Mais cela abime les genoux !!!.
C’est décidé je me mets à nu. Mon style parfois peut sembler étrange ; voire bizarre mon capitaine. Tout ça c’est l’enfance, enfant un jour ma maman me donna 50 centimes et me dit : « Va au catéchisme et … à confesse ; vade et retro Satanas ! ». Mon papa m’attrapa à la barrière et me tint à peu près ce langage (filou comme un renard, il faut dire qu’il sentait parfois le fromage et moi j’avais déjà … Un corps beau !) : « Oublie le début de sa phrase, ne fais pas attention à l’orthographe confesse s’écrit en deux mots ; tiens voilà 100 francs et si t’as pas assez … Fais comme elle t’a dit, vends des rétros Satanas ». Alors, vous comprenez mieux ?
C’est pour ça que je peux sembler différent parfois ou … Souvent … Désolé, irrécupérable, trop tard !
Mea Culpa ! Maintenant, on parlera de hasard pour bizarre, un groupe du Nord Est vu en concert et « Live Reporté » dans le Sud ; ceci afin de retrouver mes amis d’Harmonic Generator. A cette époque le groupe se nommait SLAPBACK et déjà j’étais frappé, happé par ce mélange d’originalité et de professionnalisme de ces êtres venus d’ailleurs ! Capillairements différents des … Sous coupes, d’Aliens ? Une soirée motards, hasard et bizarre. On tourne les potards et place au Bizarre (amis de la rime bonjour !).
Je pourrais parler de glace colonel pour général mais, je me connais ça va partir en sucette. Donc on oubli.
Si General Bizarre était un cocktail, il serait du genre bien frappé, le lieu : un bar et décor des années 50 Américains. Dans ses racines du Rockabilly, mais pas en version gnangnan ; tout amateur de bon gros son pourra se délecter.
Quel Hardos (avec l’oreille musicale) peut prétendre être insensible au jeu de cordes d’un Brian Setzer ?
Quel Hardos (avec les deux oreilles musicales) peut prétendre être insensible au charisme vocal d’un chanteur barré ?
Quel…. Blablabla… Aux sonorités à touches d’ambiances cinématographique ?
Qu…Bla … Aux bucherons du fond qui donnent autant à leur instrument : le tambour à siège et la guitare caricaturé avec un gros manche à quatre cordes ?
QUI ?
Celui qui a répondu moi est Hard cervical, juste bon à secouer la tête au premier rang de la scène, autant que l’est un clébard articulé sur une plage arrière, entre les coussins au crochet et napperons de copine ( ) ; maman ( ) ou grand-mère ( ) – Cocher la case qui vous concerne et au-revoir.
Car je vais blablater de hasard, bizarre … Mais pas avec les conards ! (Fin de la rime !)
J’aime ce moment où on reste entre gentlemen & moi, parfois seul coq de la basse-cour ………… Merci, mais laissez-moi apprécier, ce moment ……. Même si je n’arriverai jamais à l’apprécier autant que cette galette, par exemple.
Un opus qui a répondu à tous les essais du banc des écoutes MaënorAesque : sur la chaine, dans la voiture, sur l’Ipod, le Mp3, dans la salle, le salon, la chambre, les collines, la chaine … des Alpilles ; OUI également aux toilettes ! J’assume. La preuve en image en bas de chronique. Certain(s) pourrai(en)t dire ça ne m’étonne pas ! A ce(ux)lui-là, je répondrai : « Laissons chaque trou inspirer la pensée profondeet la noirceur … De l’âme !».
In fine, je me suis régalé ! A tel point que parfois j’ai pu me dire : « Et si jeune tu n’avais pas eu un Azerty sur le front, tu aurais très bien pu adopter, une coupe Elvis au lieu d’une coupe de fille ? ». Mais la mèche sur le front cache plus que la banane. Et puis je préférai traîner avec des filles et des bières autour de moi, qu’avec des potes et des bières. Parce que sincèrement hormis Elvis … Vous en avez connu beaucoup des filles qui aimaient la banane … On se calme ! Sur la tête, je précise. Là je pourrai rebondir sur ma glace colonel ? Non, on oubli !
