Quand j’ai entendu à nouveau retentir le nom de Tower City à mes chastes oreilles, mon sang ne fit qu’un tour.
Quoi, un nouvel album du groupe après 14 ans et la sortie de All Or Nothing chez MTM ???? Bon finalement, mon enchantement s’est un peu calmé quand je sus que ce n’était qu’une compilation baptisée The Ones That Matter. Bon tant pis, ce groupe m’avait tellement enthousiasmé que je décidais d’acheter la galette chez Cd Baby en me disant qu’il y avait quand même 4 inédits sur 16 morceaux. Et puis de toute façon, réécouter du Tower City et surtout les superbes titres qui jalonnent le Little Bit Of Fire de 1996, ça ne me ferait pas vraiment de mal.
Seize titres sur ce Best Of dont 10 du premier album, 3 du second qui proposait de bonnes choses mais pêchait un peu par une prod moyenne sur certains titres et donc les 4 inédits.
Ceux qui veulent prendre une leçon de rock mélodique se doivent d’écouter Tower City. En effet le groupe emmené par les frangins Saltis arrive à proposer des compos originales sans de véritables artifices mais qui font mouche à chaque fois. On peut se poser la question en se demandant ce que le groupe peut avoir d’exceptionnel tant sa musique peut paraitre facile.
D’une compo à l’apparence banale, ils en sortent un pur joyau. Le premier album Little Bit Of Fire sorti en 1996 propose des titres big rock US de première bouure avec une grosse production et une touche personnelle très prononcée. Tout est bon comme les hits Surrender, Talking To Sarah, Little Bit Of Fire, Closer To The Heart et tout le reste. Pas de temps faible sur cet album qu’on retrouve presque en totalité ici. Bonne séance de rattrapage pour les retardataires !!! Hot Water et Hungry de All Or Nothing n’ont rien à envier aux compos du premier. En ce qui concerne les 4 inédits, Smoke, Say You Love Me, Six Strings et Wishbone ils se fondent fort bien dans le paysage musical du groupe. A noter quand même que ces titres sont un peu moins travaillé au niveau prod et qu’ils sonnent plus brut de décoffrage. Mais là aussi, ce coté plus rêche n’empêche pas l’adhésion et qu’après quelques écoutes on a l’impression d’écouter des titres hypers travaillés alors que pas du tout, c’est la magie de ce groupe qui de temps en temps me font penser que ce sont des escrocs. Des escrocs de talent of course qui feraient passer Christophe Rocquencourt pour un voleur de Carambars.
Bref, j’ai été encore bluffé par Tower City comme je l’avais été en 1996. J’ai juste un souhait que le second groupe des mecs de Tower City c'est-à-dire Colorvine soit lui aussi mis en lumière car les albums sont impossible à trouver. Pourtant, Colorvine est peut être aussi bon que Tower avec un coté peut être plus rock et de temps en temps des rythmes funk. Visiblement une compil du groupe est à l’étude pour une sortie dans peu de temps. Croisons les doigts.
Ceux qui veulent prendre une leçon de rock mélodique se doivent d’écouter Tower City. En effet le groupe emmené par les frangins Saltis arrive à proposer des compos originales sans de véritables artifices mais qui font mouche à chaque fois. On peut se poser la question en se demandant ce que le groupe peut avoir d’exceptionnel tant sa musique peut paraitre facile.
D’une compo à l’apparence banale, ils en sortent un pur joyau. Le premier album Little Bit Of Fire sorti en 1996 propose des titres big rock US de première bouure avec une grosse production et une touche personnelle très prononcée. Tout est bon comme les hits Surrender, Talking To Sarah, Little Bit Of Fire, Closer To The Heart et tout le reste. Pas de temps faible sur cet album qu’on retrouve presque en totalité ici. Bonne séance de rattrapage pour les retardataires !!! Hot Water et Hungry de All Or Nothing n’ont rien à envier aux compos du premier. En ce qui concerne les 4 inédits, Smoke, Say You Love Me, Six Strings et Wishbone ils se fondent fort bien dans le paysage musical du groupe. A noter quand même que ces titres sont un peu moins travaillé au niveau prod et qu’ils sonnent plus brut de décoffrage. Mais là aussi, ce coté plus rêche n’empêche pas l’adhésion et qu’après quelques écoutes on a l’impression d’écouter des titres hypers travaillés alors que pas du tout, c’est la magie de ce groupe qui de temps en temps me font penser que ce sont des escrocs. Des escrocs de talent of course qui feraient passer Christophe Rocquencourt pour un voleur de Carambars.
Bref, j’ai été encore bluffé par Tower City comme je l’avais été en 1996. J’ai juste un souhait que le second groupe des mecs de Tower City c'est-à-dire Colorvine soit lui aussi mis en lumière car les albums sont impossible à trouver. Pourtant, Colorvine est peut être aussi bon que Tower avec un coté peut être plus rock et de temps en temps des rythmes funk. Visiblement une compil du groupe est à l’étude pour une sortie dans peu de temps. Croisons les doigts.
Label : | In-House Entertainment |
Sortie : | 20/12/2011 |
Production : | Tower City |
Discographie : |
Little Bit Of Fire (1996) |
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