DEF LEPPARD 23h10 - Mainstage 1
Sonia a.k.a. abigail darktrisha - La journée touche déjà à sa fin et la tête d'affiche officielle du jour est sur le point d'arriver.
17 ans sans venir en France pour une date unique cette année au Hellfest avec la présence du monstre Anglais DEF LEPPARD.
Né en 1977 à Sheffield en pleine vague « New Wave Of British Heavy Metal » avec 100 millions d’albums vendus à travers le monde, DEF LEPPARD - Joe Elliott (chant), Vivian Campbell (guitare), Phil Collen (guitare), Rick "Sav" Savage (basse) and Rick Allen (batterie) continue d’être l'un des groupes les plus importants de la scène Hard Rock.
Ce soir il nous font l’honneur de fouler les terres de Clisson pour reproduite la tournée de Las Vegas qui reprendra la totalité de l'album "Hysteria".
Si ce groupe à souffert au long de sa carrière et que le batteur Rick Allen joue amputé d'un bras, nous saluerons également le courage de Viviam Campbell atteint d'un cancer et sans cheveux suite à sa chimiothérapie pour sa présence ce soir.
Ce concert est l'évènement de l'édition 2013 et le public est bien présent.
Comme un peu plus tôt dans la journée, le groupe sera introduit par un titre des Who "Won't Get Fooled Again".
Parfois restée un peu sur ma faim avec certains du groupe auxquelles j'ai pu assister en journée j'attendais énormément de cette position de headliner.
Un scène composée de deux écrans géants et un jeu de lumière magnifique pour ce concert de presque deux heures composé en trois parties : quelques titre en introduction, la totalité de l'album Hysteria et un rappel de deux titres.
Les premiers titres exécutés sont extraits d'anciens albums avec notamment la reprise du titre "Action" du groupe Sweet. Une introduction de six titres pour se mettre en jambe et chauffer le public alors que la fraicheur de la soirée tombe sur le site.
Le premier titre joué "Good Morning Greedom" est la face B de leur premier single jamais enregistré sur album : véritable cadeau aux fans pour ce titre qui a part Las Vegas cette année n'avait pas été joué depuis 1980.
Si ce début de concert est très professionnel et bon, autour de moi le public un peu plus éloigné de la barrière ne sera pas des plus réactif, et ce pendant la durée totale du concert.
Def Leppard autant j'aime autant ce n'est pas le groupe le plus violent sur scène, et la projection d'un court métrage de 10 minutes à la fin de la première partie cassera et fera retomber un peu une ambiance déjà difficile à lancer. Ce petit film constitué d'images archives du groupe servira d'introduction à la suite mais également aux membres à se changer. C'est dans ce cadre là que Phil Collens, réputé pour être sportif et actif dans le "bien-être" en animant également des conférences sur la santé nous reviendra sur scène torse-nu, épilé et étincelant d'huile corporelle tel un athlète, nous exhibant par la même occasion un corps plutôt bien conservé pour son âge.
Mais ce n'est pas vraiment ce que nous sommes venus voir et les premières notes de "Women" annoncent la seconde partie du show et l'intégralité de 'Hysteria".
Si cet album n'est pas toujours considéré comme le meilleur par les fans il n'en reste pas moins le plus vendu de la carrière du groupe.
Les titres défilent et c'est bien du pur Def Leppard que nous avons ce soir dont certains titres me feront plaisir à entendre. A l'image de David Coverdale, Joe Elliott n'est pas le dernier pour ce qui est de charmer son public et de jouer sur un certain charme.
Des titres plus dynamiques comme Rocket, Animal ou Don't Shoot Shotgun feront chanter et taper des mains en chœur la foule.
Bien sur les incontournables balades ou le titre Excitable à l'introduction équivoque seront de la partie.
Le concert se terminera sur un rappel de deux titres de l'album Pyromania .
Un concert très millimétré et très professionnel et bien que j'apprécie énormément le groupe je peux comprendre la déception de certaines personnes.
Def Leppard c'est plutôt des concerts qui se regardent comme un spectacle que des concerts qui se vivent à 100% corps et âme, mais cela n'enlève rien à la qualité et à la reconnaissance du groupe.
Par ailleurs, prévu 1h45 le groupe s'octroiera 2h00 complètes comme toutes les têtes d'affiches devraient le faire sur des festivals comme le Hellfest. Il sera dommage le lendemain que kiss enlève des titres chez nous par rapport aux show exécutés ailleurs.