J’en vois certain(e)s qui sont rassuré(e)s le Maënora est toujours aussi libre d’écriture. Petite enfance, les amis, premier paragraphe et le bégaiement de « la quête ».
Et si on allait en profondeur dans cet espace musique, que je vous motivais à l’investissement, le placement, les concerts ? Que je vous offrais le même bonheur auditif que celui perçu par votre servit.. ; oups ... Maître ?
Flashback ….. Les images deviennent troubles, vos jambes flagelles, vous vous endormez !
(S.V.P. Laissez au moins un œil ouvert.)
Mon premier souvenir, ne déplaise aux autres membres ; la technique, la précision, le jeu de Pierrick m’avait cueilli à froid. Même si je fais abstraction de vrai premier souvenir … Le personnage Kraspek, un météroïde (ça vous frappe ailleurs). Je n’ai pas une grosse … culture de ce courant musical (je précise) ; mais là seule chose que je sais (comme disait Gabin) [Interlude, offert : Allez-vous chercher une binouze]
http://www.youtube.com/watch?v=orDR4JA91F4
J’ai assez avec ce groupe pour combler un vide musical. Pour certains ce sera un vide abyssal, je m’absente deux secondes j’ai un vide aux amygdales et tout cela et plus … C’est offert par votre General Bizarre.
En ce qui me concerne, il y a bien sûr des albums de Setzer dans ma CDThèque, mais un fleuron hexagonal ? Je n’avais pas.
La guitare est un des manches que j’ai tenu dans ma vie, si mes mains savaient faire ce que sait jouer mon cerveau, je donnerai des cours aux petits Satch, Vai, S.Morse, Poley, Kotzen, Gilbert et j’en passe. Je me ferai des #ouilles en Or et pas des nouilles encore …
Vous constaterez volontairement je n’ai pas cité de Français, car là … J’assumerai mal d’oublier un nom. Ce dont je me fou au contraire royalement, quand je sors des frontières de mon territoire. Si j’avais dans mes mains le jeu qui est dans ma tête, je serai le Phénix de ces bois. Je vous l’accorde ce que je suis déjà dans mes collines, autour de quatre cailloux !
Donc, au lieu de ça, j’écris des critiques débiles. Je partage, j’offre, je distille, je sème le talent des autres aux quatre coins de mon pétouillé, en Arial … La police d’écriture ; stop ! Vous pouvez refermer vos Atlas.
La chose dont je suis certain, j’aimerai revoir ce groupe en concert. Et ça … C’est une preuve évidente de ma reconnaissance à ces musiciens, ce groupe.
Maintenant allons analyser, disséquer, éplucher, décortiquer, examiner ce qui fait l’accroche de ce groupe ; extraire, voir, comprendre et chercher l’adhésion qui se fait. Rationnaliser et expliquer la recette de ce cocktail. Car il y a un truc !
Le fameux saucissonnage labellisé ; celui que veut me racheter justin B(ridou – pas Bieber) :
Circus (Amazing, Unbelievable, Smmart And Terrific) Pour vous faire rentrer dans le rythme c’est Gorgor qui vient vous pulser sous l’impulsion terrible de ces fûts, ce qui sera votre pulsation cardiaque d’accroche. Quand la guitare intervient, associée au travail de Romain et Joss (respectivement), clavier et basse ; Kraspeck n’a plus qu’à faire résonner son timbre, si particulier. On nage en plein univers Tarantinesque, là leur Rock est aux coloris cinématographique, mais avec des renvoi au passé. Cependant le premier titre est plutôt là en amuse-bouche.
Car dès Fight (I’M Not Violent I’M Just Dangerous) intervient, c’est le piège qui se referme ; vous ne pourrez plus mettre pause avant quelques titres et encore aux prix d’efforts insoutenables. Ces ambiances purement Rock’n’roll, de stray Cats, nourries aux hormones sont hyper jouissives. Après les gégènes aux taches léopards, ce sera le coton kangourou à la tache Nestlé.
