Quatorzième opus, pour ce combo Américain au style Heavy Speed Métal, fondé en 1975 à New York.
C'est entre 1977 et 1982 que le groupe a acquit sa notoriété mondiale avec des albums tels que Rock City, Fire Down Under ou encore Restless Breed. Notoriété, d'ailleurs, confirmée lors de leurs tournées aux États Unis avec AC/DC ou avec Sammy Hagar en Europe. Un album live sorti en 1983 conclura cette période bénie. Ensuite, le succès s'est quelque peu tassé en raison des turn over incessants opérés au sein du groupe. Néanmoins, Riot a périodiquement sorti des albums jusqu'au dernier en date en 2006 ( Army Of One).
En 2009, nouveau Line Up et c'est reparti pour un tour, en Suède et au Japon, pour roder de nouveaux morceaux avant d'entrer en studio, début 2011, afin d'enregistrer ce nouvel album. Dès l'entame, c'est déjà l'émeute avec Riot.
On se bouscule au portillon et ça part sur les chapeaux de roues avec un riff ravageur de Mike Flyntz qui bourdonne à la vitesse du frelon. Tony Moore fait parler la puissance de sa voix haut perchée, proche de Rob Halford ( Judas Priest), et, Mark Reale déboule de nulle part avec un chorus à couper au couteau. Meme sensations avec Wings Are For Angels ainsi que Sins Of The Father. Toujours Speed mais syncopé du tempo, on s'écarte avec l'incroyable Believe ,au riff ciselé et le très métallique Echoes. Moins Speed mais, néanmoins rapide, on s'enivre de mélodies avec Whiskey Man, mais, aussi, Insanity, ou, encore, Still Your Man, bien ficelé par le tempo de Bobby Jarzombek, et, subtilement pulsé par la basse de Don Van Stavern. On baisse un peu d'intensité avec Fall Before Me aux voix bien aériennes et, avec, aussi, Immortal Soul, le titre éponyme de l'album. En plus heavy, on trouve Crawling avec son atmosphère pesante et ses harmonies arabisantes et, enfin, on découvre une pièce instrumentale assez courte, très mélodique, qui s'appelle Majestica.
Bref, voilà un album très tonique, qui marque le retour fringuant de nos Ricains, qui n'ont strictement rien perdu de leur fougue d'antan. Ils font surement partie de ceux dont l'âme est immortelle.
En 2009, nouveau Line Up et c'est reparti pour un tour, en Suède et au Japon, pour roder de nouveaux morceaux avant d'entrer en studio, début 2011, afin d'enregistrer ce nouvel album. Dès l'entame, c'est déjà l'émeute avec Riot.
On se bouscule au portillon et ça part sur les chapeaux de roues avec un riff ravageur de Mike Flyntz qui bourdonne à la vitesse du frelon. Tony Moore fait parler la puissance de sa voix haut perchée, proche de Rob Halford ( Judas Priest), et, Mark Reale déboule de nulle part avec un chorus à couper au couteau. Meme sensations avec Wings Are For Angels ainsi que Sins Of The Father. Toujours Speed mais syncopé du tempo, on s'écarte avec l'incroyable Believe ,au riff ciselé et le très métallique Echoes. Moins Speed mais, néanmoins rapide, on s'enivre de mélodies avec Whiskey Man, mais, aussi, Insanity, ou, encore, Still Your Man, bien ficelé par le tempo de Bobby Jarzombek, et, subtilement pulsé par la basse de Don Van Stavern. On baisse un peu d'intensité avec Fall Before Me aux voix bien aériennes et, avec, aussi, Immortal Soul, le titre éponyme de l'album. En plus heavy, on trouve Crawling avec son atmosphère pesante et ses harmonies arabisantes et, enfin, on découvre une pièce instrumentale assez courte, très mélodique, qui s'appelle Majestica.
Bref, voilà un album très tonique, qui marque le retour fringuant de nos Ricains, qui n'ont strictement rien perdu de leur fougue d'antan. Ils font surement partie de ceux dont l'âme est immortelle.
Label : | SPV |
Sortie : | 31/10/2011 |
Production : | n/a |
Discographie : | |
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RIOT Still Your Man by Steamhammer/SPV
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Comments:
Commentaires
Immortel, je ne sais pas, par contre voilà un groupe mésestimé qui traverse le temps malgré luxe d'embuches, c'est tout à son honneur et celui du guitariste Mark Reale, dernier survivant du line-up original !
Les bons groupes sont immortels. J'avais le premier album qui s'était montré très prometteur. Le second moins bien produit possédait néanmoins une bonne version du Born To Be Wild de Steppenwolf.
Puis AC/DC est arrivé. C'était presque à la fin des années 70.
Métal Den doit s'en souvenir, il venait chez moi écouter mes disques. Dire qu'il va falloir patienter jusqu'à fin Octobre pour écouter ce nouvel opus.
Vivement l'automne! John Markus.
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