Thunder ne mérite pas son nom, ni son succès trop relatif !
Il ne fait pas parti de ces groupes violents qui détruisent tout sur leurs passages, ou qui effraient par le cataclysme qu'ils produisent. Non, Thunder, c'est au contraire une invitation à l'amusement, au bien être, au fun, tel un Status Quo, mais dans un registre musical entre Bad Company, Led Zeppelin et Whitesnake.
Son blues rock paradoxalement enchanteur, donne du peps à une journée morose. Ce groupe dégage une classe so british, à commencer par cette voix bluesy sublime et le charisme de son chanteur, Danny Bownes, mais aussi par les belles interventions des guitares et claviers de Luke Morley et Ben Matthews.
Et l'enchantement vous prend dès le premier titre No one gets out alive. Qui ne va pas bouger quelque chose de son corps sur ce riff ? 5/5 (Nb : attention la version single en studio live diffusé sur le web sonne différemment)
Rip it up et ses clins d'oeil Queenien, vient t'attraper les oreilles par son riff marteau et te secoue la tête tout du long. 4,5/5
She likes the cocaine demarre sournoisement, avec une voix posée à la Pretenders ! Sournoisement probablement comme l'effet de la poudre, puis t'explose aux narines avec une choriste, la jolie blonde Lynne Jackaman, probablement la réincarnation d'une voix noire ! Luke Morley se fait taquin à la Steve Vai, façon Yankee rose de David Lee Roth. Effet sournois mais bien être assuré ! 4,75/5
Danny Bownes vient rappeler quelle voix hypnotique il a sur la première ballade Right from the start, magnifique prestation vocale comme au plus beau jour, appuyée par un Luke Morley lumineux et peu avare à bon escient avec sa guitare. Magnifique.5/5
Shakedown nous fait retrouver le blues rock dandy du groupe, pour au final nous menacer sur un refrain au riff vrombissant et heavy. 4,25/5
Heartbreak hurricane est un autre bijou de l'album :, bon pour une b.o de western, un riff semi folk électrique tournoyant, et accélérant telle la caméra de Sergio Leone au moment du duel entre Le Bon la Brute et le Truand … un titre prenant qui donne envie de dégainer. 5/5
In another life revient à un faux calme séducteur avec ce clavier à la The Doors, pour mieux t'embrasser sur ce refrain et te plaquer contre le mur avec cet orgue et cette voix Platine qui te font chavirer … un titre empli de sensualité : l'autre bisous de l'album … heu l'autre bijou pardon ! Splendide 5/5
Allez on bouge à nouveau avec ce double riff claviers-piano-guitare de ce titre délicieusement mélodique et entraînant qu'est The chosen one 5/5
On repart avec The Enemy inside : un riff tournant très celtique assez classique mais bon, puis les choeurs invitent le chanteur à pousser ses cordes vocales sur 10 pour un titre sympa de plus, court et qui donne la pêche. Bon titre d'appui dans un album. 4,5/5
Tumbling down attaque sur un rythme qui rappelle le Personal Jesus de Depeche Mode, pour finir sur un refrain mélodico-mélancolique, et un final aux choeurs féminins bienvenues : la guitare est toujours aussi inspirée : un régal. 4,5/5
There's always a loser : une chtite ballade classieusement cool qui conclut bien ce que peut être le groupe : sexy, jovial, envoûtant, émouvant, bref, charmeur ! 3,75/5
Loser ? ce n'est pas le cas de ce groupe, qui je l'avoue ne m'a pas toujours séduit sur toute sa discographie : jugeant parfois leur album inégaux dans leur ensemble, et cela m'a fait décroché du groupe sur quelques albums. Mais ce n'est pas le cas ici, où l'inspiration est présente de bout en bout avec un feeling guitare – clavier touchant. Luke Morley y fait un travail soigneux, tout comme la section rythmique, dont une basse joliment ronde.
Si je n'ai jamais vu le groupe en concert, un dvd vu de ce blues dandy et festif, fera qu'un jour mon agenda sera marqué du nom de Thunder. Ce groupe a un quelque chose de rare : une certaine classe que peu ont, et surtout ils font du bien quand l'âme flotte trop sur des vagues houleuses. Car contrairement à sa pochette ornée de tête de mort malvenue, la musique du groupe invite à la vie.
Non ! Thunder ne mérite pas son nom ! Du moins dans le sens où on le définit en premier lieu. Car le seul tonnerre que le groupe génère, c'est le tonnerre d'applaudissement du public dont tu te dois de faire partie un jour. A voir absolument en concert.
