A l’heure où j’écris cette chronique, tout a été déjà presque dit sur cette nouvelle sortie du combo de Neal Schon, et notamment sur le forum de Rockmeeting ICI. Cela vient illustrer oh combien l’appréciation d’un album est subjective et dépend des goûts de tout un chacun !
Et là où certains voient un groupe en manque d’inspiration, les autres crient au génie. Alors, pour savoir dans quel camp vous vous situerez, le mieux est de cibler les profils dont vous êtes le plus proche. Ce que je peux dire dans une première approche, c’est que si vous attendez un album au formatage années 80 avec douze fois Seperate Ways, vous ferez partie des déçus.
A l’inverse, si vous avez des goûts plutôt éclectiques et appréciez que les musiciens sortent de ce formatage pour se « lâcher », alors là, bingo, c’est du tout bon ! Et si vous êtes gourmands de soli de guitares, bingo à nouveau, Neal est dans une forme éblouissante et très inspiré. Je serais presque tenté de faire un parallèle avec John Norum qui avoue volontiers ne pas jouer son Final Countdown avec plaisir, et qui a le même plaisir dans les années 2000 à laisser libre cours à son imagination, dans l’esprit des seventies, avant le dictat des radios FM, dictat qui a désormais fait long feu !
Ici, le clin d’œil le plus évident aux années 70 passe par le « zeppelinien » et progressif She's A Mystery avec son superbe début acoustique et une belle montée en puissance. Mais il serait réducteur de ne parler que de cet aspect, car l’album est superbement construit, à la fois accrocheur et plus mélodique que jamais, plein de rebondissements, parfois progressif, parfois heavy et sombre. Chain of Love cultive ces contrastes avec une intro progressive, des riff heavy puis un chant typé AOR. J’ai volontairement commencé par les titres qui constituent une valeur ajoutée particulière, mais les gros tubes à chanter sans modération sont bien présents au travers des Anything Is Possible, Resonate, Edge of the Moment, City of Hope. J’adore aussi les deux ballades, Tantra et la power To Whom It May Concern, Human Feel et son orgue Hammond façon Deep Purple et son rythme syncopé, et l’énergétique Ritual, presque speed ! Arnel, pour son deuxième opus avec le combo est brillant, et surtout très à l’aise, une certaine complicité permanente émane du chant et des lignes de guitare, et participe à cette impression de fraicheur et de renouvellement. La prestation de tout le groupe est exemplaire, ainsi que la production de Kevin Shirley d’ailleurs.
Et là où certains voient un groupe en manque d’inspiration, les autres crient au génie. Alors, pour savoir dans quel camp vous vous situerez, le mieux est de cibler les profils dont vous êtes le plus proche. Ce que je peux dire dans une première approche, c’est que si vous attendez un album au formatage années 80 avec douze fois Seperate Ways, vous ferez partie des déçus.
A l’inverse, si vous avez des goûts plutôt éclectiques et appréciez que les musiciens sortent de ce formatage pour se « lâcher », alors là, bingo, c’est du tout bon ! Et si vous êtes gourmands de soli de guitares, bingo à nouveau, Neal est dans une forme éblouissante et très inspiré. Je serais presque tenté de faire un parallèle avec John Norum qui avoue volontiers ne pas jouer son Final Countdown avec plaisir, et qui a le même plaisir dans les années 2000 à laisser libre cours à son imagination, dans l’esprit des seventies, avant le dictat des radios FM, dictat qui a désormais fait long feu !
Ici, le clin d’œil le plus évident aux années 70 passe par le « zeppelinien » et progressif She's A Mystery avec son superbe début acoustique et une belle montée en puissance. Mais il serait réducteur de ne parler que de cet aspect, car l’album est superbement construit, à la fois accrocheur et plus mélodique que jamais, plein de rebondissements, parfois progressif, parfois heavy et sombre. Chain of Love cultive ces contrastes avec une intro progressive, des riff heavy puis un chant typé AOR. J’ai volontairement commencé par les titres qui constituent une valeur ajoutée particulière, mais les gros tubes à chanter sans modération sont bien présents au travers des Anything Is Possible, Resonate, Edge of the Moment, City of Hope. J’adore aussi les deux ballades, Tantra et la power To Whom It May Concern, Human Feel et son orgue Hammond façon Deep Purple et son rythme syncopé, et l’énergétique Ritual, presque speed ! Arnel, pour son deuxième opus avec le combo est brillant, et surtout très à l’aise, une certaine complicité permanente émane du chant et des lignes de guitare, et participe à cette impression de fraicheur et de renouvellement. La prestation de tout le groupe est exemplaire, ainsi que la production de Kevin Shirley d’ailleurs.
