Trois albums en trois ans, voila un super groupe … super productif !
Ceci dit le guitariste Roland Grapow et le batteur Thomen Stauchr ont depuis les débuts quitté le navire, remplacés depuis par Bob Katsionis aux guitares et Alex Holzwarth à la batterie. Après Mirrorworld en 2016, voici donc Magic, qui comprend 14 titres et une heure de musique avec un concept. Celui-ci est basé sur l'histoire de M. Nightmist, racontée dans plusieurs chapitres, après une courte introduction dans With a Tip of the Hat. Autant signaler de suite que contrairement à certains albums conceptuels, il n’y a pas de bla bla, remplissage entre les les morceaux, qui s’enchaînent donc avec un bon rythme.. Le concept se construit autour de M. Nightmist, et ses relations avec Caldwell Town; sa ville natale, avec au menu des histoires de sorcière, malédiction, amour et désespoir…
Musicalement, le groupe reste dans un power metal avec des tendances progressives, sans excès de technique La performance d’Urban Breed au chant est très carrée, il porte les textes avec conviction, le duo des guitaristes, Sebastian et Katsionis, fonctionne à plein, et l’autre duo à la rythmique Holzwarth à la batterie, et Lochert la basse n’est pas en reste, voir With a Tip of the Hat et Binary Magic pour s’en convaincre avec des riffs énergiques ! Le groupe lorgne presque vers la pop avec un Now You’ll Never Know très accrocheur. Après une série de morceaux tout aussi « catchy » les uns que les autres, le combo termine sur One Final Song, qui porte bien son nom, bel exercice épique de 8mn pour achever la story de M. Nightmist .
Et en tout cas ce troisième essai est réussi, la cadence ne s’est pas faite au détriment de la qualité ! Prochain challenge, le quatrième en 2018 ?
Label : | AFM Records |
Sortie : | 25/08/2017 |
Production : | n/a |
Discographie : |
2015 As Daylight Breaks |
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