brian Ferry, dans les médiums. Quand il se risque dans les aigus, il se place parfois dans les limites de la justesse, et les allergiques aux aigus pourront trouver cela pénible. Pour ma part, hormis 2 ou 3 maladresses, je trouve ce chant plutôt adapté au propos.
Ce premier volet de la trilogie revèle un combo avec un très bon potentiel et un album de metal progressif interessant, la suite devrait logiquement monter encore plus en puissance.
Label : | 7HARD |
Sortie : | 25/03/2011 |
Production : | C. Schmid and R.D. Liapakis |
Discographie : |
Project elimi (2011) |
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