Trois petites chroniques vite fait pour épurer un peu mon stock qui commence à être conséquent. La troisième partie de cette chronique met en valeur un artiste que j’ai découvert il y a peu et qui m’a emballé.
Cory Wong est un guitariste Américain qui commence à avoir une carrière solo d’importance. Je l’ai découvert grâce à sa participation avec Dave Koz sur un opus The Golden Hour de 2021 ou bien avec Dirty Loops sur l’EP Turbo. Même les instrumentaux du garçon me plaisent et pourtant dieu sait que j’ai du mal avec ce genre de style musical. Le garçon est très prolifique et sort cette année deux essais.
D’un cote l'instrumental Wong’s Café qui nous fait voyager dans les années 80 et qui par moment peut nous rappeler des génériques des séries TV de ces années-là. Tous les morceaux proposent des ambiances diverses entre pop, funk, jazz ou soul. Une sorte de concept album qui nous propose un univers dans lequel il est très facile de rentrer.
La seconde galette proposée par Wong se nomme Power Station et elle elle est mixte entre titres musicaux et titres chantés. La aussi j’aime beaucoup le groove des morceaux ou il y a un vocaliste, comme Power Station ou First Avenue. C’est funk ça rappelle parfois Earth Wind and Fire ou Jackson. Des cuivres, du groove a tous les étages pour un opus bien percutant qui faiblit hélas sur la fin.
Si vous voulez découvrir Cory Wong, je vous conseille d’aller piocher dans ses différents essais. Tout n’est pas parfait mais franchement il y a de quoi faire une bonne petite compil.
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