Pourquoi parler romain ? Car autour du personnage guitariscus il y a un … Empire et pire … il y a un an (#) … j’ignorai le personnage musical ; pourtant derrière l’homme il y a une œuvre et moi (couillon de la lune) je ne connaissais que le nom. Alors à qui la faute ? À moi ? À vous ? À nous ? Sans doute. (#) On prend son temps et on relit ce bel exercice de style. Un chorus de mots …
Je ne vais pas m’attarder sur les c-v des trois comparses, primo t’auras mal à la tête et secundo tu auras l’impression que je veux te provoquer ce mal de tronche, te complexer. Attention, les aminches là on parle du haut du panier, le nec plus ultra de la « toutoucheTonNinstrument » si tu ne me crois pas utilise le bel outil Internet, navigue entre les divers liens ! Travaille, aide toi et Maënora t’aidera ; je ne peux pas écrire une chronique de 15 pages à chaque fois que j’ouvre l’ordi, je vais passer à une trimestrielle après !
Donc, je reviens à mon fil. Honte à nous fans des six cordes et du « ROCK » dans son essence et sa composition essentielle - nécessaire (formation tripartite), le rock le vrai celui qui s’écrit en majuscule. Lectrice, lecteur, acheter des albums issus, estampillés hors hexagone avec de tels artistes … c’est lamentable et petit !
Gnô, de purs produits du terroir : Christophe Godin, Julien Rousset et Gabriel Vègue (Gaby Vegh, ça le fait moins ; ne dis rien … Tais-toi et laisse-moi vendre l’album !) ; des noms bien de chez nous et des gars qui jouent et maîtrisent du feu de Dieu leur instrument. Comme moi ma verve (j’ai dit v.e.r.v.e.) Quand j’ai ouvert le digipack, ça sentait la France profonde. Des odeurs de pains et camemberts. Bon j’avoue c’était en fin de repas.
Mais pourquoi un tel loupé ? Facile la réponse ; lecteur, lectrice laisse-moi te conter une histoire. La genèse du problème. Et pour cela l’esthète que je suis a tenu à te montrer sa … verve, afin de coucher avec des mots et te montrer ce qui devrait être dur comme fer. Lire doucement, car je n’ai jamais écrit : l’esthète bœuf que je suis a tenu à te montre sa ver(bip)e afin de te coucher avec des maux et te montrer ce qui devrait être dur comme fer !!! Merci de ne pas déformer !
Pensons … émission musicale, plantons le décor : Un jury avec du talent ? Des compétences ? Pourquoi pas ? Dont le but serait de promouvoir, de futurs artistes en les faisant partir parfois du rez-de-chaussée, voire de la cave et plus profond encore ... Encore un vaste débat ; peut-il y avoir talent sans travail de longue haleine ? Certain(e)s y gagneront une pelle et pourront creuser encore plus profond. Pour retourner se cacher, une fois qu’à travers la boite à image, ils auront montré qu’elles / qu’ils chantent vraiment comme des … merdes (pas d’autre mot).
(Mon conte) : Pendant que Manu Catchait, Lio seins à l’air ; les seinsClairs se savonne. Avec un Dove à toi ? Atia ? Et manœuvre en douce, pour que Manou Kianmerde son prochain, avec sa tête de buste à la Marianne, implore Philippe d’être témoin du vote de jouvencelles pubères en ruts qui vocifèrent et dégainent leurs portables pour mitrailler sur leurs claviers ; afin que demain une personne soit intronisée … nouvelle star (oups, j’ai vomi !). Ces gens qui n’étaient parfois personne, redeviendront vite ce qu’elles étaient hier, rien ! Alors à qui la faute, ce faux moment de gloire, cette débauche d’énergie gaspillée ? À moi ? À vous ? À nous ? Sans doute (Non ! pas moi) … Même si ce concept est mieux que celui qui montre aussi les couloirs de la salle de bains et des toilettes avec un plateau de chants au final (sur une autre chaine) ; il n’en reste pas moins qu’on offre rien à ceux qui se construisent dans le travail !!! Les vrais musiciens, eux doivent ramer en dehors des circuits promotionnels de grande diffusion.
Plus que le talent, on marchande du voyeurisme, comme un concept de loto ; te faire partir de rien et te faire rêver. Ok, mais n’oublions pas nos musiciens, les gens de talents. Aparté terminé.
GNÔ est un vrai groupe de Live, ça s’entend et où faut-il aller pour les voir ? En dehors de l’hexagone ? C’est minable ! Pitoyable. Ils jouent (à ce que j'ai vu, dans le nord ; Oui ! Madame Bordeaux c'est le Nord, à l'étranger : Ensisheim (dans le 68, mais avec un nom pareil !!!) ; au festival de la moutarde et le sud ... Les Alpilles, plus belle région du monde ??? Oh, jamais ?
Est-on aussi con musicalement que ce que veulent nous démonter nos programmes télés et radios ; si dépourvus de culture ? Un pays fait d’autant d’histoire, puiserait dans un art, un vide abyssal et serait si près du gouffre ? Une inculture qui nous rangerait sur une échelle au rang du chimpanzé. Tu sais l’animal qui bouge de la même façon que les créatures appauvries musicalement et repus de soupes (sonores) insipides dans des locaux bruyants éclairés, éteints, éclairés, éteints (OUI ! des spots) ; ces mêmes locaux qui puaient la clope et aujourd’hui puent la sueur !
Alors, que dans un concert rock, cela humecte toujours aussi bon le … Rock !
