Tony NIVA est à l'origine de 2 projets, OXYGEN et NIVA.
L'album Final Warning sorti en 2012 avec OXYGEN m'avait bien emballé tandis que Magnitude sorti en 2013 avec NIVA avait fini par me lasser.
Avec ce Incremental IV la lassitude est arrivée très rapidement seulement après 5 ou 6 écoutes. En cause, une entame de disque poussive avec des titres anodins comme Don't You Know et Crush. Même si Better Just Forgotten, The Reason Why ou l'excellent Play The Game remontent un peu le niveau, je me suis retrouvé face à un opus trop lisse, très formaté. La structure couplet, refrain, couplet, refrain, solo, refrain est à la longue fortement ennuyeuse. La ballade Travel Back In Time n'a pas le potentiel émotionnel d’In A Misty Light de l'album précédent. La fin du disque est de plus très conventionnelle malgré un chant très technique mais tellement typé que cela en devient répétitif. La production est dans la norme sans vraiment de caractère avec une batterie trop compressée à mon goût.
Au final si vous êtes fan de cet artiste et fan d'Aor de ces dernières années, vous devriez prendre votre pied avec ces musiciens techniquement irréprochables. Personnellement j'ai préféré prendre mes jambes à mon cou car ce style de musique est de plus en plus trop propre, aseptisé, sans âme et cela ne me touche absolument pas.
P.S. : La version japonaise de l’album propose 2 titres bonus.
Label : | Aor Heaven |
Sortie : | 2014 |
Production : | Marcus Persson |
Discographie : |
No Capitulation (1994) |
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Comments:
Commentaires
Ma préférence ira au précédent Magnitude que j'aime toujours autant mais je ne me suis pas encore lassé de ce dernier qui glisse bien je trouve... Affaire de goût, comme toujours !
Tchuss Eric. Rémi(fm)
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