Last Tattoo (She Told Me To Switch On The Light) pur titre Rockabilly, le pulsé sauce : General Bizarre, des riffs de guitares sorties de nulles part. Autant de portes ouverts pour donner la liberté à l’ensemble du groupe de délivrer : lignes de solos inventifs, inspirées. Ouvrant des brèches pour chaque zicos et délires d’un singer-leader envouté ; un Diamond Dave banané ... Oui, pas moins.
Twins (I Love Your Mother Too) : Un hymne typé et racé pour la radio et tous autres supports. Kraspek (voix) est un personnage à part et toujours en boni ce solo de gratte hyper inspiré. La vidéo finira de vous convaincre.
The Party / Calvaire (Naked And Dirty, Sad And Naughty). Gorgor et Joss sont les metronomes qui vous captent. Utilisés à bon escients, ils sont le carburant de chaque titre, aussi bien diesel, que super voire Nitro, ils tracent la route pour les ambiances claviers de Romain. Après cela, ça en deviendrait presque facile de déposer guitare et chant. Alors forcément, quand ses deux éléments viennent faire éclater les couleurs sur le tableau final … ça éclabousse sévère !
Fear (She Came From Somewhere Between Heart And Guts). Deux univers : “Shutter Island” & “Angel Heart” le groupe pourrait jouer sur ces fonds d’images.
Ce serait donc ça le mid tempo Rockabilly ? Pour instaurer cette ambiance barge, le clavier de Romain avec la voix de Kraspek, déposent le vernis final, la dernière couche et vous condamnent, nous plongenat dans cette ambiance … « Camisolée”.
Jukebox’s Burning (Got Pins And Needles And My Soles Are Hot) : première vraie explosion de chœur, pour ce titre qui vient coller à son prédécesseur, on se retrouve au cœur du jukebox. Un morceau taillé pour foule en délire.
Not You But Marylou (I’M Sorry But I Got To Go) ça y est nos amis ont breveté le Punk’n’roll à Billy ; un espace musical pour faire parler les chorus sur toute la longueur du manche, la voix passe ainsi sur tous les registres, tout au long de l’album et de ces pièces diverses. Un tout petit (petit) côté Ramones sur ce titre et dans l’esprit de l’album, car on ne fait pas dans le prog et les morceaux de douze minutes ; les délires en longueurs seront pour la scène. Car le potentiel est bel et bien là.
Collision (Keep Cool You’re Sitting On The Roof). Autre fait impressionnant, c’est cette façon de faire coller/résonner musicalement, les premières notes au choix du titre ! Cette adéquation ambiance musicale -verbale. Par exemple, là c’est bien une collision qui vous frappe en pleine tronche. Du Jerry Lee Lewis aux amphèt’. Beaucoup plus contemporain, plus encore à la portée du plus grand nombre.
Turn Back (Future Is Behind You) place au Rock, amis de la guitare attendez-vous à une exploitation du style & toujours ces effets de voix sur ce rempart rythmique, indestructible.
Little Suzy (There’s No Bathroom Won’t You Come All The Same) l’esprit devient ballade ; des lignes improbables ; pas impossibles (Oscar Wilde)… J’adore également ce titre ! Iimpossible de trouver ailleurs, dans un autre créneau du Rock ce type de morceau. Pas si étrange … Car c’est General Bizarre.
Si je devais réaliser un film, je serai obligé de faire appel à ce groupe. Je souhaiterai, que dis-je ? J’exigerai au minimum deux titres.
Le registre voix grave et chœurs c’est de la haute couture. Pas un pli, pas un fil qui dépasse.
