Brandon Flowers est le leader, chanteur du groupe de pop rock US, The Killers.
En plus de ses activités au sein de cet excellent combo, il se réserve de temps en temps une plage musicale en solo comme il l’a déjà fait en 2010 avec Flamingo. Ce premier essai était plutôt réussi déjà pour ma part et allait bien en complément de la discographie des Killers.
The Desired Effect arrive cette année précédé de très bonnes critiques et semblant prendre une direction musicale bien spécifique. Flowers est américain mais franchement on ne dirait pas à l’écoute de cette galette !! Tout sonne British et plus particulièrement le British des années 80, j’ai parlé du mouvement New Wave. Le garçon puise totalement ses influences dans cette période qui voyait des combos comme Tears For Fears, Duran Duran, Pet Shop Boys ou Human League truster les charts de Grande Bretagne et du monde entier.
Franchement, j’ai adoré cet album qui me rend un brin nostalgique et qui me replonge dans ma prime jeunesse sans faire vieux combattant. En plus, Flowers est né en 1981 et on ne peut pas dire qu’il fasse « vieille baderne ». Il a convié du monde sur cet album comme Bruce Hornsby, Tony Levin, Kenny Aronoff ou bien le leader des Pet shop Boys Neil Tennant. Il a aussi fait dans le recyclage en reprenant un air du méga hit de Bronski Beat, Smalltown Boy sur le très bon I Can Change. Tout est assumé avec ce superbe vocaliste qui est vraiment un des plus doué dans la pop actuelle. Les hits vintage s’enchainent avec les remuants Dreams Come True ou bien Lonely Town qui sonne très Human League. Mais que dire du premier single excellentissime, Can’t Deny My Love et son clip pour le moins zarbi. Flowers peut même se permette un truc un brin déjanté avec Diggin Up The Heart, mais là aussi ça marche. Les mélodies sont partout, les synthés vintage aussi, les arrangements sont époustouflants.
The Desired Effect arrive cette année précédé de très bonnes critiques et semblant prendre une direction musicale bien spécifique. Flowers est américain mais franchement on ne dirait pas à l’écoute de cette galette !! Tout sonne British et plus particulièrement le British des années 80, j’ai parlé du mouvement New Wave. Le garçon puise totalement ses influences dans cette période qui voyait des combos comme Tears For Fears, Duran Duran, Pet Shop Boys ou Human League truster les charts de Grande Bretagne et du monde entier.
Franchement, j’ai adoré cet album qui me rend un brin nostalgique et qui me replonge dans ma prime jeunesse sans faire vieux combattant. En plus, Flowers est né en 1981 et on ne peut pas dire qu’il fasse « vieille baderne ». Il a convié du monde sur cet album comme Bruce Hornsby, Tony Levin, Kenny Aronoff ou bien le leader des Pet shop Boys Neil Tennant. Il a aussi fait dans le recyclage en reprenant un air du méga hit de Bronski Beat, Smalltown Boy sur le très bon I Can Change. Tout est assumé avec ce superbe vocaliste qui est vraiment un des plus doué dans la pop actuelle. Les hits vintage s’enchainent avec les remuants Dreams Come True ou bien Lonely Town qui sonne très Human League. Mais que dire du premier single excellentissime, Can’t Deny My Love et son clip pour le moins zarbi. Flowers peut même se permette un truc un brin déjanté avec Diggin Up The Heart, mais là aussi ça marche. Les mélodies sont partout, les synthés vintage aussi, les arrangements sont époustouflants.
Franchement, j’avais déjà beaucoup aimé le dernier Killers et ce The Desired Effect vient juste conforter ce que je pensais déjà de ce type, c’est un cador dans le genre et j’adore vraiment son travail bourré de références mais ciselé à merveille et qui fait mouche à chaque fois. Un très, très, très bon album…
Année:2015
Label:Island
Production:Ariel Rechtshaid
Discographie : |
Flamingo (2010) |
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