Eric Berger : Dans les enceintes, un classique des WHO se déverse Won’t Get Fooled Again qui annonce l’arrivée imminente des léopards sourds. Sur une scène superbe avec des escaliers de chaque côté, le groupe attaque fort. Je n’hésiterais pas un instant à dire que la 1ère ½ heure fut fantastique. PHIL COLLEN et VIVIAN CAMPBELL nous régale de solos et autres harmonies sur Wasted, Foolin’ et Action. JOE ELLIOT est un peu en retrait à mon goût, mais cela ne m’empêche pas de jubiler à l’écoute de l’intro de Bringin' on the Heartbreak, ma chanson préférée du groupe, suivie bien sûr par l’immense instrumental Switch 625. Les musiciens se retirent et nous laissent devant un écran géant qui diffuse des extraits d’interviews et autres prestations. Cela a pour conséquence de lasser un peu le public. Quand le groupe réapparait, c’est pour nous jouer en intégralité l’album Hystéria. Personnellement cet album n’est pas un de mes préférés et au bout de 5 titres, je décroche complètement et ce malgré Love Bites et Pour Some Sugar On Me. Comme les voitures aujourd’hui, les chansons qui composent ce disque embarquent trop d’électronique à mon goût. Le public au fil des titres est de moins en moins enthousiaste et nos léopards sourds auront toutes les peines du monde à obtenir un rappel digne de ce nom. Rock Of Ages et Photograph ne suffiront pas à mon bonheur. Le groupe à mon sens s’est un peu pris les pieds dans le tapis en voulant reproduire le spectacle qu’il donne cette année à Las Vegas. Le public Européen est complètement différent du public Américain (voir l’itw de JERRY HORTON de PAPA ROACH) pour en être convaincu. Ce spectacle n’était pas forcément en adéquation avec ce festival.
17 ans sans venir en France pour une date unique cette année au Hellfest avec la présence du monstre Anglais DEF LEPPARD.
Né en 1977 à Sheffield en pleine vague « New Wave Of British Heavy Metal » avec 100 millions d’albums vendus à travers le monde, DEF LEPPARD - Joe Elliott (chant), Vivian Campbell (guitare), Phil Collen (guitare), Rick "Sav" Savage (basse) and Rick Allen (batterie) continue d’être l'un des groupes les plus importants de la scène Hard Rock.
Ce soir il nous font l’honneur de fouler les terres de Clisson pour reproduite la tournée de Las Vegas qui reprendra la totalité de l'album "Hysteria".
Si ce groupe à souffert au long de sa carrière et que le batteur Rick Allen joue amputé d'un bras, nous saluerons également le courage de Viviam Campbell atteint d'un cancer et sans cheveux suite à sa chimiothérapie pour sa présence ce soir.
Ce concert est l'évènement de l'édition 2013 et le public est bien présent.
Comme un peu plus tôt dans la journée, le groupe sera introduit par un titre des Who "Won't Get Fooled Again".
Parfois restée un peu sur ma faim avec certains du groupe auxquelles j'ai pu assister en journée j'attendais énormément de cette position de headliner.
Un scène composée de deux écrans géants et un jeu de lumière magnifique pour ce concert de presque deux heures composé en trois parties : quelques titre en introduction, la totalité de l'album Hysteria et un rappel de deux titres.
Les premiers titres exécutés sont extraits d'anciens albums avec notamment la reprise du titre "Action" du groupe Sweet. Une introduction de six titres pour se mettre en jambe et chauffer le public alors que la fraicheur de la soirée tombe sur le site.
Le premier titre joué "Good Morning Greedom" est la face B de leur premier single jamais enregistré sur album : véritable cadeau aux fans pour ce titre qui a part Las Vegas cette année n'avait pas été joué depuis 1980.
Si ce début de concert est très professionnel et bon, autour de moi le public un peu plus éloigné de la barrière ne sera pas des plus réactif, et ce pendant la durée totale du concert.
Def Leppard autant j'aime autant ce n'est pas le groupe le plus violent sur scène, et la projection d'un court métrage de 10 minutes à la fin de la première partie cassera et fera retomber un peu une ambiance déjà difficile à lancer. Ce petit film constitué d'images archives du groupe servira d'introduction à la suite mais également aux membres à se changer. C'est dans ce cadre là que Phil Collens, réputé pour être sportif et actif dans le "bien-être" en animant également des conférences sur la santé nous reviendra sur scène torse-nu, épilé et étincelant d'huile corporelle tel un athlète, nous exhibant par la même occasion un corps plutôt bien conservé pour son âge.