You’LL Like It (I’M Fuckin’ Fan Of My Band) You’LL Like It ? Et moi je dirai :”Et me too” ou “Me aussi”. La transition est parfaite ; voilà un titre qui aurait presque pu figurer dans le dernier Nightmare d’Alice Cooper. Ambiance, je vous dis … Ambiance de l’armure comme disaient les chevaliers, repris et détourné après un tennisman nu-pieds !
Japanese Call Girls (I’M None Inch Taller In My Dream) second morceau au tempo – mid encore un registre, où ils sont pleinement chez eux. D’un autre côté General Bizarre est un groupe d’atmosphère, de climat musical. Quand ils jouent sur des tempos plus en dedans, il devient beaucoup plus aisé d’imposer, démontrer à chacun sa patte perso’ ; sur ces « faux » rythmes. Cela permet de savourer au ralenti la prestation de chacun. Ils sont au Rockabilly ce que D.A.D. est au Hard. Un chainon manquant.
Kartoffel Suppe (Eine Kraftige Suppe Fur Kalte Wintertage) purement, résolument Rock et humour, ce titre est déposé comme la carte de visite du groupe. On ne se prend pas au sérieux, mais en écoutant tu sauras à qui tu as affaire ;-) hum, hum Dienstmädchen Appetit !
Bon ma conclusion : Cet album trônera dans son style sur mon podium 2013. Je commence fort l’année ; Je sors quelques peu de ma ligne première ; mais en restant dans ce qui m’anime : La qualité, l’originalité (parfois) et l’ambiance (très souvent). Un gros coup de cœur 2013 !
Merci au groupe d’avoir fait appel à moi. Mais ce ne sont des missions que je peux facilement relever, bien sûr uniquement quand l’envie est à hauteur du plaisir.
Lectrice, lecteur ; merci aussi de me suivre … Je vous suis dévoué. Mais à contrario … Je suis désolé ! Vous allez être dans l’obligation d’investir : C’’est un nectar … Bizarre mais hautement gradé ! Un indispensable de ce premier trimestre, de l’année et ++
C’est décidé je me mets à nu. Mon style parfois peut sembler étrange ; voire bizarre mon capitaine. Tout ça c’est l’enfance, enfant un jour ma maman me donna 50 centimes et me dit : « Va au catéchisme et … à confesse ; vade et retro Satanas ! ». Mon papa m’attrapa à la barrière et me tint à peu près ce langage (filou comme un renard, il faut dire qu’il sentait parfois le fromage et moi j’avais déjà … Un corps beau !) : « Oublie le début de sa phrase, ne fais pas attention à l’orthographe confesse s’écrit en deux mots ; tiens voilà 100 francs et si t’as pas assez … Fais comme elle t’a dit, vends des rétros Satanas ». Alors, vous comprenez mieux ?
C’est pour ça que je peux sembler différent parfois ou … Souvent … Désolé, irrécupérable, trop tard !
Mea Culpa ! Maintenant, on parlera de hasard pour bizarre, un groupe du Nord Est vu en concert et « Live Reporté » dans le Sud ; ceci afin de retrouver mes amis d’Harmonic Generator. A cette époque le groupe se nommait SLAPBACK et déjà j’étais frappé, happé par ce mélange d’originalité et de professionnalisme de ces êtres venus d’ailleurs ! Capillairements différents des … Sous coupes, d’Aliens ? Une soirée motards, hasard et bizarre. On tourne les potards et place au Bizarre (amis de la rime bonjour !).
Je pourrais parler de glace colonel pour général mais, je me connais ça va partir en sucette. Donc on oubli.
Si General Bizarre était un cocktail, il serait du genre bien frappé, le lieu : un bar et décor des années 50 Américains. Dans ses racines du Rockabilly, mais pas en version gnangnan ; tout amateur de bon gros son pourra se délecter.
Quel Hardos (avec l’oreille musicale) peut prétendre être insensible au jeu de cordes d’un Brian Setzer ?
Quel Hardos (avec les deux oreilles musicales) peut prétendre être insensible au charisme vocal d’un chanteur barré ?
Quel…. Blablabla… Aux sonorités à touches d’ambiances cinématographique ?
