Nouvel album Modern Ruin - sortie le 27/01/17
FRANK CARTER & THE RATTLESNAKES (ex The Gallows) en tournée avec Biffy Clyro!
3 nouveaux titres sont déjà dispo à l'écoute ci dessous.
5 DATES EN FRANCE EN 2017
29/01/17 - Le Bikini - Toulouse - RÉSERVER
30/01/17 - L'Olympia - Paris - RÉSERVER
31/01/17 - Radiant - Lyon - RÉSERVER
08/02/17- La Laiterie - Strasbourg - RÉSERVER
Juin 2017 - Hellfest 2017 - Clisson (infos à venir)
Frank Carter and the Rattlesnakes vient de révéler le clip de “Lullaby”, single extrait de l'album “Modern Ruin”, une vision hypnotique et frénétique de l'insomnie, en équilibre entre la réalité et le cauchemar.
À la fois somptueusement simple et surréel, la vidéo, filmée, produite et réalisée par Frank Carter et son guitariste Dean Richardson, dépeint le frontman alternant entre un état d'éveil et celui de l'insomnie, torture sans sommeil, permettant au spectateur de s'immerger dans son monde.
Frank explique : “En faisant le clip de “Lullaby”, on a voulu représenter la panique, la terreur que procure le délire lié au manque de sommeil. En parcourant un monde familier mais tourmenté par une vision cauchemardesque de lui-même, notre protagoniste a du mal à discerner ce qui est réel, et ce qui est un rêve.”
Entouré des Rattlesnakes, Frank Carter revient à ses premiers amours : le punk. L'ancien membre de Gallows et de Pure Love délivre avec ce nouveau projet une musique corrosive et sauvage à souhait. Voix et instruments poussés à l'extrême, le rouquin nous a concocté de belles tempêtes soniques.
Le mariage entre Frank Carter et The Rattlesnakes a vite été consommé : l'album Blossom a été publié quelques mois seulement après leur première rencontre en 2014 (interview Noisey qui revient sur cette époque à lire ici).
Une grande spontanéité innerve donc chacun de ces morceaux. Rapide ne veut pas dire pour autant foutraque. On retrouve cette année un Frank Carter au sommet de son art qui nous livre 2 nouveaux morceaux issus de son prochain album prévu le 27/01/17. Une maîtrise qui permet au britannique d'osciller entre rage et mélodie et même de s'offrir des pas de côtés tirant vers la balade et le blues.
Frank Carter et The Rattlesnakes étaient en concert à Paris le 6 Octobre pour débuter leur nouvelle tournée Européenne.
Quand on parle d'identité dans les arts, et plus particulièrement dans la musique rock anglaise, l'idée de personnalité est prépondérante. Il fut un temps – il y a bien 30 ou 40 ans, peut-être plus – ou les groups de punk rock et leurs frontmen redéfinissaient constamment les frontières de la culture populaire, tout en la rendant incroyablement cool.
Que ce soit les Clash, les Damned ou les Sex Pistols, il y avait cette idée d'imprudence dans la musique, qui persiste jusqu'aujourd'hui.
Pourtant, ce n'est pas de là que vient Frank Carter and the Rattlesnakes. Au fil des années, les standards ont changé : aujourd'hui, les groupes remplissent les stades. Le deuxième album du groupe, qui sortira l'an prochain sur son propre label avec l'aide de Kobalt Label Services, est sa réponse à ce changement : c'est un album contagieux, rempli de mélodies qui restent en tête des jours entiers.
Cet album signe aussi l'entrée de Carter au panthéon des plus grands rockers anglais de ces dernières années : il devient l'icône rebelle ultime, l'outsider qui n'a eu de cesse de se battre et de dépasser les conventions établies. Un chemin qu'il a suivi depuis son apparition sur la scène punk underground avec son premier groupe Gallows, puis pendant sa période plus pop avec Pure Love, et enfin avec l'intensité de The Rattlesnakes. Si cela paraît particulier, c'est peut-être parce que l'auto-analyse n'est pas forcément une des plus grandes qualités de Frank Carter. En même temps, pourquoi le serait-elle ? Sa préoccupation première est la musique, et ce disque se fraie aisément un chemin parmi la multitude de genres et de sous-genres actuels. Les Rattlesnakes, comme tout groupe de rock qui se respecte, arrive avec talent à exprimer la colère ambiante, la confusion et l'agitation avec des hymnes qui paraissent presque accidentels.
“Modern Ruin” a été mixé par Catherine Marks (Foals/ Wolf Alice) et enregistré par Thomas Mitchener, ancien bassiste de tournée du groupe, dans son propre studio. Et si on pouvait s'attendre à un son plutôt rudimentaire, nous sommes ici en présence d'un disque extrêmement accessible, et peut-être le mieux fourni de tous. Peut-être avez-vous déjà entendu le nouveau single “Lullaby” chez Annie Mac, ou vu le show secret au Social. Des titres comme “Acid Veins” ou le premier single “Snake Eyes”, sont bruts et violents, rappelant immédiatement qu'un concert de Carter est une expérience à part, complètement ahurissante. Cependant, on y trouve aussi le majestueux “Wild Flowers” ou l'incroyable “Neon Rust”, qui clôt l'album : en 12 titres, sur “Modern Ruin”, la vision particulière de Carter est pleinement célébrée.
3 nouveaux titres sont déjà dispo à l'écoute ci dessous.
