L’angoisse de la page blanche !!!
En effet quand on est chroniqueur on se sent obligé de faire des textes d’une certaine longueur. Pourtant tout n’est pas si facile. De temps en temps on se veut dithyrambique sur des albums qu’on a adoré ou bien sur des albums qu’on a détesté. En effet dans les deux cas de figure on se doit de développer et on y trouve un plaisir certain facilité par le bonheur ou bien la haine qu’on a pu ressentir à l’écoute de certains titres. On peut aussi faire des chroniques longues quand on reprend la story d’un groupe ou d’un artiste de façon exhaustive. Mais la plupart du temps on parle d’album qu’on a trouvé bon mais sans plus et là c’est la panne ou presque. Il est délicat de parler de certains opus là où il n’y a pas grand-chose à dire. L’artiste ou le groupe n’a pas un gros vécu, c’est souvent le premier album et en plus on a bien aimé mais pas plus. On a du mal à détacher un titre des autres, à trouver un style personnel, bref on écoute ca sans déplaisir mais d’une oreille qui n’arrive pas à intégrer de façon définitive les compos. C’est un peu ce qui s’est passé pour moi avec ce Keaton Simons et ce Beautiful Pain. Ce jeune artiste Américain livre ici un premier album plutôt bon mais sans aucune originalité. Il a travaillé dessus avec Jason Mraz et Jason Reeves et cela s’entend. On retrouve le même genre de compos, le même type de voix qu’avec les artistes précédemment cités. Pourtant j’aurais aimé que tout cet essai soit du même niveau de Thrill Of It All très rock FM voir même The Medecine qui se rapproche plus de Lenny Kravitz. Mais le reste coule tranquillement sans transcender les foules.
Sympathique sans plus mais avec mon intro du début, j’ai pu quand même arriver à une chronique d’une longueur acceptable.
Label:Best Revenge
Production:Mikal Blue/Keaton Simons
Discographie : |
Beautiful Pain (2013) |
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