Deuxième opus pour ce combo Américain de Hard Rock, né en 2011, et, originaire de Pottsville en Pennsylvanie.
Composé de Paul Figueroa à la batterie, Jacob Figueroa à la basse, Chris Bishop à la guitare, Brandon Yeagley au chant, et, à l'harmonica, musicalement, le groupe est souvent comparé aux Queen Of The Stone Age, Wolfmother, ou, encore Soundgarden. En 2012, Crobot édite un EP autoproduit, ayant pour titre The Legend Of The Spaceborne Killer, qui leur permet de se faire connaitre, et, en 2013, de signer chez Wind Up Records. 2014, sortie de leur premier album intitulé Something Supernatural, dont la chanson " Nowhere To Hide" atteindra le n° 16 du Billboard Mainstream Rock. Fort de ce succés, le groupe part en tournée U.S, partage l'affiche avec The Sword ou les Truckfighters, puis, petite escapade, au Royaume Uni, avec les Virgin Marys. 2015, nouvelle tournée en Europe, avec Anthrax, Buckcherry, et, Black Label Society. 2016, retour aux studios pour enregistrer ce Welcome To Fat City, produit par The Machine.
Dès l'entame, avec Welcome To Fat City, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Chris Bishop assène un riff de guitare à la wah-wah qui groove 70's, la rythmique s'emballe, puis, vient se greffer la voix rauque, et, puissante de Brandon Yeagley, suivi d'un refrain mélodique, et, d'un chorus aérien aux accents psyché. Meme approche sur Play It Cool, avec son refrain bluesy, ainsi que sur Blood On The Snow, avec son riff Hendrixien. En plus rapide, on se régale sur Not For Sale, avec son riff en wah-wah et ses ambiances Led Zep/Rival Sons. Coté progressif, on se délecte, d'abord, sur Easy Money, avec son riff à la wah-wah, et, son chorus d'harmonica, puis, sur Hold On For Dear Life, avec son riff plombé façon Black Sabs, et, son passage lent, ou, encore, sur Moment Of Truth, avec son intro aérienne, et, ses riffs Black Sabs/Led Zep. En plus heavy, on trouve, en premier lieu, Right Between The Eyes, avec son refrain au gimmick fédérateur, son chorus psyché à la wah-wah sauvage, puis, on trouve, aussi, Plague Of The Mammoths, avec son riff qui bourdonne, et, la voix puissante aux accents soul de Brandon Yeagley. Enfin, en plus enlevé, on a Temple In The Sky, avec son riff Deep Purple, et, son chorus mélodique bien aérien. Bref, vous l'aurez compris, voilà un disque compact et homogène, qui sent bon les 70's, avec des compositions solides, et, bien travaillées. Avec cet album, Crobot confirme son talent, mais, aussi, tous les espoirs fondés sur sa bonne réputation, après un premier opus réussi, et, des prestations Européennes très remarquées. Désormais considéré comme une nouvelle valeur sure de la scène Hard Rock Old School, Crobot aura à coeur de défendre son deuxième album, non seulement, aux Etats Unis, mais, aussi, en Europe.
Donc, si, vous, aussi, vous aimez les sonorités du début des 70's, vous apprécierez ce Welcome To Fat City sans grandes difficultés.
Dès l'entame, avec Welcome To Fat City, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Chris Bishop assène un riff de guitare à la wah-wah qui groove 70's, la rythmique s'emballe, puis, vient se greffer la voix rauque, et, puissante de Brandon Yeagley, suivi d'un refrain mélodique, et, d'un chorus aérien aux accents psyché. Meme approche sur Play It Cool, avec son refrain bluesy, ainsi que sur Blood On The Snow, avec son riff Hendrixien. En plus rapide, on se régale sur Not For Sale, avec son riff en wah-wah et ses ambiances Led Zep/Rival Sons. Coté progressif, on se délecte, d'abord, sur Easy Money, avec son riff à la wah-wah, et, son chorus d'harmonica, puis, sur Hold On For Dear Life, avec son riff plombé façon Black Sabs, et, son passage lent, ou, encore, sur Moment Of Truth, avec son intro aérienne, et, ses riffs Black Sabs/Led Zep. En plus heavy, on trouve, en premier lieu, Right Between The Eyes, avec son refrain au gimmick fédérateur, son chorus psyché à la wah-wah sauvage, puis, on trouve, aussi, Plague Of The Mammoths, avec son riff qui bourdonne, et, la voix puissante aux accents soul de Brandon Yeagley. Enfin, en plus enlevé, on a Temple In The Sky, avec son riff Deep Purple, et, son chorus mélodique bien aérien. Bref, vous l'aurez compris, voilà un disque compact et homogène, qui sent bon les 70's, avec des compositions solides, et, bien travaillées. Avec cet album, Crobot confirme son talent, mais, aussi, tous les espoirs fondés sur sa bonne réputation, après un premier opus réussi, et, des prestations Européennes très remarquées. Désormais considéré comme une nouvelle valeur sure de la scène Hard Rock Old School, Crobot aura à coeur de défendre son deuxième album, non seulement, aux Etats Unis, mais, aussi, en Europe.
Donc, si, vous, aussi, vous aimez les sonorités du début des 70's, vous apprécierez ce Welcome To Fat City sans grandes difficultés.
Sortie : | 2016 |
Discographie : |
Something Supernatural (2012) |
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