Troisième album pour THE MURDER OF MY SWEET et retour au bercail chez Frontiers Records,
après un bref passage chez AFM Records le temps de l'album "Bye Bye lullaby" en 2012. Le groupe est toujours emmené par la belle Angelica Rylin (qui s'était illustrée notamment par un très bon album solo en 2013 ( "Thrive") et des apparitions sur les excellents projets CRASH THE SYSTEM et RATED X ) , et drivé par Daniel Flores, dont on ne présente plus le CV pour les fans du genre ; il sera à nouveau sur le second album très prometteur du projet 'FIND ME' dont la sortie est prévue en Décembre au passage (histoire de faire un peu de pub ! Nul doute qu'on en reparlera ).
Epaulé par Christopher Vetter aux guitares (déjà présent sur le précédent album) , et un nouveau venu à la basse du nom de Patrik Janson qui complète la formation, THE MURDER OF MY SWEET perpétue son 'Cinematic Metal', ou plutôt son Métal symphonique et mélodique aux relents FM , au gré des 13 plages qui sillonnent cet album .
Cet album justement ; il se nomme "Beth out of hell", et il s'articule autour d'un concept relatant une histoire d'amour apocalyptique entre la fille de Lucifer tombant amoureuse de l'archange Michael. C'est vrai que l'atmosphère porte à merveille l'âme de ce nouveau disque et on se retrouve vite emporté dans cet album comme dans un film , appuyé par les longues intros sous forme d'interludes, et les claviers très "cinématographiques", un peu comme ceux de Gregg Giuffria à l'époque de GIUFFRIA le groupe. Par moment on pense aussi à certaines pièces des vieux albums d'Alice Cooper sur certains passages, d'un point de vue ambiance.
Tout semble affirmer un album grandiose ; c'est vrai , ça l'est dans l'absolu, mais néanmoins, je trouve l'album un peu difficile à suivre ; certains morceaux étant un peu trop longuets , le groupe ayant mis un peu de côté les morceaux plus immédiats des 2 premiers albums pour des morceaux un peu trop alambiqués ( "Bitter Love" par exemple ) , là où "Always the fugitive", "Humble Servant" et "Still" nous rappellent au bon souvenir les 2 premiers albums avec ses précieuses mélodies , alors que "Tide after tide" , certainement très utile pour la compréhension du concept, est un peu pénible au final. Rien à dire concernant l'interprétation sans faille, et la voix d'Angelica fait toujours merveille; on sent d'ailleurs qu'il y a un lourd travail derrière cet album.
Si le groupe continue dans la droite lignée des 2 premiers opus d'un point de vue musical , les morceaux semblent un peu moins accrocheurs et l'on a du mal à retenir les titres au fil des écoutes, comme une impression d'uniformité sur l'ensemble de l'album, donnant presque le sentiment d'une certaine lassitude en arrivant à la fin du disque; et pourtant, malgré tout, je le répète, ce disque est très bon objectivement parlant.
Quoiqu'il en soit, cet album reste à posséder, surtout si l'on aime les 2 premiers albums ; à vous de vous faire une idée sur l'oeuvre en question, qui vaut le détour, c'est indiscutable.
Play it in and out of hell!
Epaulé par Christopher Vetter aux guitares (déjà présent sur le précédent album) , et un nouveau venu à la basse du nom de Patrik Janson qui complète la formation, THE MURDER OF MY SWEET perpétue son 'Cinematic Metal', ou plutôt son Métal symphonique et mélodique aux relents FM , au gré des 13 plages qui sillonnent cet album .
Cet album justement ; il se nomme "Beth out of hell", et il s'articule autour d'un concept relatant une histoire d'amour apocalyptique entre la fille de Lucifer tombant amoureuse de l'archange Michael. C'est vrai que l'atmosphère porte à merveille l'âme de ce nouveau disque et on se retrouve vite emporté dans cet album comme dans un film , appuyé par les longues intros sous forme d'interludes, et les claviers très "cinématographiques", un peu comme ceux de Gregg Giuffria à l'époque de GIUFFRIA le groupe. Par moment on pense aussi à certaines pièces des vieux albums d'Alice Cooper sur certains passages, d'un point de vue ambiance.
Tout semble affirmer un album grandiose ; c'est vrai , ça l'est dans l'absolu, mais néanmoins, je trouve l'album un peu difficile à suivre ; certains morceaux étant un peu trop longuets , le groupe ayant mis un peu de côté les morceaux plus immédiats des 2 premiers albums pour des morceaux un peu trop alambiqués ( "Bitter Love" par exemple ) , là où "Always the fugitive", "Humble Servant" et "Still" nous rappellent au bon souvenir les 2 premiers albums avec ses précieuses mélodies , alors que "Tide after tide" , certainement très utile pour la compréhension du concept, est un peu pénible au final. Rien à dire concernant l'interprétation sans faille, et la voix d'Angelica fait toujours merveille; on sent d'ailleurs qu'il y a un lourd travail derrière cet album.
Si le groupe continue dans la droite lignée des 2 premiers opus d'un point de vue musical , les morceaux semblent un peu moins accrocheurs et l'on a du mal à retenir les titres au fil des écoutes, comme une impression d'uniformité sur l'ensemble de l'album, donnant presque le sentiment d'une certaine lassitude en arrivant à la fin du disque; et pourtant, malgré tout, je le répète, ce disque est très bon objectivement parlant.
Quoiqu'il en soit, cet album reste à posséder, surtout si l'on aime les 2 premiers albums ; à vous de vous faire une idée sur l'oeuvre en question, qui vaut le détour, c'est indiscutable.
Play it in and out of hell!
Label : Frontiers records
Année : 2015
Discographie : |
• 2010: Divanity |
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