26 West est un projet à deux têtes Canadiennes emmené par Barry Aiken qui s’occupe des claviers et par Danny Boyle pour le chant. L'album date de 1999 ce n'est donc pas une nouveauté mais au vu de la qualité du produit, il méritait largement une chronique. J'avoue que les deux gars ne me disait absolument rien et c'est donc tout naturellement que je me suis tourné vers Internet pour en savoir un peu plus. Le problème c'est quand on tape Danny Boyle sur Google on ressort avec 50 pages qui évoquent le réalisateur Britannique. C'est un peu comme taper Jacques Martin si vous recherchez quelqu'un qui se nomme de cette façon et qui n'a rien à voir avec le présentateur de L’école Des Fans !!! Après m’être paluché moult page, j'ai laissé tomber !!! Pour Barry Aiken ce fut plus simple et j'appris qu'il a bossé entre autre avec Gino Vannelli et sorti 3 albums sous des projets différents. Sous le nom de Flight 7, Sky High en 1988, ce I Can't Believe en 1999 sou le nom 26 West et son dernier Balboa Park en 2010.
Pour revenir un peu sur le contenu du cd , ce que je disais plus haut est vraiment flagrant. L'album est bourré de références et la musique oscille entre Westcoast, Jazz, Soul avec un feeling énorme. Rien que le titre d'ouverture Only One place la barre très haut. Ce titre est vraiment classieux dans ses arrangements avec ce saxo omniprésent et la voix de Boyle bien chaude. Une entrée en matière parfaite. On va retrouver le même talent tout au long de l'album avec ce coté Chicago sur Runaway , une ballade sublime This Time Once More, la touche Steve Winwood quand celui ci sortait son album Back In A High Life sur Only Time Will Tell ou bien un coté Bruce Hornsby sur Everybody Knows. Tous les instruments sont parfaitement en place, les petites touches de cuivres, de pianos, de guitares sont distillées de mains de maître.
Un album peu connu qui franchement mériterait d’être plus en lumière. Je ne cite personne mais je connais des albums de Westcoast bien mieux cotés que celui ci et pourtant bien plus pourris. Ce 26 West représente pour moi la classe musicale. Un style bien maîtrisé et on comprend mieux pourquoi Vannelli travaille avec Aiken. En effet, c'est connu le Canadien en général ne s'entoure pas de manches à balais en ce qui concerne les musiciens qui le suivent.
Pour revenir un peu sur le contenu du cd , ce que je disais plus haut est vraiment flagrant. L'album est bourré de références et la musique oscille entre Westcoast, Jazz, Soul avec un feeling énorme. Rien que le titre d'ouverture Only One place la barre très haut. Ce titre est vraiment classieux dans ses arrangements avec ce saxo omniprésent et la voix de Boyle bien chaude. Une entrée en matière parfaite. On va retrouver le même talent tout au long de l'album avec ce coté Chicago sur Runaway , une ballade sublime This Time Once More, la touche Steve Winwood quand celui ci sortait son album Back In A High Life sur Only Time Will Tell ou bien un coté Bruce Hornsby sur Everybody Knows. Tous les instruments sont parfaitement en place, les petites touches de cuivres, de pianos, de guitares sont distillées de mains de maître.
Un album peu connu qui franchement mériterait d’être plus en lumière. Je ne cite personne mais je connais des albums de Westcoast bien mieux cotés que celui ci et pourtant bien plus pourris. Ce 26 West représente pour moi la classe musicale. Un style bien maîtrisé et on comprend mieux pourquoi Vannelli travaille avec Aiken. En effet, c'est connu le Canadien en général ne s'entoure pas de manches à balais en ce qui concerne les musiciens qui le suivent.
Label : | AE Records |
Sortie : | 1999 |
Production : | Barry Aiken/Danny Boyle |
Discographie : |
I Can't Believe (1999) |
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