Quand l’univers de ce que vous aimez dans la musique se retrouve dans un seul album … Vous vous trouvez dépité ; le cul entre deux chaises. En commençant par vous demander : « Quand retrouverai, après, cette sensation auditive ? »
Dans mon cas les albums indispensables que je mettrai dans mon top 10, se comptent par centaines !
Je sais, ce n’est pas possible … Mais interrogez-vous sur le nombre de cons qui se donnent à 200, 300 % et plus. Alors, on me lâche !
En plus des tops 10 où j’en range 100 ; j’en fais dans divers styles !
Sur cette étagère du summum, il faudrait fouiller dans la discographie d’un Bryan ADAMS (des débuts), l’intégralité de (feu) Van STEPHENSON, John PARR. Mais les amoureux et exigeants de la musique et musiciens vont vouloir exiger plus. Alors si je vous proposais de mettre en plus par ci, par là quelques lignes instrumentales empruntées à un Tony Joe WHITE, un Robert CRAY (Love And Hapiness, sur cet exemple proche de l’univers Blues-Gospel typé Louisiane) ?
Voilà j’ai ouvert la porte aux plus puristes.
Chez les trois premières références, je prendrai un mix des timbres vocaux, ce sens de la composition et de la mélodie. Chez les seconds les richesses musicales et des phrasés de cordes.
A ce stade les plus malins, font pause sur la chronique et foncent sur Google et/ou chez leurs marchands préférés.
Et ils disent : « en plus je le trouve à pas cher, Maënora, je peux t’appeler Maître » ; ce à quoi je réponds : « Mais, oui … Fais toi plaisir ! ».
Car sauf si votre seul effort de la journée, c’est de vous contenter de lever le couvercle quand on vous appuie sur le pied … Vous avez compris qu’on parle d’UN MUST HAVE ! De Soft Rock Mélodique.
C’est à un tel point que si je décidais de faire le saucissonnage Made By Maënora, vous auriez une chronique de 14 pages. Deux pages pour l’intro’ et la conclusion plus une pour chacun des titres.
Si vous êtes un gros consommateur et que vous aviez loupé ça : bonne nouvelle, Mme va être contente. Vous allez pouvoir appuyer sur le pied et débarrasser vos étagères de tous ces objets que vous appelez Cds, qui prennent la poussière et qui sont (si, si ! Soyez honnêtes :) des infâmes bouses, du pur jus de pue pour la plupart, à côté de cet album. (Voyons cherchons les procès …) Dans la même veine de comparaison on dirait : ce que Mireille Mathieu est à Sophie Marceau ; la burqua à la nuisette ; Jean-Pierre Pernaut à Emilie Besse … Le Rap au Rock mélodique ; l’étron (que d’un petit) pas tapons au le foie gras ; la politique à l’intelligence ; un extrémiste à moi & etc.
Si vous avez une petite Cdthèque, la collection va à peine s’agrandir en quantité mais ô combien en qualité ? Vous pourrez même le mettre dans un meuble dédié avec jolie velours et son étiquette nacrée ainsi identifiée : « Les bons conseils de Maënora ! ».
Envoyez-moi 50 € + 3 € pour les frais de port, je vous enverrai une photo dédicacée pour le côté du meuble. Multipliez par 1000 pour la version nue !
Marylin Dean And James Monroe, toute la beauté mélodique de ce qui vous attend sur cet opus. Curieux du site & fan exclusif de Metal Symphonique et autres, Death, Black, Trash ; mieux aurait valu s’arrêter au titre de la chronique, désolé ! Sur l’ouverture de l’album, les sonorités de piano de Bruce Hornsby, cette ligne de gratte acoustique sur un chorus typé Tony Joe White. La mélodie chantonnée en refrain ; tout est parfaitement en place. Un son de 1991 qui n’a pas pris une ride. Produit par la patte de Pat MORAN (décédé en 2011) qui a produit pêle-mêle : Robert Plant, Lou Gramm, Danny Wilde, Iggy Pop, Big Country, Jon Butcher Axis, Tom Cochrane, John Miles, etc.
Cette voix doucereusement rauque c’est Richard Marx qui imite mal Jimmy Barnes ; ce qui en fait un truc agréable sur la longueur d’un album.
Mais attention, je vous préviens c’est ma facette, palette soft ou l’acoustique se taille une part de lion, avec des sons électrique épurés que vous entendrez ; sur ce retour au passé.
Dans mon cas les albums indispensables que je mettrai dans mon top 10, se comptent par centaines !
Je sais, ce n’est pas possible … Mais interrogez-vous sur le nombre de cons qui se donnent à 200, 300 % et plus. Alors, on me lâche !
En plus des tops 10 où j’en range 100 ; j’en fais dans divers styles !
