Je m’étais promis de me bloquer du temps et chroniquer… Être ici et Ayers en même temps pas toujours évident…Ça y est celle-là, elle est faite ! Écouter Ayers c’est faire un bond dans le temps (pour la musique)… Mais un temps présent (pour le son). Un vrai son d’époque, quant à la première sensation, le premier sentiment comparatif perçu… des effluves, des réminiscences de nos Australiens (frères Young) ; plus période 75 -77. Un quelque chose de KIX et moult références. Quelques résurgences musicales avec nos canards électriques hexagonaux (Montpellier). Mais… avec un bémol de taille ; au moins un Cémol : une voie féminine pour emmener tout ce monde, canaliser ce son et cette puissance. Ayers est Nantais et sent bon la galette beurrée. Si le groupe parcourt les scènes et les affiches aux côtés de valeurs sures : ELECTRIC MARY, DAGOBA, STICKY BOYS et j’en passe… Son nom quant à lui hélas résonne beaucoup moins que ses amplis. Corrigeons cela ! Dernier EP en date : Surffer Pain – Qui (pour les anglophones) passe tout seul, sans douleurs. Je n’aurais jamais pu croire dire ça, mais… c’est court et c’est bon. D’un autre côté if I must suffer pain… autant que ce soit court.
Une formation pur R’n’R. Deux six cordes (Ben et Ron), une belle paire : cœur et poumon (Max et Redge) [Petit jeu des ressemblances Zlatan s’est caché dans la vidéo Eponym de l’EP, trouvez le]. Il ne manque que le houblon, pour parfaire la fête et c’est Kro qui impose son timbre. Soit au total trois belles paires… Oups. Je pense qu’Ayers est le prototype même de combo qui devrait / pourrait sortir un Ep en Live.Car si ce groupe ne sonne pas en Live, qu’on m’envoie faire la tournée Stars 80 pour rejoindre les millions de fous furieux, amateurs du bon mauvais goût, de l’élite vocale hexagonale : Pietri, Hernandez, Dingler, Mader, Feldman, Barney, Emile & Images, Début de Soirée, Schultheis, Montagné, si vous voulez plus de noms demandez donc à mon ami Fab (l’imprésario des stars), hyper boulimique et pilier de la taule R.M :-D
Cependant ne nous voilons pas la face, même la culture agricole a besoin de son purin ! Même si j’ai l’impression, en ce qui me concerne, que le simple fait de me retrouver dans la file d’attente, au milieu de ces comparses devrait avoir raison de moi. Et si la connerie était virale, contagieuse ? L’actualité semble l’affirmer. Et trop souvent les réseaux sociaux l’affirment. Alors que leur première utilité, leur bienfondé (selon de théorème de Maënora) est de partager l’info’ musicale, voire rester connecté avec celles et ceux qui donnent extases à nos ouïes.
Retour sur ce Suffer Pain : Ici & là des partitions bien rock. Tout y est… la composition du groupe, les titres, le SON. Seule la pochette dénoterait un tantinet, elle pourrait tout aussi bien ouvrir sur un combo’ Jazz. Mais que nenni. Pire sur le clip... on navigue entre Hughes Hefner et Marc Dorcel dès les premières images. Mais que fi, pas un téton, un genou et une cuisse et... Oui quelques manches avec des cordes pour un total de 16... Pur hasard comme Kro ? Préparer la planche et les obus de 75 cl !
Il est l’heure de saucissonner.Ø Suffer Pain – Intro par les futs et premiers riffs, le ton est donné. Ça pulse, avec un découpage des cordes hachées, il règne ici façon Glam, une once de QUIREBOYS et perso’ j’adhère. Très vite Kro vient embarquer le groupe. Un soli pour imposer une patte, un beau chorus ! La Miss quant à elle s’impose dans un registre hurleuse et la mesure est juste. Quand le bistouri devient indolore, quand la douleur devient plaisir. Vite ma cagoule à boule et mes chaines..Ø Indelible Mark – La voilà ma référence des Young, on écoute et on tape la mesure. Une garantie d’efficacité et hymnique. J’en redemande. Des solos qu’on aimerait emmener en longueur. Voilà le type même de groupe dont j’attends en Live une autre prestation que la simple copie de l’Ep..Ø The Butcher – J’aime quand la musique est grasse, lourde. Quand elle délivre puissance et hypnotisme nous collant la bave et la face aux portées en sorties d’enceintes : imposant de rester jusqu’à la fin. Humide comme un bœuf sous viagra regardant Karine L. dans son émission fétiche, ce avant le passage obligatoire par la guillotine à bouboules. Tellement embarqué qu’on en oublierait presque le duo basse-batterie, tant il joue à la perfection du titre. Un squelette, une ossature rigide compacte en pleine harmonie.Une parfaite bande son pour un nouveau jeu télévisé, avec nos célibataires agricoles… ça se passerait dans une grosse barrique avec la mère Vinasse et ses questions à la con et on appellerait ça Tord Boyau. Ø Kings’ sword – On monte un poil dans les tours, on sort de l’univers Power. En distillant plus un Classic Rock... et c’est là que j’entends les réminiscences des comparses hexagonaux d’ELECTRIC DUCKS. Belle, bonne surprise. Ø One More Drink – Yes, enfin le métronome s’affole de nouveau, on reprend du rythme, la cadence du bœuf sur le grillage électrique. N’oublions pas que l’Ep est relativement court en temps et en titre. Il faut que ça pulse ! Ici beaucoup plus de présence pour Redge et sa boite à futs. Comme j’aimerais quelques ponts, des duels et plus de place au fun ; à la folie pure. Une autre fois ? Ou en Live ? Très beau solo sur ce titre et la voix un brin rauque de Kro donne une belle singularité à Ayers..
