Cinquième opus studio pour ce combo Américain, au style Rock/Blues Psychédélique, né en 2004, et, originaire de l'Iowa.
Créé par le guitariste/chanteur, et, batteur, Parker Griggs, influencé par Blues Cheer, Hendrix, ou, Peter Green, à l'origine, Radio Moscow se produit en duo, et, c'est Luke Mc Duff qui est à la basse. Les deux protagonistes rencontrent le producteur Dan Auerbach, et, enregistrent leur premier album éponyme qui sortira en 2007. Exit Luke Mc Duff, remplacé, en 2008, par Zack Anderson. 2009, sortie de Brain Cycles, le deuxième opus. 2010, le duo devient trio en recrutant Cory Berry à la batterie. 2011, sortie de The Great Escape Of Leslie Magnafuzz, puis, dans la foulée, départ de Zack Anderson, et, Cory Berry, partis former les Blues Pills. 2012, année Sabbathique pour Parker Griggs qui se retrouve seul, et, sort une compilation intitulée 3 And 3 Quarter, retraçant sa période précédant Radio Moscow. 2013, Radio Moscow se reforme avec Paul Marrone à la batterie, et, Anthony Meier à la basse. 2014, sortie de l'excellent Magical Dirt, suivi, en 2015, d'une tournée Américaine, puis, Européenne, en compagnie de Graveyard, Witchcraft, ou, encore, Pentagram. 2016, retour au Studio Lost Ark de San Diego, en Californie, pour enregistrer ce New Beginnings, produit par le guitariste Parker Griggs, et, sorti en 2017.
Dès l'entame, sur New Beginning le ton est donné. Une rythmique solide qui part sur les chapeaux de roues, et, sur laquelle, Parker Griggs greffe un riff enlevé et nasillard. Puis, Parker fait entendre sa voix éraillée et puissante avant de distiller un chorus de guitare, bien mélodique à la wah-wah. Même approche sur Pacing, avec son riff boosté à la John Lee Hooker, et, son chorus Hendrixien très aérien. En plus progressif, on se régale, d'abord, sur Deceiver, avec son riff en wah-wah, et, son chorus chaud bouillant, mais, aussi, sur Dreams, avec sa rythmique bien charpentée, et, son chorus psyché, poussé à son paroxysme. Coté Psychédélique, on est, d'abord, happé par le fusionnel No One Knows Where They've Been, avec son riff Hendrixien, et, son chorus enroulé à la wah-wah, puis, sur Last To Know, avec l'harmonica de Travis Baucum, et, son final très envoutant à la manière de Bo Diddley. En plus enlevé, on se délecte, d'abord, sur Driftin', avec son slide bluesy, et, son chorus à la Peter Green, mais, aussi, sur le très nuancé Pick Up The Pieces, avec le timbre de voix très mélodique de Parker, et, son final très électrique. Enfin, le trio nous gratifie de deux titres instrumentaux. D'abord, Woodrose Morning, à la fois Psyché, bluesy, et, planant, avec un beau chorus enlevé, servi dans un style très Peter Green. Puis, le second, baptisé New Skin, avec son riff ensorcelant, son chorus chaud et aérien, et, son final couleur psyché. Bref, vous l'aurez deviné, voilà un bel album aux compositions solides qui fait la part belle aux sonorités 60's et 70's.
Considéré comme un des meilleurs groupes de la scène Psychédélique actuelle, Radio Moscow confirme son statut avec ce nouvel opus, tout aussi intéressant que le précédent. Alors, si, vous, aussi, vous aimez les sons de guitares électrisées, façon Hendrix, ou, en écho aérien, style Peter Green, ce " Nouveau Départ" est, donc, pour vous. Groovy, et, Vintage!
Dès l'entame, sur New Beginning le ton est donné. Une rythmique solide qui part sur les chapeaux de roues, et, sur laquelle, Parker Griggs greffe un riff enlevé et nasillard. Puis, Parker fait entendre sa voix éraillée et puissante avant de distiller un chorus de guitare, bien mélodique à la wah-wah. Même approche sur Pacing, avec son riff boosté à la John Lee Hooker, et, son chorus Hendrixien très aérien. En plus progressif, on se régale, d'abord, sur Deceiver, avec son riff en wah-wah, et, son chorus chaud bouillant, mais, aussi, sur Dreams, avec sa rythmique bien charpentée, et, son chorus psyché, poussé à son paroxysme. Coté Psychédélique, on est, d'abord, happé par le fusionnel No One Knows Where They've Been, avec son riff Hendrixien, et, son chorus enroulé à la wah-wah, puis, sur Last To Know, avec l'harmonica de Travis Baucum, et, son final très envoutant à la manière de Bo Diddley. En plus enlevé, on se délecte, d'abord, sur Driftin', avec son slide bluesy, et, son chorus à la Peter Green, mais, aussi, sur le très nuancé Pick Up The Pieces, avec le timbre de voix très mélodique de Parker, et, son final très électrique. Enfin, le trio nous gratifie de deux titres instrumentaux. D'abord, Woodrose Morning, à la fois Psyché, bluesy, et, planant, avec un beau chorus enlevé, servi dans un style très Peter Green. Puis, le second, baptisé New Skin, avec son riff ensorcelant, son chorus chaud et aérien, et, son final couleur psyché. Bref, vous l'aurez deviné, voilà un bel album aux compositions solides qui fait la part belle aux sonorités 60's et 70's.
Considéré comme un des meilleurs groupes de la scène Psychédélique actuelle, Radio Moscow confirme son statut avec ce nouvel opus, tout aussi intéressant que le précédent. Alors, si, vous, aussi, vous aimez les sons de guitares électrisées, façon Hendrix, ou, en écho aérien, style Peter Green, ce " Nouveau Départ" est, donc, pour vous. Groovy, et, Vintage!
Discographie : |
Radio Moscow (2007) |
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