Le groupe sera en tournée européenne, dont Paris, et sur ma platine : déjà un de mes albums 2017.
Son blues rock paradoxalement enchanteur, donne du peps à une journée morose. Ce groupe dégage une classe so british, à commencer par cette voix bluesy sublime et le charisme de son chanteur, Danny Bownes, mais aussi par les belles interventions des guitares et claviers de Luke Morley et Ben Matthews.
Et l'enchantement vous prend dès le premier titre No one gets out alive. Qui ne va pas bouger quelque chose de son corps sur ce riff ? 5/5 (Nb : attention la version single en studio live diffusé sur le web sonne différemment)
Rip it up et ses clins d'oeil Queenien, vient t'attraper les oreilles par son riff marteau et te secoue la tête tout du long. 4,5/5
She likes the cocaine demarre sournoisement, avec une voix posée à la Pretenders ! Sournoisement probablement comme l'effet de la poudre, puis t'explose aux narines avec une choriste, la jolie blonde Lynne Jackaman, probablement la réincarnation d'une voix noire ! Luke Morley se fait taquin à la Steve Vai, façon Yankee rose de David Lee Roth. Effet sournois mais bien être assuré ! 4,75/5
Danny Bownes vient rappeler quelle voix hypnotique il a sur la première ballade Right from the start, magnifique prestation vocale comme au plus beau jour, appuyée par un Luke Morley lumineux et peu avare à bon escient avec sa guitare. Magnifique.5/5
Shakedown nous fait retrouver le blues rock dandy du groupe, pour au final nous menacer sur un refrain au riff vrombissant et heavy. 4,25/5
Heartbreak hurricane est un autre bijou de l'album :, bon pour une b.o de western, un riff semi folk électrique tournoyant, et accélérant telle la caméra de Sergio Leone au moment du duel entre Le Bon la Brute et le Truand … un titre prenant qui donne envie de dégainer. 5/5
In another life revient à un faux calme séducteur avec ce clavier à la The Doors, pour mieux t'embrasser sur ce refrain et te plaquer contre le mur avec cet orgue et cette voix Platine qui te font chavirer … un titre empli de sensualité : l'autre bisous de l'album … heu l'autre bijou pardon ! Splendide 5/5
Allez on bouge à nouveau avec ce double riff claviers-piano-guitare de ce titre délicieusement mélodique et entraînant qu'est The chosen one 5/5
On repart avec The Enemy inside : un riff tournant très celtique assez classique mais bon, puis les choeurs invitent le chanteur à pousser ses cordes vocales sur 10 pour un titre sympa de plus, court et qui donne la pêche. Bon titre d'appui dans un album. 4,5/5
Tumbling down attaque sur un rythme qui rappelle le Personal Jesus de Depeche Mode, pour finir sur un refrain mélodico-mélancolique, et un final aux choeurs féminins bienvenues : la guitare est toujours aussi inspirée : un régal. 4,5/5
There's always a loser : une chtite ballade classieusement cool qui conclut bien ce que peut être le groupe : sexy, jovial, envoûtant, émouvant, bref, charmeur ! 3,75/5
Loser ? ce n'est pas le cas de ce groupe, qui je l'avoue ne m'a pas toujours séduit sur toute sa discographie : jugeant parfois leur album inégaux dans leur ensemble, et cela m'a fait décroché du groupe sur quelques albums. Mais ce n'est pas le cas ici, où l'inspiration est présente de bout en bout avec un feeling guitare – clavier touchant. Luke Morley y fait un travail soigneux, tout comme la section rythmique, dont une basse joliment ronde.
Si je n'ai jamais vu le groupe en concert, un dvd vu de ce blues dandy et festif, fera qu'un jour mon agenda sera marqué du nom de Thunder. Ce groupe a un quelque chose de rare : une certaine classe que peu ont, et surtout ils font du bien quand l'âme flotte trop sur des vagues houleuses. Car contrairement à sa pochette ornée de tête de mort malvenue, la musique du groupe invite à la vie.
Non ! Thunder ne mérite pas son nom ! Du moins dans le sens où on le définit en premier lieu. Car le seul tonnerre que le groupe génère, c'est le tonnerre d'applaudissement du public dont tu te dois de faire partie un jour. A voir absolument en concert.
Le groupe sera en tournée européenne, dont Paris, et sur ma platine : déjà un de mes albums 2017.
Label : | earMUSIC |
Sortie : | 2017 |
Production : | n/a |
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