En parallèle de la sortie de son nouvel opus avec Mr Big, Paul Gilbert; nous présente son treizième album solo.
Le virtuose de la guitare, basé à Los Angeles nous propose 11 titres qui sont des adaptations instrumentales de huit célèbres classiques, et trois chansons originales.. Avec comme ciment commun la haute qualité du jeu et de la production. Le mixage de Jay Ruston offre de l'espace à tous les instruments, à part égale. Paul a travaillé avec le co-producteur Philip Naslund et les batteurs Kenny Aronoff et Mike Portnoy. Le voyage s’annonce très hétéroclite , après une belle version de Working for the Weekend des Loverboy, on passe du hard rock d’Aerosmith avec une seduisante version de Back In The Saddle au funky I Got The Feelin de James Brown, que j’aime beaucoup moins, mais uniquement parce que le funk n’est pas ma tasse de thé ! Le rayon pop est bien traité avec coup sur coup les rafraichissants Goodbye Yellow Brick Road d’Elton John et Why Can't We Do It The Road des indéboulonnables Beatles. Les deux nouveaux titres Shock Absorber et Purple Without All The Red sont plutôt inspirés, l’un dans un tempo soutenu, l’autre au rythme d’une ballade douce et légère. Je retiens aussi Stone Pushing Uphill Man, morceau original lui aussi et chanté qui clôt en beauté l’album.
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Un autre très bon moment que cet album dédié avant tout aux mélodies et sans démonstration inutile, un vrai savoir faire chez Paul Gilbert !
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Un autre très bon moment que cet album dédié avant tout aux mélodies et sans démonstration inutile, un vrai savoir faire chez Paul Gilbert !
Label : | Mascot Records |
Sortie : | 2012 |
Production : | Paul Gilbert |
Discographie : |
King of Clubs (1998) |
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