ZE alboume ! (en français dans le texte, ou THE album ! Pour les anglophones).
Merci de penser, tout de même, à me réveiller au 1er janvier 2012.
Puis au passage, bon courage pour fermer la porte, quand tout sera raide !
Depuis « Excess All Areas », Steve HARRIS a toujours été, pour moi, le patronyme d’un guitariste.
Il paraîtrait qu’un bassiste porte le même nom ? Un autre groupe anglais ? Iron Petipatapon, ou un nom comme ça ? Me contacter par Mp, si quelqu'un s'en souvient ; merci d'avance.
Avec cet album, ce SHY 2011, Steve conforte la forte et bonne opinion que j’avais du personnage.
Que dis-je du groupe !
Car depuis l'excellent Sunset & Vine, exit Ian Richardson (seconde gratte) et Tony Mills, le groupe est resté le même. En remontant plus loin, à ce fameux Excess All Areas, seuls rescapés : basse et guitare lead. Pourtant, à mon opinion, cet album est bien à la croisée des deux sus-cités.
Quand SHY et Tony Mills se sont séparés, j’ai été dans les premiers à pleurer (allégorie, le Maënora ne pleure pas ! ) et y voir le second drame de l’histoire. Après la disparition des dinosaures.
Même si j’étais absent pour le premier évènement, on m’en a un peu parlé. Faisait chier d'assister au second drâme !!!
Mais parfois, … c’est le Phénix qui renait de ses cendres ; pour se retrouver, comme c’est le cas ici, face à quelque chose de TRèS grand ! (Oh, pardon ; c'était mon miroir : « Ô mon bon miroir ... » ).
Nooooooon, sérieusement ... c'est l'album qui est GRAND !
Cet opus 2011 demande : connaissance et conscience ; pour peser, mesurer et analyser la différence entre un excellent guitariste (le virtuose sans âme) et le « bon » guitariste, celui qui chante les notes, joue dans l'émotion & le ... feeling !
Ce SHY 2011 a été fait pour moi.
J’aime un courant musical … le rock et mélodique de surcroit ; partant de cela j’ouvre une palette musicale afin de trouver mon bonheur, pour toutes mes humeurs et toutes heures de la journée.
La guitare est l’instrument pilote nécessaire à mon bonheur, trop me saoule, trop peu me prive (aparté + bas).
Si j’ai le choix je préfère qu’il y en ait beaucoup. Que cela serve et guide la composition.
Afin, que je puisse chanter aussi bien l’instrument que la voix.
Vu que c'est en anglais, que je répète le chant ou la guitare ; ça reste du yaourt !!!! « Obladi, oblada, my generation got's a ticket and satisfaction to runaways for motherfuc#¤* » & so on !
J'aime que la guitare m’offre des chorus et des solos mélodieux, plutôt qu'elle me vomisse une masturbation pubère de shredder ; qui tient TRèèèS souvent de la prestation de cirque !
J’exècre cette frime inutile, un peu je pourrais, mais si j’ai le choix … sans moi !
Même si ça, je peux vénèrer en comparaison des courants musicaux (bien grand mot) qu'on nous impose ; pour répondre à une jeunesse que l'on souhaite débiliser le plus possible. Normal,vu l'héritage qu'on leur laissera.
Cependant un esprit, ouvert comme le mien, si ! Si !, peut parfois remplacer la six cordes par le piano ; fin de l’aparté (+ haut ;-) ) !
Dés la première écoute, j’ai adhéré à cet album. Autant qu'adhère mamie, qui reprend la gymnastique et le grand écart, sur un parquet ciré dans une trop petite tenue !
Ensuite j’ai poursuivi mon nombre conséquent d’écoutes (comme à mon habitude), afin de rendre et poser cet avis. Après quelques différents sur diverses chroniques, j’aimerai que tout le monde savoure celui-ci, comme je l’ai fait. Se retrouve dans le bon goût, dans mon mien !
Des raisons multiples :
- un changement de chanteur. Avec l’arrivée de LEE SMALL, SHY se permet de pouvoir offrir une variante aux albums passés.
Ce garçon possède une palette vocale pleine de couleurs. Il arrive et fait déjà partie des grands ! On arrive à oublier Tony Mills et se dire que de toute façon celui-ci, ce SHY 2011, n’était pas pour lui ! Et c’est moi qui dis ça !
Rien que sur «Ran out of Time», il pose sa voix sur un mid tempo en nous servant sans artifice la prouesse d'un talent naturel. Grosse qualité de voix ! Et quel titre !