Qu…Bla … Aux bucherons du fond qui donnent autant à leur instrument : le tambour à siège et la guitare caricaturé avec un gros manche à quatre cordes ?
QUI ?
Celui qui a répondu moi est Hard cervical, juste bon à secouer la tête au premier rang de la scène, autant que l’est un clébard articulé sur une plage arrière, entre les coussins au crochet et napperons de copine ( ) ; maman ( ) ou grand-mère ( ) – Cocher la case qui vous concerne et au-revoir.
Car je vais blablater de hasard, bizarre … Mais pas avec les conards ! (Fin de la rime !)
J’aime ce moment où on reste entre gentlemen & moi, parfois seul coq de la basse-cour ………… Merci, mais laissez-moi apprécier, ce moment ……. Même si je n’arriverai jamais à l’apprécier autant que cette galette, par exemple.
Un opus qui a répondu à tous les essais du banc des écoutes MaënorAesque : sur la chaine, dans la voiture, sur l’Ipod, le Mp3, dans la salle, le salon, la chambre, les collines, la chaine … des Alpilles ; OUI également aux toilettes ! J’assume. La preuve en image en bas de chronique. Certain(s) pourrai(en)t dire ça ne m’étonne pas ! A ce(ux)lui-là, je répondrai : « Laissons chaque trou inspirer la pensée profondeet la noirceur … De l’âme !».
In fine, je me suis régalé ! A tel point que parfois j’ai pu me dire : « Et si jeune tu n’avais pas eu un Azerty sur le front, tu aurais très bien pu adopter, une coupe Elvis au lieu d’une coupe de fille ? ». Mais la mèche sur le front cache plus que la banane. Et puis je préférai traîner avec des filles et des bières autour de moi, qu’avec des potes et des bières. Parce que sincèrement hormis Elvis … Vous en avez connu beaucoup des filles qui aimaient la banane … On se calme ! Sur la tête, je précise. Là je pourrai rebondir sur ma glace colonel ? Non, on oubli !
J’en vois certain(e)s qui sont rassuré(e)s le Maënora est toujours aussi libre d’écriture. Petite enfance, les amis, premier paragraphe et le bégaiement de « la quête ».
Et si on allait en profondeur dans cet espace musique, que je vous motivais à l’investissement, le placement, les concerts ? Que je vous offrais le même bonheur auditif que celui perçu par votre servit.. ; oups ... Maître ?
Flashback ….. Les images deviennent troubles, vos jambes flagelles, vous vous endormez !
(S.V.P. Laissez au moins un œil ouvert.)
Mon premier souvenir, ne déplaise aux autres membres ; la technique, la précision, le jeu de Pierrick m’avait cueilli à froid. Même si je fais abstraction de vrai premier souvenir … Le personnage Kraspek, un météroïde (ça vous frappe ailleurs). Je n’ai pas une grosse … culture de ce courant musical (je précise) ; mais là seule chose que je sais (comme disait Gabin) [Interlude, offert : Allez-vous chercher une binouze]
http://www.youtube.com/watch?v=orDR4JA91F4
J’ai assez avec ce groupe pour combler un vide musical. Pour certains ce sera un vide abyssal, je m’absente deux secondes j’ai un vide aux amygdales et tout cela et plus … C’est offert par votre General Bizarre.
En ce qui me concerne, il y a bien sûr des albums de Setzer dans ma CDThèque, mais un fleuron hexagonal ? Je n’avais pas.
La guitare est un des manches que j’ai tenu dans ma vie, si mes mains savaient faire ce que sait jouer mon cerveau, je donnerai des cours aux petits Satch, Vai, S.Morse, Poley, Kotzen, Gilbert et j’en passe. Je me ferai des #ouilles en Or et pas des nouilles encore …
Vous constaterez volontairement je n’ai pas cité de Français, car là … J’assumerai mal d’oublier un nom. Ce dont je me fou au contraire royalement, quand je sors des frontières de mon territoire. Si j’avais dans mes mains le jeu qui est dans ma tête, je serai le Phénix de ces bois. Je vous l’accorde ce que je suis déjà dans mes collines, autour de quatre cailloux !
