Formé de Christian Giardino à la batterie, César Sanchez à la basse, Andrès Duende à la guitare, Jésus Trujillo au clavier, et, au chant, le groupe puise son inspiration dans le répertoire de Deep Purple, Bad Company, ou, encore, Led Zeppelin. C'est, en 2008, que sort le premier album, intitulé En Busca de Eldorado (A la recherche de l'Eldorado), produit par Richard Chycki (Rush, Aérosmith, Gotthard), et, bien accueilli par la critique. 2010, sortie de Golden, le deuxième opus, enregistré au Canada, et, doté d'une bonne version du I Don't Need No Doctor de Ray Charles.
2011, Eldorado part en tournée, et, partage l'affiche avec Thin Lizzy. 2012, sortie du troisième épisode qui a pour nom Antigravity Sound Machine qui permet au quartet de remporter le prix du meilleur album de Hard Rock, lors des Music Awards Indépendant. 2013, le groupe tourne en Espagne, et, en Europe.
Juin 2014, Eldorado lance une vaste campagne de Crowfunding, afin de trouver des fonds pour enregistrer leur futur album à Madrid. Au final, 13500 euros seront récoltés grâce à 290 personnes originaires d'une bonne dizaine de pays, ce qui permet au groupe d'enregistrer, confortablement, ce Babylonia Haze, à Madrid.
Dès l'entame, avec Mad Woman, le ton est donné. Une entrée en matière rapide, façon Deep Purple, sur laquelle Jesus Tujillo greffe sa voix haute, et, puissante. Après un refrain efficace, Andrès Duende vient distiller un chorus en wah-wah, bien chaud et psychédélique. Même approche sur You Don't Wanna Need Her, avec son riff boogie classique, fidèle au style de John Lee Hooker. Dans une couleur proche d'Uriah Heep, on se régale sur le tempo obsédant d'Evil People, avec ses chœurs aériens, mais, aussi, sur I'll Be Satisfied, avec son bon chorus de clavier façon Ken Hensley. En plus progressif, on se délecte à l'écoute de Goodbye And Carry On, qui sonne très Black Sabs, avec son bon passage lent, et, son accélération, ainsi que, sur Karma Generator, avec ses changements de rythme, et, ses alternances de climats. En plus enlevé, on appréciera Flowers Of Envy, avec ses ambiances Spooky Tooth et Bad Company, mais, aussi, Moon Girl, avec ses sonorités Floydiennes, très aériennes, ou, encore, le bien acoustique Resurrection Song, avec son bon gimmick à la flute. Enfin, les Espagnols nous gratifient d'une ballade bien mélodique, intitulée Breathe The Night, avec de très belles harmonies aux accents Celtes. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album bien produit qui fait la part belle à un ensemble de compositions vintage, bien arrangées, qui s'écoutent très agréablement.
Belle confirmation pour Eldorado, qui, désormais, se hisse parmi les meilleurs en Europe, dans ce style Hard Old School, en plein renouveau. Alors, vous aussi, si vous etes en quête de votre Eldorado, cherchez le dans la Brume de Babylone, à coup sûr, c'est là qu'il se trouve.
2011, Eldorado part en tournée, et, partage l'affiche avec Thin Lizzy. 2012, sortie du troisième épisode qui a pour nom Antigravity Sound Machine qui permet au quartet de remporter le prix du meilleur album de Hard Rock, lors des Music Awards Indépendant. 2013, le groupe tourne en Espagne, et, en Europe.
Juin 2014, Eldorado lance une vaste campagne de Crowfunding, afin de trouver des fonds pour enregistrer leur futur album à Madrid. Au final, 13500 euros seront récoltés grâce à 290 personnes originaires d'une bonne dizaine de pays, ce qui permet au groupe d'enregistrer, confortablement, ce Babylonia Haze, à Madrid.
Dès l'entame, avec Mad Woman, le ton est donné. Une entrée en matière rapide, façon Deep Purple, sur laquelle Jesus Tujillo greffe sa voix haute, et, puissante. Après un refrain efficace, Andrès Duende vient distiller un chorus en wah-wah, bien chaud et psychédélique. Même approche sur You Don't Wanna Need Her, avec son riff boogie classique, fidèle au style de John Lee Hooker. Dans une couleur proche d'Uriah Heep, on se régale sur le tempo obsédant d'Evil People, avec ses chœurs aériens, mais, aussi, sur I'll Be Satisfied, avec son bon chorus de clavier façon Ken Hensley. En plus progressif, on se délecte à l'écoute de Goodbye And Carry On, qui sonne très Black Sabs, avec son bon passage lent, et, son accélération, ainsi que, sur Karma Generator, avec ses changements de rythme, et, ses alternances de climats. En plus enlevé, on appréciera Flowers Of Envy, avec ses ambiances Spooky Tooth et Bad Company, mais, aussi, Moon Girl, avec ses sonorités Floydiennes, très aériennes, ou, encore, le bien acoustique Resurrection Song, avec son bon gimmick à la flute. Enfin, les Espagnols nous gratifient d'une ballade bien mélodique, intitulée Breathe The Night, avec de très belles harmonies aux accents Celtes. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album bien produit qui fait la part belle à un ensemble de compositions vintage, bien arrangées, qui s'écoutent très agréablement.
Belle confirmation pour Eldorado, qui, désormais, se hisse parmi les meilleurs en Europe, dans ce style Hard Old School, en plein renouveau. Alors, vous aussi, si vous etes en quête de votre Eldorado, cherchez le dans la Brume de Babylone, à coup sûr, c'est là qu'il se trouve.
Label : | Autoprod |
Sortie : | 2015 |
Production : | Richard Ckycki |
Discographie : |
En Busca de Eldorado (2008) Dorado (2009) / Golden (2010) Paranormal Radio (2012) / Antigravity Sound Machine (2012) Babylonia Haze (2015) |
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