- Des mélodies très riches, des refrains parfaitement mis en relief ; par leur qualité et leurs chœurs, me faisant parfois penser à un album comme Night Of The Crime d'ICON. Autre belle prouesse, sur « Only for the Night » ; des lignes de guitares très inspirées.
- Une attente insoutenable, une curiosité exacerbée et un résulutat à la hauteur !
Les fans de SHY, savent à partir de ce moment à quoi s’attendre !
Vous pouvez faire chauffer la carte bleu. Des arrangements dignes d'un Boulevard, dans quelque(s) pont(s) et changement de ton.
Jamais Steve nous impose le solo obligatoire ... autour des 2mn et pouyems pour une durée de 15 à 20 secondes. Mais plutôt beaucoup plus, sur des longueurs plus que satisfaisantes. Le pied !
Le solo vient quand il faut après 4mn, 3mn, 2mn ? Puis dure le temps nécessaire, 40 secondes, 1mn30, plus si il faut ; que du bonheur en ce qui me concerne ! Solo, chorus, dans le pur esprit SHY.
Douze titres et 67mn de hard mélodique anglais ; un clin d'oeil vers : TOBRUK, PRIDE, un style qui sent donc, bon le pudding ! Celui qu’on fait chez nous, lait, pain, chocolat, raisins ; pas le truc bizarre, décoré à la gelée et à la texture d'un truc dans lequel on aurait déjà marché ... mais jamais goûté. Du moins en ce qui me concerne !
Musicalement, proche d'un HEAVEN'S EDGE (même si dans leur cas américains) auquel cas, désolé ! ça sent rien, ça s'écoute. Un vrai retour aux années 80'.
Le « truc » qui m’a le plus sauté à la tronche, c’est la qualité et la quantité d’excellents titres. L’album commence, on se prend un sacré bon réveil, un générique de film pour la série ROME (chez Cléopatre), une bande son pour La Momie (oui bien ! Type égyptien), Obélix pour ceux qui n'ont que des références avec des « bulles ».
Cette qualité continue crescendo et ils nous pondent de sacrés brûlots. La machine est en route, amener les boites à oeufs !
Dans tous les styles, Hard F.M boosté, mids-tempos, slow Breathe, pulsé ; tout est là !
Même un titre pur A.O.R. Only for the Night.
Le tout garantie, excellent produit ! Brit Awardisé (ou Maënoraïsé) par l’attente imposée … celle qui a permis de composer, trier, choisir et retenir que le meilleur !
Je pourrai saucissonner et dire : excellent, magnifique, jouissif (trop court) ; mais ... j'ai pas envie !
Et on arrive aisément au septième titre ; morceau qui figurera aisément dans mon haut, HAUT du panier du single de l’année. Sachant, que le morceau suivant maintient cette qualité, vraiment présente tout au fil de l’album !
Merci de penser, tout de même, à me réveiller au 1er janvier 2012.
Puis au passage, bon courage pour fermer la porte, quand tout sera raide !
Depuis « Excess All Areas », Steve HARRIS a toujours été, pour moi, le patronyme d’un guitariste.
Il paraîtrait qu’un bassiste porte le même nom ? Un autre groupe anglais ? Iron Petipatapon, ou un nom comme ça ? Me contacter par Mp, si quelqu'un s'en souvient ; merci d'avance.
Avec cet album, ce SHY 2011, Steve conforte la forte et bonne opinion que j’avais du personnage.
Que dis-je du groupe !
Car depuis l'excellent Sunset & Vine, exit Ian Richardson (seconde gratte) et Tony Mills, le groupe est resté le même. En remontant plus loin, à ce fameux Excess All Areas, seuls rescapés : basse et guitare lead. Pourtant, à mon opinion, cet album est bien à la croisée des deux sus-cités.
Quand SHY et Tony Mills se sont séparés, j’ai été dans les premiers à pleurer (allégorie, le Maënora ne pleure pas ! ) et y voir le second drame de l’histoire. Après la disparition des dinosaures.
Même si j’étais absent pour le premier évènement, on m’en a un peu parlé. Faisait chier d'assister au second drâme !!!
Mais parfois, … c’est le Phénix qui renait de ses cendres ; pour se retrouver, comme c’est le cas ici, face à quelque chose de TRèS grand ! (Oh, pardon ; c'était mon miroir : « Ô mon bon miroir ... » ).
