( le combo Heavy Blues Psychédélique du guitariste Américain Paul Major ), en tournée en France pour la promotion de leur album Long Island. Allez Les Filles qui organisait le concert avait bien fait les choses en invitant les Datcha Mandala, le power trio local aux influences 70's, pour assurer la première partie. On allume les batons d'encens et la cérémonie peut commencer. Comme à son habitude, le trio, composé de Nicolas ( basse/ chant), Jérémy ( guitare/choeurs) et Jean Baptiste ( batterie/chœurs), a démarré son set sur le titre Have You Seen The Light avec harmonies Floydiennes et Zeppeliniennes, avant d'enchainer sur Da Blues, un Blues bien Heavy avec une bonne dose de psychédélisme. Malheureusement, quelques problèmes techniques viennent entraver leur énergie interactive, entachant quelque peu leur très haut niveau habituel. Néanmoins, malgré les difficultés, le combo a poursuivi son show avec beaucoup de générosité, en mêlant le Move Over de Janis Joplin avec le Helter Skelter de Beatles, ou, en nous offrant deux nouvelles compositions. D'abord, Totem, dans un style très Black Sabbath, et, ensuite, Eht Bup, avec un riff progressif, qui bourdonne comme un essaim de frelons Asiatiques, sur un tempo, bien envoutant, rythmé par un Jean Baptiste énorme tout au long du concert.
Au final, les Datcha Mandala limitent les dégâts, et, les applaudissements appuyés d'un public enthousiasmé par ce qu'il venait de voir et entendre, réconfortaient chaleureusement le trio sur leur prestation. A l'entracte, les commentaires allaient bon train et ceux qui découvraient les Datcha Mandala pour la première fois, avaient été bluffés et agréablement surpris. 22h45, c'est au tour d'Endless Boogie de monter sur scène, et, de distiller son trip en forme de jam-session sauvage et hypnotique avec des titres d'environ dix minutes pour les plus courts. Priorité à la promotion du nouvel album, le combo attaque avec The Savagist où la voix éraillée et sauvage de Paul Major se greffe sur des phrasés obsessionnels, bien salués par l'audience. La quete du St Graal expérimental se poursuit sur Imprécations avec sa guitare wah wah compulsive et ses chorus paroxismiques. Devant la scène, les fans headbanguent de la tete, tout en fermant les yeux, on est dans la communion la plus totale. Puis, viendra The Artemus Ward qui rappelle un peu l'univers des Doors avec son gimmick basse/batterie au son feutré, bien senti par Mark Ohe et Harry Druzd. Se sera, ensuite, The Montgomery Manuscrit, dans un style proche de celui d'Hawkwind. Les fans sont en transe et la grand messe continue sur deux instrumentaux intitulés Occult Banker et On Cryptology avec riffs heavy et wah-wah Stoogienne. Le summum subliminal survient sur le très rapide Général Admission qui réveille les fans en hypnose, avec son riff hargneux et son chorus façon Wayne Kramer. Les disciples en sueur sont en adoration devant leur Gourou magnétiseur, et, l'implorent pour une autre offrande électrifiée. Taking Out The Trash, un trip façon ZZ TOP finira de combler les fans et, peut être, même, convertir les plus sceptiques. Les lumières se rallument, et, les fidèles quittent le temple du Boogie, dans la sérénité, avec la satisfaction d'avoir assister à une affiche de qualité qui valait bien, ce soir là, son pesant de psychédélisme.
Au final, les Datcha Mandala limitent les dégâts, et, les applaudissements appuyés d'un public enthousiasmé par ce qu'il venait de voir et entendre, réconfortaient chaleureusement le trio sur leur prestation. A l'entracte, les commentaires allaient bon train et ceux qui découvraient les Datcha Mandala pour la première fois, avaient été bluffés et agréablement surpris. 22h45, c'est au tour d'Endless Boogie de monter sur scène, et, de distiller son trip en forme de jam-session sauvage et hypnotique avec des titres d'environ dix minutes pour les plus courts. Priorité à la promotion du nouvel album, le combo attaque avec The Savagist où la voix éraillée et sauvage de Paul Major se greffe sur des phrasés obsessionnels, bien salués par l'audience. La quete du St Graal expérimental se poursuit sur Imprécations avec sa guitare wah wah compulsive et ses chorus paroxismiques. Devant la scène, les fans headbanguent de la tete, tout en fermant les yeux, on est dans la communion la plus totale. Puis, viendra The Artemus Ward qui rappelle un peu l'univers des Doors avec son gimmick basse/batterie au son feutré, bien senti par Mark Ohe et Harry Druzd. Se sera, ensuite, The Montgomery Manuscrit, dans un style proche de celui d'Hawkwind. Les fans sont en transe et la grand messe continue sur deux instrumentaux intitulés Occult Banker et On Cryptology avec riffs heavy et wah-wah Stoogienne. Le summum subliminal survient sur le très rapide Général Admission qui réveille les fans en hypnose, avec son riff hargneux et son chorus façon Wayne Kramer. Les disciples en sueur sont en adoration devant leur Gourou magnétiseur, et, l'implorent pour une autre offrande électrifiée. Taking Out The Trash, un trip façon ZZ TOP finira de combler les fans et, peut être, même, convertir les plus sceptiques. Les lumières se rallument, et, les fidèles quittent le temple du Boogie, dans la sérénité, avec la satisfaction d'avoir assister à une affiche de qualité qui valait bien, ce soir là, son pesant de psychédélisme.
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