Mais ce n'est pas vraiment ce que nous sommes venus voir et les premières notes de "Women" annoncent la seconde partie du show et l'intégralité de 'Hysteria".
Si cet album n'est pas toujours considéré comme le meilleur par les fans il n'en reste pas moins le plus vendu de la carrière du groupe.
Les titres défilent et c'est bien du pur Def Leppard que nous avons ce soir dont certains titres me feront plaisir à entendre. A l'image de David Coverdale, Joe Elliott n'est pas le dernier pour ce qui est de charmer son public et de jouer sur un certain charme.
Des titres plus dynamiques comme Rocket, Animal ou Don't Shoot Shotgun feront chanter et taper des mains en chœur la foule.
Bien sur les incontournables balades ou le titre Excitable à l'introduction équivoque seront de la partie.
Le concert se terminera sur un rappel de deux titres de l'album Pyromania .
Un concert très millimétré et très professionnel et bien que j'apprécie énormément le groupe je peux comprendre la déception de certaines personnes.
Def Leppard c'est plutôt des concerts qui se regardent comme un spectacle que des concerts qui se vivent à 100% corps et âme, mais cela n'enlève rien à la qualité et à la reconnaissance du groupe.
Par ailleurs, prévu 1h45 le groupe s'octroiera 2h00 complètes comme toutes les têtes d'affiches devraient le faire sur des festivals comme le Hellfest. Il sera dommage le lendemain que kiss enlève des titres chez nous par rapport aux show exécutés ailleurs.
Eric Berger : Dans les enceintes, un classique des WHO se déverse Won’t Get Fooled Again qui annonce l’arrivée imminente des léopards sourds. Sur une scène superbe avec des escaliers de chaque côté, le groupe attaque fort. Je n’hésiterais pas un instant à dire que la 1ère ½ heure fut fantastique. PHIL COLLEN et VIVIAN CAMPBELL nous régale de solos et autres harmonies sur Wasted, Foolin’ et Action. JOE ELLIOT est un peu en retrait à mon goût, mais cela ne m’empêche pas de jubiler à l’écoute de l’intro de Bringin' on the Heartbreak, ma chanson préférée du groupe, suivie bien sûr par l’immense instrumental Switch 625. Les musiciens se retirent et nous laissent devant un écran géant qui diffuse des extraits d’interviews et autres prestations. Cela a pour conséquence de lasser un peu le public. Quand le groupe réapparait, c’est pour nous jouer en intégralité l’album Hystéria. Personnellement cet album n’est pas un de mes préférés et au bout de 5 titres, je décroche complètement et ce malgré Love Bites et Pour Some Sugar On Me. Comme les voitures aujourd’hui, les chansons qui composent ce disque embarquent trop d’électronique à mon goût. Le public au fil des titres est de moins en moins enthousiaste et nos léopards sourds auront toutes les peines du monde à obtenir un rappel digne de ce nom. Rock Of Ages et Photograph ne suffiront pas à mon bonheur. Le groupe à mon sens s’est un peu pris les pieds dans le tapis en voulant reproduire le spectacle qu’il donne cette année à Las Vegas. Le public Européen est complètement différent du public Américain (voir l’itw de JERRY HORTON de PAPA ROACH) pour en être convaincu. Ce spectacle n’était pas forcément en adéquation avec ce festival.
Won't Get Fooled Again / The Who
Good Morning Freedom
Wasted
Let's Get Rocked
Foolin'
Action / Sweet
Bringin' on the Heartbreak
Switch 625
(album Hysteria)
Women
Rocket
Animal
Love Bites
Pour Some Sugar on Me
Armageddon It
Gods of War
Don't Shoot Shotgun
Run Riot
Hysteria
Excitable
Love and Affection
Rock of Ages
Photograph
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Comments:
Commentaires
Il faut dire que Campbell a toujours assuré les chœurs dans ses précédents groupes et Collen était même lead singer dans Man Raze. Savage, impérial également.
Je pense aussi qu'il y a eu erreur de "casting". C'est Pyromania qu'ils auraient dû jouer au Hellfest. On sentait que le public attendait les 3 premiers albums. Ça m'a fait de la peine ce silence de mort pour le rappel. C'était pas mérité. C'était Def Lepp bordel et Def Lepp reste un très grand groupe.
Est-ce que quelqu'un peut me confirmer : il m'a semblé que Gods Of War avait été jouée plus grave que sur l'album ? Switch 625 : le grand frisson et une petite larme en pensant à Steve Clark Guitar Hero génial(et oui, le métalleux est sensible :-))
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