Nooooooon, sérieusement ... c'est l'album qui est GRAND !
Cet opus 2011 demande : connaissance et conscience ; pour peser, mesurer et analyser la différence entre un excellent guitariste (le virtuose sans âme) et le « bon » guitariste, celui qui chante les notes, joue dans l'émotion & le ... feeling !
Ce SHY 2011 a été fait pour moi.
J’aime un courant musical … le rock et mélodique de surcroit ; partant de cela j’ouvre une palette musicale afin de trouver mon bonheur, pour toutes mes humeurs et toutes heures de la journée.
La guitare est l’instrument pilote nécessaire à mon bonheur, trop me saoule, trop peu me prive (aparté + bas).
Si j’ai le choix je préfère qu’il y en ait beaucoup. Que cela serve et guide la composition.
Afin, que je puisse chanter aussi bien l’instrument que la voix.
Vu que c'est en anglais, que je répète le chant ou la guitare ; ça reste du yaourt !!!! « Obladi, oblada, my generation got's a ticket and satisfaction to runaways for motherfuc#¤* » & so on !
J'aime que la guitare m’offre des chorus et des solos mélodieux, plutôt qu'elle me vomisse une masturbation pubère de shredder ; qui tient TRèèèS souvent de la prestation de cirque !
J’exècre cette frime inutile, un peu je pourrais, mais si j’ai le choix … sans moi !
Même si ça, je peux vénèrer en comparaison des courants musicaux (bien grand mot) qu'on nous impose ; pour répondre à une jeunesse que l'on souhaite débiliser le plus possible. Normal,vu l'héritage qu'on leur laissera.
Cependant un esprit, ouvert comme le mien, si ! Si !, peut parfois remplacer la six cordes par le piano ; fin de l’aparté (+ haut ;-) ) !
Dés la première écoute, j’ai adhéré à cet album. Autant qu'adhère mamie, qui reprend la gymnastique et le grand écart, sur un parquet ciré dans une trop petite tenue !
Ensuite j’ai poursuivi mon nombre conséquent d’écoutes (comme à mon habitude), afin de rendre et poser cet avis. Après quelques différents sur diverses chroniques, j’aimerai que tout le monde savoure celui-ci, comme je l’ai fait. Se retrouve dans le bon goût, dans mon mien !
Des raisons multiples :
- un changement de chanteur. Avec l’arrivée de LEE SMALL, SHY se permet de pouvoir offrir une variante aux albums passés.
Ce garçon possède une palette vocale pleine de couleurs. Il arrive et fait déjà partie des grands ! On arrive à oublier Tony Mills et se dire que de toute façon celui-ci, ce SHY 2011, n’était pas pour lui ! Et c’est moi qui dis ça !
Rien que sur «Ran out of Time», il pose sa voix sur un mid tempo en nous servant sans artifice la prouesse d'un talent naturel. Grosse qualité de voix ! Et quel titre !
- Des mélodies très riches, des refrains parfaitement mis en relief ; par leur qualité et leurs chœurs, me faisant parfois penser à un album comme Night Of The Crime d'ICON. Autre belle prouesse, sur « Only for the Night » ; des lignes de guitares très inspirées.
- Une attente insoutenable, une curiosité exacerbée et un résulutat à la hauteur !
Les fans de SHY, savent à partir de ce moment à quoi s’attendre !
Vous pouvez faire chauffer la carte bleu. Des arrangements dignes d'un Boulevard, dans quelque(s) pont(s) et changement de ton.
Jamais Steve nous impose le solo obligatoire ... autour des 2mn et pouyems pour une durée de 15 à 20 secondes. Mais plutôt beaucoup plus, sur des longueurs plus que satisfaisantes. Le pied !
Le solo vient quand il faut après 4mn, 3mn, 2mn ? Puis dure le temps nécessaire, 40 secondes, 1mn30, plus si il faut ; que du bonheur en ce qui me concerne ! Solo, chorus, dans le pur esprit SHY.
Douze titres et 67mn de hard mélodique anglais ; un clin d'oeil vers : TOBRUK, PRIDE, un style qui sent donc, bon le pudding ! Celui qu’on fait chez nous, lait, pain, chocolat, raisins ; pas le truc bizarre, décoré à la gelée et à la texture d'un truc dans lequel on aurait déjà marché ... mais jamais goûté. Du moins en ce qui me concerne !
