La salle est presque complète, le public est venu nombreux pour cet événement. Markus James a la rude tâche de chauffer le public. Cet artiste nous vient de Californie, c’est avec une ambiance sonore forestière que l'artiste entre en scène, guitare à la main. Il est en tout et pour tout accompagné par un batteur, Marlon Green. Le guitariste salue le public, tente quelques mots en français, mais rapidement l’anglais prends le dessus. Sous un faible éclairage, les deux musiciens tiennent un rythme soutenu qui donne envie de taper du pied. . Markus joue sur les effets avec quelques pédales utilisées à plusieurs reprises pour donner des sons différents à sa guitare. Le batteur par moments se lève et joue debout derrière ses fûts. Plus tard Markus remplace sa guitare électrique contre un banjo, puis sur un autre titre sur une guitare électrique datant de 1964 avec un coffre carré de petite dimension, plutôt original. Le public fait un bon accueil aux musiciens avec des applaudissements à plusieurs reprises et au final.
Après l'entracte, vers 22h, les lumières s'éteignent et Satch fait son entrée, les lunettes de soleil rivées sur le nez, comme à son habitude, et sa guitare Ibanez pour entamer Shockwave Supernova, titre du dernier album du même nom, accueilli par des applaudissements généreux. La dextérité du maestro est toujours impressionnante et fait totalement oublier l’absence de chanteur. J’avoue que je ne suis pas trop fan de ce style instrumental, sauf avec quelques-uns comme Joe, et ce soir non seulement ça passe bien mais les frissons sont plusieurs fois à l’ordre du jour. Les musiciens qui l’accompagnent y sont pour quelque chose, avec une rythmique diablement efficace, et un guitariste / claviériste, Mike Keneally très brillant, notamment sur Friends où il effectue plusieurs allers retours entre le devant de la scène et son clavier. Le son, comme toujours dans cette magnifique salle du Casino Barrière, est parfait. Satch fait preuve d'une grande complicité avec son groupe qu’il finit par présenter. La set-list fait une large place au nouvel album, avec tout d’abord On Peregrine Wings, puis cinq autres titres d’affilée, Butterfly and Zebra, If There Is No Heaven, Cataclysmic, Crazy Joey et All of My Life puis enfin Goodbye Supernova peu avant le rappel.
Après justement un rappel bien bruyant, les musiciens reviennent pour jouer notamment le très attendu et célèbre Surfin With The Alien qui termine le concert en apothéose, accompagné sur l’écran vidéo par un surfeur d'argent traversant l'univers. Le public, qui a commencé le concert assis, le termine debout et ovationne la performance du légendaire guitariste, ce dernier, en retour, prend le temps pour saluer son public, jeter quelques médiators avant de quitter la scène.
Après l'entracte, vers 22h, les lumières s'éteignent et Satch fait son entrée, les lunettes de soleil rivées sur le nez, comme à son habitude, et sa guitare Ibanez pour entamer Shockwave Supernova, titre du dernier album du même nom, accueilli par des applaudissements généreux. La dextérité du maestro est toujours impressionnante et fait totalement oublier l’absence de chanteur. J’avoue que je ne suis pas trop fan de ce style instrumental, sauf avec quelques-uns comme Joe, et ce soir non seulement ça passe bien mais les frissons sont plusieurs fois à l’ordre du jour. Les musiciens qui l’accompagnent y sont pour quelque chose, avec une rythmique diablement efficace, et un guitariste / claviériste, Mike Keneally très brillant, notamment sur Friends où il effectue plusieurs allers retours entre le devant de la scène et son clavier. Le son, comme toujours dans cette magnifique salle du Casino Barrière, est parfait. Satch fait preuve d'une grande complicité avec son groupe qu’il finit par présenter. La set-list fait une large place au nouvel album, avec tout d’abord On Peregrine Wings, puis cinq autres titres d’affilée, Butterfly and Zebra, If There Is No Heaven, Cataclysmic, Crazy Joey et All of My Life puis enfin Goodbye Supernova peu avant le rappel.
Après justement un rappel bien bruyant, les musiciens reviennent pour jouer notamment le très attendu et célèbre Surfin With The Alien qui termine le concert en apothéose, accompagné sur l’écran vidéo par un surfeur d'argent traversant l'univers. Le public, qui a commencé le concert assis, le termine debout et ovationne la performance du légendaire guitariste, ce dernier, en retour, prend le temps pour saluer son public, jeter quelques médiators avant de quitter la scène.
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