Influencé par Rainbow et Deep Purple, le combo fait le bonheur de toutes les salles branchées de la Péninsule et fini par enregistrer un single intitulé: This Is Rock'n'Roll Cocks! . Le disque se vend à, environ, un millier d'exemplaires et trouve un écho favorable dans la presse spécialisée et auprès de musiciens connus, tel que Craig Gruber, l'ex bassiste de Rainbow, Black Sabbath et autre Gary Moore. Ainsi, fin 2010, entrée en studio pour enregistrer ce Broken Uncle's Inn.
Dès l'entame avec Till It Bleeds, on ressent les influences pourpres et profondes. Riff ravageur façon Blackmore et voix haut perchée façon Gillan, le tout bien exécuté par Fédérico Di Marco. Avec aussi, la présence chaude du clavier d'Allessandro Duo à la manière de Jon Lord et, en plus, le chorus aigu, sec mais incisif de Matteo Bizzarri. Même similitudes avec Running Around ou encore In Fact It's The Worst où Lorenzo Gollini essaie de calquer son jeu de batterie sur celui de Ian Paice. Plus enlevé mais toujours dans le même esprit on trouve le bouillonnant The Fire Will Burn Away, ainsi que J.C. Superfuck avec son superbe passage très groovy et, enfin, Gasoline Woman où la basse de Filippo Cavallini fait des clins d'oeil à Roger Glover. Dans le genre plus élaboré et plus progressif, nos Italiens nous proposent deux pièces maitresses avec, d'abord, le très lyrique Window et son alternance de duos-duels guitares/ claviers et, ensuite, le très épique Broken Uncle's Inn, titre éponyme de l'album, avec une avalanche de riffs hachés, tranchants et syncopés. Enfin, plus calme, mais, intense, citons Heaven With No Stars avec ses voix aériennes, son excellent refrain et son climat ambiant qui va crescendo jusqu'au bout de la chanson.
Bref, voilà un album qui de bout en bout démontre une extraordinaire cohésion, ma foi, très Deep et une coloration, disons, très Purple. Il ne s'agit pas,là, de plagiat mais simplement d'influences. Et, il est clair que, désormais, sur la route du Vaudou le succès sera au rendez vous.
Dès l'entame avec Till It Bleeds, on ressent les influences pourpres et profondes. Riff ravageur façon Blackmore et voix haut perchée façon Gillan, le tout bien exécuté par Fédérico Di Marco. Avec aussi, la présence chaude du clavier d'Allessandro Duo à la manière de Jon Lord et, en plus, le chorus aigu, sec mais incisif de Matteo Bizzarri. Même similitudes avec Running Around ou encore In Fact It's The Worst où Lorenzo Gollini essaie de calquer son jeu de batterie sur celui de Ian Paice. Plus enlevé mais toujours dans le même esprit on trouve le bouillonnant The Fire Will Burn Away, ainsi que J.C. Superfuck avec son superbe passage très groovy et, enfin, Gasoline Woman où la basse de Filippo Cavallini fait des clins d'oeil à Roger Glover. Dans le genre plus élaboré et plus progressif, nos Italiens nous proposent deux pièces maitresses avec, d'abord, le très lyrique Window et son alternance de duos-duels guitares/ claviers et, ensuite, le très épique Broken Uncle's Inn, titre éponyme de l'album, avec une avalanche de riffs hachés, tranchants et syncopés. Enfin, plus calme, mais, intense, citons Heaven With No Stars avec ses voix aériennes, son excellent refrain et son climat ambiant qui va crescendo jusqu'au bout de la chanson.
Bref, voilà un album qui de bout en bout démontre une extraordinaire cohésion, ma foi, très Deep et une coloration, disons, très Purple. Il ne s'agit pas,là, de plagiat mais simplement d'influences. Et, il est clair que, désormais, sur la route du Vaudou le succès sera au rendez vous.
Label : | Massacre |
Sortie : | 06/2011 |
Production : | n/a |
Discographie : |
Broken Uncle's Inn (2011) |
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