Deuxième opus pour ce combo de Hard Rock, né en 2009, et, originaire de Bordeaux.
Fondé par le bassiste/chanteur Julien Logeais, et, le claviériste Julien Rosello, le duo est rejoint par le batteur Léo Calzetta, puis, par les guitaristes Julien Lamy et Arthur Orsini. Evoluant dans un Hard rock aux influences 70's, mais, joué avec d'avantage de modernité, les Bordelais réalisent un premier EP intitulé The End is Nigh qui sort en Octobre 2012. Fort de ce premier enregistrement, le combo se produit dans la région Bordelaise juqu'au début de l'année 2013. En Avril, le claviériste Julien Rosello quitte le groupe pour etre remplacé par Valentin Sarthou. 2014, sortie du premier opus, défendu sur scène, non seulement, à Bordeaux, mais, aussi, à Pau, Bergerac, Saintes, Poitiers, ou, encore, Nantes et Rennes. En Octobre de la meme année, c'est au tour du guitariste Julien Lamy de quitter le groupe pour un nouveau projet musical. C'est donc, dans une nouvelle configuration à quatre, que les Berserkers décident de poursuivre l'aventure. Pendant un an le quartette se consacrera à l'écriture de ce deuxième album, passera, environ, six mois en studio pour enregistrer, mixer, et, masteriser ce Loack And Load, sorti le 23 Juin 2016.
Dès l'entame, avec Outlaw le ton est donné. Un tempo mené tambour battant par Léo, un riff de guitare ravageur asséné par Arthur, une nappe d'orgue hammond plaquée par Valentin, et, la voix haute de Julien qui vient se greffer sur l'ensemble. Un ensemble coloré de pourpre profond, bien en place, sur lequel Arthur vient distiller un chorus chaud et incisif. Meme approche sur Starlight City, avec son riff syncopé, les notes haut-perchées de Julien, et, le chorus de shredder signé Arthur. En un peu moins rapide on se régale, d'abord, sur It's Up To You, avec son riff qui bouillonne, sa basse clinquante, son chorus en wah-wah, mais, aussi, sur Rock Save The World, avec son refrain efficace envoyé à la manière d'Aérosmith. En plus progressif, avec changements de rythmes et alternances de climats divers et variés, le groupe nous gratifie de trois excellents moments. D'abord, on trouve Vampire Lady, avec son intro jazzy, et, la wah-wah hurlante d'Arthur. Ensuite, on a Heroes Are Back In Town, mi Aérosmith, mi Uriah Heep avec le bon feeling de Valentin au clavier de son orgue Hammond, ou, encore, véritable pièce maitresse, le très sombre et envoutant Hangoverhead, avec ses breaks bien enroulés, rythmés par un Léo très inspiré. Enfin, en plus enlevé, on se délecte sur Blind Taste, avec son riff qui bourdonne à la manière d'Ulrich Roth dans Virgin Killer, et, la voix de Julien proche de Ian Gillan, mais, également, sur The Foolish Man, avec son intro genre Perfect Strangers de Deep Purple, et, son excellent refrain très mélodique. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album bien construit, bien produit, doté d'un groove aux harmonies très vintage, et, qui s'écoute très agréablement.
Un vraie réussite qui offre, aux Berserkers, l'opportunité de franchir un nouveau palier en allant défendre cet album, sur scène, et, si les Dieux du Hard Rock leur pretent vie, de pouvoir s'affirmer, en France, comme l'un des groupes les plus en vue, évoluant dans le style Old School, actuellement, en plein renouveau. Alors, y'a plus qu'à.....
Dès l'entame, avec Outlaw le ton est donné. Un tempo mené tambour battant par Léo, un riff de guitare ravageur asséné par Arthur, une nappe d'orgue hammond plaquée par Valentin, et, la voix haute de Julien qui vient se greffer sur l'ensemble. Un ensemble coloré de pourpre profond, bien en place, sur lequel Arthur vient distiller un chorus chaud et incisif. Meme approche sur Starlight City, avec son riff syncopé, les notes haut-perchées de Julien, et, le chorus de shredder signé Arthur. En un peu moins rapide on se régale, d'abord, sur It's Up To You, avec son riff qui bouillonne, sa basse clinquante, son chorus en wah-wah, mais, aussi, sur Rock Save The World, avec son refrain efficace envoyé à la manière d'Aérosmith. En plus progressif, avec changements de rythmes et alternances de climats divers et variés, le groupe nous gratifie de trois excellents moments. D'abord, on trouve Vampire Lady, avec son intro jazzy, et, la wah-wah hurlante d'Arthur. Ensuite, on a Heroes Are Back In Town, mi Aérosmith, mi Uriah Heep avec le bon feeling de Valentin au clavier de son orgue Hammond, ou, encore, véritable pièce maitresse, le très sombre et envoutant Hangoverhead, avec ses breaks bien enroulés, rythmés par un Léo très inspiré. Enfin, en plus enlevé, on se délecte sur Blind Taste, avec son riff qui bourdonne à la manière d'Ulrich Roth dans Virgin Killer, et, la voix de Julien proche de Ian Gillan, mais, également, sur The Foolish Man, avec son intro genre Perfect Strangers de Deep Purple, et, son excellent refrain très mélodique. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album bien construit, bien produit, doté d'un groove aux harmonies très vintage, et, qui s'écoute très agréablement.
Un vraie réussite qui offre, aux Berserkers, l'opportunité de franchir un nouveau palier en allant défendre cet album, sur scène, et, si les Dieux du Hard Rock leur pretent vie, de pouvoir s'affirmer, en France, comme l'un des groupes les plus en vue, évoluant dans le style Old School, actuellement, en plein renouveau. Alors, y'a plus qu'à.....
Discographie : |
Berserkers (2014) |
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Commentaires
Ce second album de 2016 vient d'être intégralement mis en ligne. Seul bémol : un manque de production, qui aplanit le groove ... et peut être une batterie un peu trop linéaire ? à suivre car très prometteur !
Dans le genre Pourpre, c'est probablement la relève qui me botte le plus depuis longtemps
Avec un bon producteur, ça pourrait faire un truc très bon
Malgré ses quelques imperfections de jeunesse, c'est un très bon disque ! Merci Markus
ps : c'est français !
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