Quatrième opus pour ce combo de Hard Rock, né en 2003, et, originaire de Warrnbool en Australie.
Composé de Ryan O'Keeffe à la batterie, Justin Street à la basse, David Roads à la guitare rythmique, de Joel O'Keeffe à la guitare solo, et, au chant, la formation Australienne tire son inspiration de groupes tels qu' AC/DC, Angel City, Rose Tatoo, ou, encore, Motorhead. En 2004, les Australiens sortent un premier EP, intitulé Ready To Rock, proche de l'univers d'AC/DC.
Petit succés qui pousse le groupe à déménager sur Melbourne, et, qui leur permet de rencontrer le producteur Bob Marlette ( Alice Cooper, Ozzy Osbourne) qui participera à l'enregistrement de Runnin' Wild, leur premier album sorti en 2007 chez EMI Records. Airbourne tourne en Europe, puis, aux Etats-Unis, en partageant l'affiche avec Iron Maiden, Motorhead, ou, encore, Motley Crue. 2010, sortie du deuxième album No Guts. No Glory, sorti chez Roadrunner Records. 2013, nouveau producteur pour le troisième épisode, intitulé Black Dog Barking, qui marque une évolution dans le Hard Rock d'Airbourne, grace à la bonne production de Brian Howes, également auteur de quelques titres.
Début 2016, retour aux Sing Sing Studios de Melbourne, en Australie, pour enregistrer ce Breakin' Outta Hell, sorti en Septembre, chez Spinefarm Records, et, produit, à nouveau, par Bob Marlette. Dès l'entame, avec Breakin' Outta Hell, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Une montée en puissance découpée par un riff tranchant, suivi d'un hurlement de Joel O' Keeffe qui balance son couplet de sa voix éraillée, haute et puissante, puis, en choeur sur le refrain, et, en solo avec quelques notes bien torrides. Meme approche sur It's Never Too Loud, avec son refrain efficace, mais, aussi, sur Down On You, avec son gimmick typé High Voltage d'AC/DC, ou, encore, sur Never Been Rocked Like This, avec son chorus bien alambiqué. En plus rapide, on est happé par Thin The Blood, en forme de boogie blues haletant, style Let There Be Rock de qui vous savez, mais, aussi, sur When I Drink I Go Crazy, à mi chemin entre Angel City et Rose Tatoo. En plus heavy, malgré la voix poussée à outrance de Joel O'Keeffe, on appréciera, d'abord, Rivalry, avec son riff bluesy, et, son gimmick vocal fédérateur, mais, aussi, It's All For Rock'n'Roll, avec son coté Back In Black des Maitres Kangourous. Toujours dans l'influence AC/DC, on trouve trois autres titres. D'abord, Get Back Up, façon Gimme A Bullet, ensuite, I'm Going To Hell For This, proche de Go Down, ou, encore, Do Me Like You Do Yourself, aux allures de Gone Shootin'. Enfin, le groupe nous offre un bonus track pour la route, intitulé Bombshell, avec, en guise de refrain, son titre hurlé à profusion à la manière d'un slogan de manif, et, à vrai dire, sans grand interet. Bref, vous l'aurez compris, voilà un disque sur lequel les Australiens retrouvent leurs fondamentaux. Riffs électriques, voix énervées, refrains efficaces, chorus distillés façon Angus Young, bref, du Hard Rock made in Australia. Alors que l'album précédent laissait entrevoir une évolution interessante pour le groupe qui semblait s'éloigner un peu de l'emprise AC/DC, ce Breakin'Outta Hell rageur résonne comme un parfum de revanche, comme si, précédement, les musiciens avaient perdu leur ame en délaissant, quelque peu, leur marque de fabrique.
Incontestablement, les fans inconditionnels, les purs et durs de la première heure, trouveront leur compte avec ce Breakin' Outta Hell qui laisse entrevoir, pour Airbourne, l'opportunité de prendre, peut-être, le leadership du Hard à l'Australienne, si AC/DC s'arrete définitivement. L'avenir nous le dira. A consommer chaud!
Petit succés qui pousse le groupe à déménager sur Melbourne, et, qui leur permet de rencontrer le producteur Bob Marlette ( Alice Cooper, Ozzy Osbourne) qui participera à l'enregistrement de Runnin' Wild, leur premier album sorti en 2007 chez EMI Records. Airbourne tourne en Europe, puis, aux Etats-Unis, en partageant l'affiche avec Iron Maiden, Motorhead, ou, encore, Motley Crue. 2010, sortie du deuxième album No Guts. No Glory, sorti chez Roadrunner Records. 2013, nouveau producteur pour le troisième épisode, intitulé Black Dog Barking, qui marque une évolution dans le Hard Rock d'Airbourne, grace à la bonne production de Brian Howes, également auteur de quelques titres.
Début 2016, retour aux Sing Sing Studios de Melbourne, en Australie, pour enregistrer ce Breakin' Outta Hell, sorti en Septembre, chez Spinefarm Records, et, produit, à nouveau, par Bob Marlette. Dès l'entame, avec Breakin' Outta Hell, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Une montée en puissance découpée par un riff tranchant, suivi d'un hurlement de Joel O' Keeffe qui balance son couplet de sa voix éraillée, haute et puissante, puis, en choeur sur le refrain, et, en solo avec quelques notes bien torrides. Meme approche sur It's Never Too Loud, avec son refrain efficace, mais, aussi, sur Down On You, avec son gimmick typé High Voltage d'AC/DC, ou, encore, sur Never Been Rocked Like This, avec son chorus bien alambiqué. En plus rapide, on est happé par Thin The Blood, en forme de boogie blues haletant, style Let There Be Rock de qui vous savez, mais, aussi, sur When I Drink I Go Crazy, à mi chemin entre Angel City et Rose Tatoo. En plus heavy, malgré la voix poussée à outrance de Joel O'Keeffe, on appréciera, d'abord, Rivalry, avec son riff bluesy, et, son gimmick vocal fédérateur, mais, aussi, It's All For Rock'n'Roll, avec son coté Back In Black des Maitres Kangourous. Toujours dans l'influence AC/DC, on trouve trois autres titres. D'abord, Get Back Up, façon Gimme A Bullet, ensuite, I'm Going To Hell For This, proche de Go Down, ou, encore, Do Me Like You Do Yourself, aux allures de Gone Shootin'. Enfin, le groupe nous offre un bonus track pour la route, intitulé Bombshell, avec, en guise de refrain, son titre hurlé à profusion à la manière d'un slogan de manif, et, à vrai dire, sans grand interet. Bref, vous l'aurez compris, voilà un disque sur lequel les Australiens retrouvent leurs fondamentaux. Riffs électriques, voix énervées, refrains efficaces, chorus distillés façon Angus Young, bref, du Hard Rock made in Australia. Alors que l'album précédent laissait entrevoir une évolution interessante pour le groupe qui semblait s'éloigner un peu de l'emprise AC/DC, ce Breakin'Outta Hell rageur résonne comme un parfum de revanche, comme si, précédement, les musiciens avaient perdu leur ame en délaissant, quelque peu, leur marque de fabrique.
Incontestablement, les fans inconditionnels, les purs et durs de la première heure, trouveront leur compte avec ce Breakin' Outta Hell qui laisse entrevoir, pour Airbourne, l'opportunité de prendre, peut-être, le leadership du Hard à l'Australienne, si AC/DC s'arrete définitivement. L'avenir nous le dira. A consommer chaud!
Label : | Spinefarm Records |
Sortie : | 2016 |
Production : | Bob Marlette |
Discographie : |
Runnin' Wild (2007) |
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