Donc, au lieu de ça, j’écris des critiques débiles. Je partage, j’offre, je distille, je sème le talent des autres aux quatre coins de mon pétouillé, en Arial … La police d’écriture ; stop ! Vous pouvez refermer vos Atlas.
La chose dont je suis certain, j’aimerai revoir ce groupe en concert. Et ça … C’est une preuve évidente de ma reconnaissance à ces musiciens, ce groupe.
Maintenant allons analyser, disséquer, éplucher, décortiquer, examiner ce qui fait l’accroche de ce groupe ; extraire, voir, comprendre et chercher l’adhésion qui se fait. Rationnaliser et expliquer la recette de ce cocktail. Car il y a un truc !
Le fameux saucissonnage labellisé ; celui que veut me racheter justin B(ridou – pas Bieber) :
Circus (Amazing, Unbelievable, Smmart And Terrific) Pour vous faire rentrer dans le rythme c’est Gorgor qui vient vous pulser sous l’impulsion terrible de ces fûts, ce qui sera votre pulsation cardiaque d’accroche. Quand la guitare intervient, associée au travail de Romain et Joss (respectivement), clavier et basse ; Kraspeck n’a plus qu’à faire résonner son timbre, si particulier. On nage en plein univers Tarantinesque, là leur Rock est aux coloris cinématographique, mais avec des renvoi au passé. Cependant le premier titre est plutôt là en amuse-bouche.
Car dès Fight (I’M Not Violent I’M Just Dangerous) intervient, c’est le piège qui se referme ; vous ne pourrez plus mettre pause avant quelques titres et encore aux prix d’efforts insoutenables. Ces ambiances purement Rock’n’roll, de stray Cats, nourries aux hormones sont hyper jouissives. Après les gégènes aux taches léopards, ce sera le coton kangourou à la tache Nestlé.
Last Tattoo (She Told Me To Switch On The Light) pur titre Rockabilly, le pulsé sauce : General Bizarre, des riffs de guitares sorties de nulles part. Autant de portes ouverts pour donner la liberté à l’ensemble du groupe de délivrer : lignes de solos inventifs, inspirées. Ouvrant des brèches pour chaque zicos et délires d’un singer-leader envouté ; un Diamond Dave banané ... Oui, pas moins.
Twins (I Love Your Mother Too) : Un hymne typé et racé pour la radio et tous autres supports. Kraspek (voix) est un personnage à part et toujours en boni ce solo de gratte hyper inspiré. La vidéo finira de vous convaincre.
The Party / Calvaire (Naked And Dirty, Sad And Naughty). Gorgor et Joss sont les metronomes qui vous captent. Utilisés à bon escients, ils sont le carburant de chaque titre, aussi bien diesel, que super voire Nitro, ils tracent la route pour les ambiances claviers de Romain. Après cela, ça en deviendrait presque facile de déposer guitare et chant. Alors forcément, quand ses deux éléments viennent faire éclater les couleurs sur le tableau final … ça éclabousse sévère !
Fear (She Came From Somewhere Between Heart And Guts). Deux univers : “Shutter Island” & “Angel Heart” le groupe pourrait jouer sur ces fonds d’images.
Ce serait donc ça le mid tempo Rockabilly ? Pour instaurer cette ambiance barge, le clavier de Romain avec la voix de Kraspek, déposent le vernis final, la dernière couche et vous condamnent, nous plongenat dans cette ambiance … « Camisolée”.
Jukebox’s Burning (Got Pins And Needles And My Soles Are Hot) : première vraie explosion de chœur, pour ce titre qui vient coller à son prédécesseur, on se retrouve au cœur du jukebox. Un morceau taillé pour foule en délire.