Transformons les ondes pour que l’odeur de Rock, se rependent !!!
Maintenant laissez-moi vous mettre sur les rails de ma … drogue ; qui ne sont que sonorités, partitions ; ensemble de notes et de silence. Car c’est de la musique, entre autre, dont je suis drogué dur !
Dois-je faire du nationalisme dans le créneau du rock ? Si le terme nationaliste reste dans le domaine musical, pas de soucis. Car autant que s’exportent des valeurs (re)connues aussi chez elles.
Lis et achète Gnô ! Aie confiance ! Croque ma pomme !
J’avais pensé saucissonner l’album, mais je vais vous livrer dans sa continuité mon ressenti.
Gros sons, gros riff, un équilibre parfait entre l’accord et le chorus, le chorus et le solo et … chacun joue, fusionne sa partition. Un trio basse, batterie, guitare ne permettant pas de faiblesse pour quelque protagoniste que ce soit dans une configuration « dite » minimaliste ; mais avec une telle maîtrise pour chacun et une qualité au rendez-vous ici … Difficile d’augmenter le nombre d’intervenants. Pour le chant, le livret informe d’un partage de taches ; mais la voix de Christophe semble bel et bien donner du lead. Un éventail rock large, jusqu’à parfois entendre quelque sonorité ska, sauce rock ; la fusion est le moteur du style. On pourrait parler des Red Hot, qui croisent la route d’un King’s X. La mélodie est une composante de chaque titre. Je suis également très fan de ces ambiances empruntées, maîtrisées qui distillent de la matière à des univers. Donnent du volume aux compositions, offrent des voyages. Ici l’univers rock, devient un arc en ciel, une harmonie de couleurs, sévèrement ouverte : la taille ; un trou noir. Peu de limite. Je parle musique, pas de la 13ème consomme de l’alphabet. Christophe évolue parfois dans un style, (que je qualifierai) fil du rasoir ; des notes extrêmes (n’essaye pas tu joueras faux !). Les gratteux et mélomanes de tous poils apprécieront. A des moments, un suave déluge de notes, de multiples changements de tons ; une totale liberté pour chacun des trois intervenants, chacun virtuose dans sa partie. Ce type d’opus, fait le bonheur des porteurs de casques, pour capturer le maximum de sons. Pour ce genre d’album, le temps devient un atout majeur. Même si il rentre vite en tête, par sa richesse il garantit et nécessite bon nombre d’écoutes. Le tabouret le plus stable possible, offre trois pieds ; pareil chez Gnô ! Un trio ! Du king’s X sur vitaminé, voilà ce que vous aurez en main, une fois que vous vous serez offert ce voyage dans l’univers des trublions du rock. Car ces mecs ont vraiment l’air bien barge, capillairement outre la coupe dite tête d’allumette de Julien (avant grattage), il reste du temps à Christophe et Gaby (après grattage) pendant que leur compère se coiffe, pour travailler les gammes. (Fallait pas mettre de la « Haute coiffure » en remerciement, j’ai tout lu).
Lectrice, lecteur, une fois franchie la ligne Gnô, ne viens pas pleurer si beaucoup de tes Cds te semblent d’une fadeur cadavérique. Si tu ne me crois pas, sors ta pelle, pire va faire une visite dominicale dans un centre de gériatrie (lécher des joues couleurs farines craquelés) ; là où les couloirs semblent avoir été foulés par une invasion d’escargots (en voilà une idée de film d’horreur, avec Gnô en bande sonore). Quoi !? Toi tu fais la différence entre baves ? Moi pas. Et réitère la comparaison entre le Gnô et quelques bouses de ta Cdthèque que tu gardes pour le nombre.
Si tu veux entendre en même temps un bassiste, un batteur, de grosses grattes et des chœurs pour parfaire les mélodies. Vas-y, fonce ! Pour te convaincre deux autres références Freak Kitchen, T-Ride. Car on parle d’un groupe de Live. Histoire de citer qu’un morceau « Demon Disco », on rentre plein pot dans mes émotions musicales. Deux paramètres obligatoires : mélodie et … richesse. Auquel j’ajoute deux sous items : Son et maîtrise. Je pourrai citer une palanqué univers, et aussi deux guitaristes du niveau de Christophe : S.Vai et Satch. Ouais je sais … pas terrible, mais le chroniqueur amateur que je suis, souhaite rester simple !
Pour conclure ce petit aveu : Christophe est, à mon gout, meilleur zicos que chanteur ; mais à ce niveau l’exigence fait partie de son bagage. Talentueux s’accorde avec justesse. On enrichit le tout de chœurs. Puis, cet autre aveu, de toute façon après « moultes » écoutes ; j’aurai beaucoup de difficulté à vouloir/pouvoir poser une autre voix. Car il y a énormément de Gnô dans l’album et qui mieux que Gnô pour créer l’instrument voix. J'espère que l'aventure va continuer avant dix piges !
Voilà c’est fini, tu peux vaquer et dire que tu vas acheter.
Passer autant de temps à faire du sport ? Lever des barres ? Pour passer du statut d’éventuel livreur de gnons à celui de livreur de Gnô, pourquoi pas ??? Moins risqué.
Label : | des champs ? (Merci, d'avance aux artistes de répondre) |
Sortie : | 2011 |
Production : | LÖRANO COUVERT & APOCALYPSE GNÔ PROD |
Discographie : |
Trash DeLuxe (2001) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL | FB |
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