Ils ont sorti leur première démo sous le nom de Last Vegas, mais avant de commencer l'enregistrement de leur premier album, en raison de certains changements line-up , en l’occurrence deux nouveaux guitaristes, ils ont rebaptisé le groupe en Violet Gibson. Pour la petite histoire, Violet Gibson attenta le 7 avril 1926 à la vie de Benito Mussolini à Rome alors qu'il parlait au Capitole. Mussolini fut effleuré par le coup de pistolet, qui l'égratigna au nez, et il fut rapidement soigné. Violet Gibson, soustraite avec peine au lynchage, fut conduite au commissariat; interrogée, elle ne révéla pas les raisons de l'attentat. On a parfois supposé que la femme auteur de l'attentat, alors âgée de cinquante ans, n'était pas en possession de ses moyens au moment des faits et aussi qu'elle avait pu être incitée au passage à l'acte par un tiers non identifié. Quoi qu'il en soit, Gibson fut expulsée d'Italie et envoyée en Angleterre, et resta pendant trente ans dans un asile psychiatrique, où elle mourut.
Mais revenons au groupe et ce premier album qui démarre avec un Go Ahead explosif, le son est moderne avec une production excellente. Le chant de Matthew Brodtsy s’inscrit dans la mouvance modern hard rock, les riffs sont efficaces, le refrain accrocheur, beau début. American Circus enchaine, après une petite intro acoustique, avec de nouveaux gros riffs, les deux guitaristes Gabriele « El Taso « Tassara et Giovanni « Joe « Marchi font mouche sur des mélodies hypnotiques qui s’insinuent assez vite dans votre subconscient ! Original Sinner en rajoute une couche avec un refrain rageur et une couleur beaucoup plus metal, presque heavy. La suite est assez équilibrée, avec deux ballades de bonne facture, She Feels Alive et From The Moon To, une belle reprise de Superstition de Stevie Wonder, le festif Game Of Sorrow ou encore le mordant I Wish I Could.
Ce cirque américain mixant modernité et heavy plus classique est finalement plutôt séduisant et comporte quelques vraies pépites. Un groupe à suivre.
Mais revenons au groupe et ce premier album qui démarre avec un Go Ahead explosif, le son est moderne avec une production excellente. Le chant de Matthew Brodtsy s’inscrit dans la mouvance modern hard rock, les riffs sont efficaces, le refrain accrocheur, beau début. American Circus enchaine, après une petite intro acoustique, avec de nouveaux gros riffs, les deux guitaristes Gabriele « El Taso « Tassara et Giovanni « Joe « Marchi font mouche sur des mélodies hypnotiques qui s’insinuent assez vite dans votre subconscient ! Original Sinner en rajoute une couche avec un refrain rageur et une couleur beaucoup plus metal, presque heavy. La suite est assez équilibrée, avec deux ballades de bonne facture, She Feels Alive et From The Moon To, une belle reprise de Superstition de Stevie Wonder, le festif Game Of Sorrow ou encore le mordant I Wish I Could.
Ce cirque américain mixant modernité et heavy plus classique est finalement plutôt séduisant et comporte quelques vraies pépites. Un groupe à suivre.
Label : | Atomic Stuff Mogic (il) Logic Records / Andromeda Dischi |
Sortie : | 2012 |
Production : | n/a |
Discographie : |
American Circus (2012) |
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