Bon, je dois vous laisser c’est l’heure de remettre du foin dans l’étable et expliquer à ce con de bœuf que s’il penche sa tête il verra les verts pâturages bien avant ses kiwis.Et petit conseil ;-) il vaut bien mieux alimenter la platine que d’allumer la télé.Ce auquel je vous invite aussi. Ça… & aller voir Ayers si l’herbe est plus verte.
Afin de constater sur place dans les salles obscures de concerts ce qu’est la scène hexagonale. Un univers qui ne souffre que d’une seule TARE… NON ! Pas de manque de professionnalisme ; que nenni. Seulement de public ! P.S. Un petit coucou et merci aux chroniqueuses et chroniqueurs qui font le job ici quand la bonne grosse feignasse de Maënora profite de sa belle. Biz à vous.
Cependant ne nous voilons pas la face, même la culture agricole a besoin de son purin ! Même si j’ai l’impression, en ce qui me concerne, que le simple fait de me retrouver dans la file d’attente, au milieu de ces comparses devrait avoir raison de moi. Et si la connerie était virale, contagieuse ? L’actualité semble l’affirmer. Et trop souvent les réseaux sociaux l’affirment. Alors que leur première utilité, leur bienfondé (selon de théorème de Maënora) est de partager l’info’ musicale, voire rester connecté avec celles et ceux qui donnent extases à nos ouïes.
Retour sur ce Suffer Pain : Ici & là des partitions bien rock. Tout y est… la composition du groupe, les titres, le SON. Seule la pochette dénoterait un tantinet, elle pourrait tout aussi bien ouvrir sur un combo’ Jazz. Mais que nenni. Pire sur le clip... on navigue entre Hughes Hefner et Marc Dorcel dès les premières images. Mais que fi, pas un téton, un genou et une cuisse et... Oui quelques manches avec des cordes pour un total de 16... Pur hasard comme Kro ? Préparer la planche et les obus de 75 cl !
Il est l’heure de saucissonner.Ø Suffer Pain – Intro par les futs et premiers riffs, le ton est donné. Ça pulse, avec un découpage des cordes hachées, il règne ici façon Glam, une once de QUIREBOYS et perso’ j’adhère. Très vite Kro vient embarquer le groupe. Un soli pour imposer une patte, un beau chorus ! La Miss quant à elle s’impose dans un registre hurleuse et la mesure est juste. Quand le bistouri devient indolore, quand la douleur devient plaisir. Vite ma cagoule à boule et mes chaines..Ø Indelible Mark – La voilà ma référence des Young, on écoute et on tape la mesure. Une garantie d’efficacité et hymnique. J’en redemande. Des solos qu’on aimerait emmener en longueur. Voilà le type même de groupe dont j’attends en Live une autre prestation que la simple copie de l’Ep..Ø The Butcher – J’aime quand la musique est grasse, lourde. Quand elle délivre puissance et hypnotisme nous collant la bave et la face aux portées en sorties d’enceintes : imposant de rester jusqu’à la fin. Humide comme un bœuf sous viagra regardant Karine L. dans son émission fétiche, ce avant le passage obligatoire par la guillotine à bouboules. Tellement embarqué qu’on en oublierait presque le duo basse-batterie, tant il joue à la perfection du titre. Un squelette, une ossature rigide compacte en pleine harmonie.Une parfaite bande son pour un nouveau jeu télévisé, avec nos célibataires agricoles… ça se passerait dans une grosse barrique avec la mère Vinasse et ses questions à la con et on appellerait ça Tord Boyau. Ø Kings’ sword – On monte un poil dans les tours, on sort de l’univers Power. En distillant plus un Classic Rock... et c’est là que j’entends les réminiscences des comparses hexagonaux d’ELECTRIC DUCKS. Belle, bonne surprise. Ø One More Drink – Yes, enfin le métronome s’affole de nouveau, on reprend du rythme, la cadence du bœuf sur le grillage électrique. N’oublions pas que l’Ep est relativement court en temps et en titre. Il faut que ça pulse ! Ici beaucoup plus de présence pour Redge et sa boite à futs. Comme j’aimerais quelques ponts, des duels et plus de place au fun ; à la folie pure. Une autre fois ? Ou en Live ? Très beau solo sur ce titre et la voix un brin rauque de Kro donne une belle singularité à Ayers..
Bon, je dois vous laisser c’est l’heure de remettre du foin dans l’étable et expliquer à ce con de bœuf que s’il penche sa tête il verra les verts pâturages bien avant ses kiwis.Et petit conseil ;-) il vaut bien mieux alimenter la platine que d’allumer la télé.Ce auquel je vous invite aussi. Ça… & aller voir Ayers si l’herbe est plus verte.
Afin de constater sur place dans les salles obscures de concerts ce qu’est la scène hexagonale. Un univers qui ne souffre que d’une seule TARE… NON ! Pas de manque de professionnalisme ; que nenni. Seulement de public ! P.S. Un petit coucou et merci aux chroniqueuses et chroniqueurs qui font le job ici quand la bonne grosse feignasse de Maënora profite de sa belle. Biz à vous.
Enregistré et mixé par : LE BATISKAF & Lionel RIGAUDI Masterisé : Jef ERRAND au WOODBOX STUDIO & Pasteurisé par … | |
Sortie : | 2016 |
Production : | CRITERION GUILD & AYERS |
Discographie : |
Way Of Life (2012) |
Liens multimédia - videos | SITE OFFICIEL |
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