Not You But Marylou (I’M Sorry But I Got To Go) ça y est nos amis ont breveté le Punk’n’roll à Billy ; un espace musical pour faire parler les chorus sur toute la longueur du manche, la voix passe ainsi sur tous les registres, tout au long de l’album et de ces pièces diverses. Un tout petit (petit) côté Ramones sur ce titre et dans l’esprit de l’album, car on ne fait pas dans le prog et les morceaux de douze minutes ; les délires en longueurs seront pour la scène. Car le potentiel est bel et bien là.
Collision (Keep Cool You’re Sitting On The Roof). Autre fait impressionnant, c’est cette façon de faire coller/résonner musicalement, les premières notes au choix du titre ! Cette adéquation ambiance musicale -verbale. Par exemple, là c’est bien une collision qui vous frappe en pleine tronche. Du Jerry Lee Lewis aux amphèt’. Beaucoup plus contemporain, plus encore à la portée du plus grand nombre.
Turn Back (Future Is Behind You) place au Rock, amis de la guitare attendez-vous à une exploitation du style & toujours ces effets de voix sur ce rempart rythmique, indestructible.
Little Suzy (There’s No Bathroom Won’t You Come All The Same) l’esprit devient ballade ; des lignes improbables ; pas impossibles (Oscar Wilde)… J’adore également ce titre ! Iimpossible de trouver ailleurs, dans un autre créneau du Rock ce type de morceau. Pas si étrange … Car c’est General Bizarre.
Si je devais réaliser un film, je serai obligé de faire appel à ce groupe. Je souhaiterai, que dis-je ? J’exigerai au minimum deux titres.
Le registre voix grave et chœurs c’est de la haute couture. Pas un pli, pas un fil qui dépasse.
You’LL Like It (I’M Fuckin’ Fan Of My Band) You’LL Like It ? Et moi je dirai :”Et me too” ou “Me aussi”. La transition est parfaite ; voilà un titre qui aurait presque pu figurer dans le dernier Nightmare d’Alice Cooper. Ambiance, je vous dis … Ambiance de l’armure comme disaient les chevaliers, repris et détourné après un tennisman nu-pieds !
Japanese Call Girls (I’M None Inch Taller In My Dream) second morceau au tempo – mid encore un registre, où ils sont pleinement chez eux. D’un autre côté General Bizarre est un groupe d’atmosphère, de climat musical. Quand ils jouent sur des tempos plus en dedans, il devient beaucoup plus aisé d’imposer, démontrer à chacun sa patte perso’ ; sur ces « faux » rythmes. Cela permet de savourer au ralenti la prestation de chacun. Ils sont au Rockabilly ce que D.A.D. est au Hard. Un chainon manquant.
Kartoffel Suppe (Eine Kraftige Suppe Fur Kalte Wintertage) purement, résolument Rock et humour, ce titre est déposé comme la carte de visite du groupe. On ne se prend pas au sérieux, mais en écoutant tu sauras à qui tu as affaire ;-) hum, hum Dienstmädchen Appetit !
Bon ma conclusion : Cet album trônera dans son style sur mon podium 2013. Je commence fort l’année ; Je sors quelques peu de ma ligne première ; mais en restant dans ce qui m’anime : La qualité, l’originalité (parfois) et l’ambiance (très souvent). Un gros coup de cœur 2013 !
Merci au groupe d’avoir fait appel à moi. Mais ce ne sont des missions que je peux facilement relever, bien sûr uniquement quand l’envie est à hauteur du plaisir.
Lectrice, lecteur ; merci aussi de me suivre … Je vous suis dévoué. Mais à contrario … Je suis désolé ! Vous allez être dans l’obligation d’investir : C’’est un nectar … Bizarre mais hautement gradé ! Un indispensable de ce premier trimestre, de l’année et ++
Label : Auto Production
Sortie : Janvier 2013
Production : loving dead association
Sortie : Janvier 2013
Production : loving dead association
Discographie : |
Do It On The Floor (2013) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL | soundcloud |
Comments:
Commentaires
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.