Il y a deux façons d’appréhender le dernier Chris Tomlin, Burning Lights.
Soit on est dans le positif à fond et toute la première partie de l’album jusqu’au titre 7 c’est :
ébouriffant
ésotérique
étonnant
beau
cabalistique
captivant
enchanté
enchanteur
enivrant
envoûtant
extraordinaire
fabuleux
féerique
fantasmagorique
fantastique
fascinant
fascinateur
formidable
incroyable
magnétique
merveilleuse
merveilleux
miraculeux
mystérieux
occulte
prestigieux
prodigieux
sensationnel
subjuguant
sublime
surnaturel
surprenant
Ou alors à partir du titre 7 on trouve cela :
acceptable
admissible
appréciable
approuvable
assez bien
bon
buvable
consommable
convenable
correct
honnête
médiocre
mangeable
marqué
mettable
potable
raisonnable
satisfaisant
suffisant
supportable
tolérable
De fait, pour résumer, c’est la première fois qu’un album de Tomlin ne me convainc pas jusqu’au bout. Les deux précédents étaient parfaits et j’avais mis 5 étoiles. Ici c’est loin d’être le cas sur la longueur. Tomlin se déchire sur le début du cd en proposant ce qu’il sait faire de mieux. Il reprend d’ailleurs pas mal de titre du projet Passion, White Flag sorti en 2012. Sur la seconde partie de ce Burning, il se perd en titres gnan gnan qui franchement m’ont gonflé. Ce n’est pas digne de lui mais d’un artiste lambda qui fait dans la pop chrétienne de supermarché. On attendra le prochain pour s’emballer totalement sur toute la longueur. Ici un EP aurait suffit !!!!
Année:2013
Label:Sixstepsrecords
Production:Jason Ingram/Ed Cash/Dan Muckala
Genre:Pop Chretienne
Discographie : |
The Noise We Make (2001) |
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