Sur cette étagère du summum, il faudrait fouiller dans la discographie d’un Bryan ADAMS (des débuts), l’intégralité de (feu) Van STEPHENSON, John PARR. Mais les amoureux et exigeants de la musique et musiciens vont vouloir exiger plus. Alors si je vous proposais de mettre en plus par ci, par là quelques lignes instrumentales empruntées à un Tony Joe WHITE, un Robert CRAY (Love And Hapiness, sur cet exemple proche de l’univers Blues-Gospel typé Louisiane) ?
Voilà j’ai ouvert la porte aux plus puristes.
Chez les trois premières références, je prendrai un mix des timbres vocaux, ce sens de la composition et de la mélodie. Chez les seconds les richesses musicales et des phrasés de cordes.
A ce stade les plus malins, font pause sur la chronique et foncent sur Google et/ou chez leurs marchands préférés.
Et ils disent : « en plus je le trouve à pas cher, Maënora, je peux t’appeler Maître » ; ce à quoi je réponds : « Mais, oui … Fais toi plaisir ! ».
Car sauf si votre seul effort de la journée, c’est de vous contenter de lever le couvercle quand on vous appuie sur le pied … Vous avez compris qu’on parle d’UN MUST HAVE ! De Soft Rock Mélodique.
C’est à un tel point que si je décidais de faire le saucissonnage Made By Maënora, vous auriez une chronique de 14 pages. Deux pages pour l’intro’ et la conclusion plus une pour chacun des titres.
Si vous êtes un gros consommateur et que vous aviez loupé ça : bonne nouvelle, Mme va être contente. Vous allez pouvoir appuyer sur le pied et débarrasser vos étagères de tous ces objets que vous appelez Cds, qui prennent la poussière et qui sont (si, si ! Soyez honnêtes :) des infâmes bouses, du pur jus de pue pour la plupart, à côté de cet album. (Voyons cherchons les procès …) Dans la même veine de comparaison on dirait : ce que Mireille Mathieu est à Sophie Marceau ; la burqua à la nuisette ; Jean-Pierre Pernaut à Emilie Besse … Le Rap au Rock mélodique ; l’étron (que d’un petit) pas tapons au le foie gras ; la politique à l’intelligence ; un extrémiste à moi & etc.
Si vous avez une petite Cdthèque, la collection va à peine s’agrandir en quantité mais ô combien en qualité ? Vous pourrez même le mettre dans un meuble dédié avec jolie velours et son étiquette nacrée ainsi identifiée : « Les bons conseils de Maënora ! ».
Envoyez-moi 50 € + 3 € pour les frais de port, je vous enverrai une photo dédicacée pour le côté du meuble. Multipliez par 1000 pour la version nue !
Marylin Dean And James Monroe, toute la beauté mélodique de ce qui vous attend sur cet opus. Curieux du site & fan exclusif de Metal Symphonique et autres, Death, Black, Trash ; mieux aurait valu s’arrêter au titre de la chronique, désolé ! Sur l’ouverture de l’album, les sonorités de piano de Bruce Hornsby, cette ligne de gratte acoustique sur un chorus typé Tony Joe White. La mélodie chantonnée en refrain ; tout est parfaitement en place. Un son de 1991 qui n’a pas pris une ride. Produit par la patte de Pat MORAN (décédé en 2011) qui a produit pêle-mêle : Robert Plant, Lou Gramm, Danny Wilde, Iggy Pop, Big Country, Jon Butcher Axis, Tom Cochrane, John Miles, etc.
Cette voix doucereusement rauque c’est Richard Marx qui imite mal Jimmy Barnes ; ce qui en fait un truc agréable sur la longueur d’un album.
Mais attention, je vous préviens c’est ma facette, palette soft ou l’acoustique se taille une part de lion, avec des sons électrique épurés que vous entendrez ; sur ce retour au passé.
Tracklist : | Line Up : | |
01. Marilyn Dean And James Monroe 02. Hands 03. Love And Happiness 04. Wet Picasso 05. Parasites 06. Living In A Dream 07. Stone Zoo 08. Mama's Room 09. In Dreams 10. The Jagged Door 11. The Falcon 12. Walk On Water | John Kilzer : Lead Vocals,Acoustic Guitar, Robbie Blunt : Guitars Simon Edwards : Bass Chris Whitten : Drums Wix : Keyboards Guests: Piano : Bruce Hornsby ; Accordéon : Phil Parlapiano ; Percussion : Michael Guido ; Backing Vocals : Julia & Maxime Waters. |
Label : | GEFFEN |
Sortie : | 1991 |
Production : | Pat MORAN (masterisé par George MARINO) |
Discographie : |
Memory In The Making (1988) |
Liens multimédia - videos | Myspace |
Notes des visiteurs : |
Comments:
Commentaires
Une super chronique pour un super disque, John Kilzer a un grain de voix magnifique. Son univers musical est une vraie invitation au voyage. Bien vu en tout cas MARX qui imite BARNES.
Un disque rare et excellentissime !
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