5 DATES EN FRANCE EN 2017
29/01/17 - Le Bikini - Toulouse - RÉSERVER
30/01/17 - L'Olympia - Paris - RÉSERVER
31/01/17 - Radiant - Lyon - RÉSERVER
08/02/17- La Laiterie - Strasbourg - RÉSERVER
Juin 2017 - Hellfest 2017 - Clisson (infos à venir)
Frank Carter and the Rattlesnakes vient de révéler le clip de “Lullaby”, single extrait de l'album “Modern Ruin”, une vision hypnotique et frénétique de l'insomnie, en équilibre entre la réalité et le cauchemar.
À la fois somptueusement simple et surréel, la vidéo, filmée, produite et réalisée par Frank Carter et son guitariste Dean Richardson, dépeint le frontman alternant entre un état d'éveil et celui de l'insomnie, torture sans sommeil, permettant au spectateur de s'immerger dans son monde.
Frank explique : “En faisant le clip de “Lullaby”, on a voulu représenter la panique, la terreur que procure le délire lié au manque de sommeil. En parcourant un monde familier mais tourmenté par une vision cauchemardesque de lui-même, notre protagoniste a du mal à discerner ce qui est réel, et ce qui est un rêve.”
Entouré des Rattlesnakes, Frank Carter revient à ses premiers amours : le punk. L'ancien membre de Gallows et de Pure Love délivre avec ce nouveau projet une musique corrosive et sauvage à souhait. Voix et instruments poussés à l'extrême, le rouquin nous a concocté de belles tempêtes soniques.
Le mariage entre Frank Carter et The Rattlesnakes a vite été consommé : l'album Blossom a été publié quelques mois seulement après leur première rencontre en 2014 (interview Noisey qui revient sur cette époque à lire ici).
Une grande spontanéité innerve donc chacun de ces morceaux. Rapide ne veut pas dire pour autant foutraque. On retrouve cette année un Frank Carter au sommet de son art qui nous livre 2 nouveaux morceaux issus de son prochain album prévu le 27/01/17. Une maîtrise qui permet au britannique d'osciller entre rage et mélodie et même de s'offrir des pas de côtés tirant vers la balade et le blues.
Frank Carter et The Rattlesnakes étaient en concert à Paris le 6 Octobre pour débuter leur nouvelle tournée Européenne.
Quand on parle d'identité dans les arts, et plus particulièrement dans la musique rock anglaise, l'idée de personnalité est prépondérante. Il fut un temps – il y a bien 30 ou 40 ans, peut-être plus – ou les groups de punk rock et leurs frontmen redéfinissaient constamment les frontières de la culture populaire, tout en la rendant incroyablement cool.
Que ce soit les Clash, les Damned ou les Sex Pistols, il y avait cette idée d'imprudence dans la musique, qui persiste jusqu'aujourd'hui.
Pourtant, ce n'est pas de là que vient Frank Carter and the Rattlesnakes. Au fil des années, les standards ont changé : aujourd'hui, les groupes remplissent les stades. Le deuxième album du groupe, qui sortira l'an prochain sur son propre label avec l'aide de Kobalt Label Services, est sa réponse à ce changement : c'est un album contagieux, rempli de mélodies qui restent en tête des jours entiers.
Cet album signe aussi l'entrée de Carter au panthéon des plus grands rockers anglais de ces dernières années : il devient l'icône rebelle ultime, l'outsider qui n'a eu de cesse de se battre et de dépasser les conventions établies. Un chemin qu'il a suivi depuis son apparition sur la scène punk underground avec son premier groupe Gallows, puis pendant sa période plus pop avec Pure Love, et enfin avec l'intensité de The Rattlesnakes. Si cela paraît particulier, c'est peut-être parce que l'auto-analyse n'est pas forcément une des plus grandes qualités de Frank Carter. En même temps, pourquoi le serait-elle ? Sa préoccupation première est la musique, et ce disque se fraie aisément un chemin parmi la multitude de genres et de sous-genres actuels. Les Rattlesnakes, comme tout groupe de rock qui se respecte, arrive avec talent à exprimer la colère ambiante, la confusion et l'agitation avec des hymnes qui paraissent presque accidentels.
“Modern Ruin” a été mixé par Catherine Marks (Foals/ Wolf Alice) et enregistré par Thomas Mitchener, ancien bassiste de tournée du groupe, dans son propre studio. Et si on pouvait s'attendre à un son plutôt rudimentaire, nous sommes ici en présence d'un disque extrêmement accessible, et peut-être le mieux fourni de tous. Peut-être avez-vous déjà entendu le nouveau single “Lullaby” chez Annie Mac, ou vu le show secret au Social. Des titres comme “Acid Veins” ou le premier single “Snake Eyes”, sont bruts et violents, rappelant immédiatement qu'un concert de Carter est une expérience à part, complètement ahurissante. Cependant, on y trouve aussi le majestueux “Wild Flowers” ou l'incroyable “Neon Rust”, qui clôt l'album : en 12 titres, sur “Modern Ruin”, la vision particulière de Carter est pleinement célébrée.
Modern Ruin sera disponible dans les formats suivants :
- Digital
- CD
- Livre / CD - 200 pages de paroles et de photos qui chroniquent l'année passée par le groupe
- Vinyle
- Vinyle bicolore
- Édition limitée vinyle couleur
- Édition limitée, numérotée à la main, dégradée à la main, signée. Contient vinyles tricolores, livre, CD, clé USB, badge, stickers, médiators, setlist originale de Frank Carter & The Rattlesnakes, et une peinture originale de Frank Carter.
["HIM MEDIA"]
Tracklist : | |
01. Bluebelle 02. Lullaby 03. Snake Eyes 04. Vampires 05. Wild Flowers 06. Acid Veins 07. God Is My Friend 08. Jackals 09. Thunder 10. Real Life 11. Modern Ruin 12. Neon Rust |
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