Magnifique album donc, pour ma part, qui sera probablement dans mon top de fin d’année !
| Tracklist : | Line Up : | |
| 01. City of Hope 02. Edge of the Moment 03. Chain of Love 04. Tantra 05. Anything is Possible 06. Resonate 07. She's a Mystery 08. Human Feel 09. Ritual 10. To Whom It May Concern 11. Someone 12. Venus | Arnel Pineda (chant) Neal Schon (guitare + choeurs) Jonathan Cain (clavier + choeurs) Ross Valory (basse + choeurs) Deen Castronovo (batterie + percussions + choeurs) |  |
| Label : | Frontiers Records |
| Sortie : | 27/05/2010 |
| Production : | Kevin Shirley |
| Discographie : |
Journey (1975) |
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Commentaires
En effet, le disque n'est pas noyé sous les guitares, Neal Schon est certes mis un peu plus en avant que sur les précédents opus mais on distingue parfaitement les claviers de Jonathan Cain et le piano aussi (si si ecoutez bien et vous entendrez clairement !!!).
Rodthemod et Aorgod, je vous trouve très durs sur le jugement que vous portez sur la voix d'Arnel Pineda : trop lisse et qui chante comme un robot!!!
Au contraire je dirais qu'il est placé et puissant avec une concordance parfaite avec la mélodie, c'est un chanteur que bien des groupes rêveraient d'avoir tant il est en accord avec la musique qu'il chante, écoutez tantra ou edge of the moment une nouvelle fois et dites moi quel robot peut chanter comme cela avec un tel placement de voix !!!
Journey est un groupe d'exception qui a su évoluer avec le temps et renouveler la musique qui a fait sa gloire avec talent, il ne se sont pas contenté de faire comme avec Steve Perry mais ont bel et bien montré que ce dernier n'était pas aussi indispensable qu'il le faisait croire....
Alors en conclusion : Eclipse est un chef d'oeuvre, vive Journey qu'ils continuent comme ça j'en redemande !!!
Moi je le trouve hyper mélodique cet album de plus cela fait longtemps que je n'ai pas entendu une performance de gratteux de cet espèce/ Putain Schon c'est mieux que la grande classe, y'a pas de mots/ et Pineda que bcp descende mais que leur faut ils???
Il assure ce type en passant derrière Perry , ceux qui le critique me rappellent ceux qui s'etaient abattus sur Hitchcock qd il est arrivé dans Pride Of Lions ou on essayait de le comparer a Jamison/
Moi je dis que des chanteurs jeunes de ce talent ca ne court pas les disques AOR, Augeri et Soto aurait fait mieux???
Je ne pense pas/ pour finir moi qui suis fan de Raised , je ne me base par sur ce dernier pour apprecier les nouveaux albums du groupe, le precedent etait tres bon proposant un AOR classique mais efficace celui ci l'est aussi proposant quelque chose de plus fouillé mais de Grande Grande CLASSE
En ce qui concerne "Eclipse", c'est plutôt un bon disque, courageux mais car il y a un mais, je suis de l'avis d'Aorgod, ce disque je le trouve ennuyeux, je n'apprécie pas le chant que je trouve trop lisse, trop parfait en bref chiant et la nouvelle direction musicale proposée me laisse pantois, je n'y trouve aucun intérêt, noyée sur un déluges de guitares au détriment du reste des instruments.
Pour moi Journey sur disque est mort, j'espère seulement qu'il renaitra de ses cendres au moins pour un soir au Palais des Sports à Paris.
Quelques morceaux me rappellent qu'ils auraient pu faire partie de leurs plus anciens albums.
"Neil schon" toujours à l'apogée, avec des mélodies toujours aussi profondes. Que dire d'Arnel Pineda, sinon qu'il est "excellent, bien intégré.
Pour moi, il a bien sa place au sein de ce groupe mythique.
Certains vont aimer "Eclipse", d'autres pas. Mais quoi qu'il en soit, il a le mérite d'exister.
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