Musicalement, proche d'un HEAVEN'S EDGE (même si dans leur cas américains) auquel cas, désolé ! ça sent rien, ça s'écoute. Un vrai retour aux années 80'.
Le « truc » qui m’a le plus sauté à la tronche, c’est la qualité et la quantité d’excellents titres. L’album commence, on se prend un sacré bon réveil, un générique de film pour la série ROME (chez Cléopatre), une bande son pour La Momie (oui bien ! Type égyptien), Obélix pour ceux qui n'ont que des références avec des « bulles ».
Cette qualité continue crescendo et ils nous pondent de sacrés brûlots. La machine est en route, amener les boites à oeufs !
Dans tous les styles, Hard F.M boosté, mids-tempos, slow Breathe, pulsé ; tout est là !
Même un titre pur A.O.R. Only for the Night.
Le tout garantie, excellent produit ! Brit Awardisé (ou Maënoraïsé) par l’attente imposée … celle qui a permis de composer, trier, choisir et retenir que le meilleur !
Je pourrai saucissonner et dire : excellent, magnifique, jouissif (trop court) ; mais ... j'ai pas envie !
Et on arrive aisément au septième titre ; morceau qui figurera aisément dans mon haut, HAUT du panier du single de l’année. Sachant, que le morceau suivant maintient cette qualité, vraiment présente tout au fil de l’album !
Des commes ça ; faut me les envoyer !
Mais ... faut pas être pressé !
Label : | ESCAPE |
Sortie : | 2011 |
Production : | Shy and Andy Faulkner |
Discographie : |
Once Bitten, Twice Shy Ebony (1983) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL |
Notes des visiteurs : |
Comments:
Commentaires
Trop cruel ! Mais, si Steve avait voulu finir en apothéose et sur un feu d'artifice ... il aurait difficilement pu faire mieux ! Mais avec lui, on ne saura, hélas, jamais. R.I.P. L'artiste.
Quand la guitare devient le cœur de la musique, on appelle ça du SHY !
Certes la perte de Mills au niveau vocal ne m'a pas dérangé mais au niveau écriture c'est autre chose. Lee Small qui navigue entre Edman et Hughes co ecrit tous les morceau avec Harris et c'est peut être cela qui rend l'opus plus hard que Sunset and Vine for example. Certes dans le genre c'est du haut niveau et je pense que comme Treat l'an dernier ce Shy va ravir et les hardos et les amateurs de hard FM. Neanmoins, je me fais vieux car je trouve certaines rythmiques casse tête comme le premier titre et ces arrangements arabisants qui devient la marque de fabrique des groupes de hard FM.Ils ont tous été au Club Med a Djerba ou quoi??? Je trouve aussi l'album trop long et se l'enfiler d'une traite révèle de l'exploit. Maintenant, il faut rester objectif cet essai ne souffre que de peu de temps faible. Pour moi par contre et mes vieilles oreilles trop long et pas de hits qui ressortent, les morceaux les plus FM sont un peu noyés au milieu d'autres plus hard, bref un bon album mais qui ne sera pas dans mon Top 10 de l'année. Y'a rien a faire je ne suis pas un Hard Rocker et je ne le serais jamais même si j'essaye de temps a autre de me convertir mais mon cœur de midinette me ramène tt le temps a l'AOR, la pop ou la Westcoast.
Ce n'est pas de Glenn Hughes que je rapprocherai son timbre, mais de celui de Goran Edman.
Enfin bref, ce nouveau Shy est excellent et rien que pour le titre 'So Many Tears', cet album mérite la note maximum!
Ce nouveau Shy est dans l'ensemble très plaisant mais pour moi il y a 2 bémols la longueur de certains titres pour commencer et puis la voix de Lee Small qui à mon goùt se prend par moment un peu trop pour Glen Hugues et n'étant pas fan de Hugues, sur certaines chansons cela me gène un peu.
Par contre je suis content que le groupe continue et mis à part ces quelques réticences, ce cd reste dans le haut du panier.
....... d'avoir quitté Shy !!!! Avec lui je n'aimais pas, Ecxess m'a toujours gonflé Mais là, je suis à nouveau totalement de ton avis, cette cuvée 2011 est ce qui s'est fait de mieux dans le genre cette année
Tout ce que j'aime dans le style se retrouve ici, et ce qui fait la différence avec d'autres albums sortis en 2011 (WOA-Grand Design-etc.....) c'est qu'avec le Shy la sauce ne retombe jamais.
Et en plus je découvre un super vocaliste Enjoy !!!!!!!
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