Composé de Thomas Ramette à la batterie, Raphael Porcherot à la basse, Edouard Verneret aux claviers, Arthur Gachon à la guitare, et, de Matthieu Asselberghs au chant, le groupe se nomme, dans un premier temps, Fire Wizzard, et, sort un EP, au style Heavy Metal, intitulé North Wind Tales. Puis, le groupe prend la décision de délaisser le Heavy Metal pour évoluer vers un style musical plus progressif, voire symphonique, et, décide de s'appeler Architekt. C'est dans cette optique que se conçoit cet album autoproduit, ayant pour thème l'homme, sa condition, et, son rapport avec la nature, dans lequel chacun cherche à dominer l'autre.
D'où le titre d'Eons Of Domination, autoproduit par le groupe, et, qui sort en Septembre 2014.
Dès l'entame, on a droit à une intro instrumentale très suggestive, intitulée Opening, élaborée comme une musique de film, et, qui permet de se mettre en appétit avant d'entrer dans le vif du sujet avec le mythologique Océan Storm. Un riff ravageur entrainant une tempete de double grosse caisse qui balaye tout sur son passage, permettant à Matthieu Asselberghs, et, à Paul Eyssette (Heavylotion), venu en guest, de greffer, à tour de role, leurs voix puissantes sur cette solide assise rythmique, suivie d'un bon refrain mélodique, scandé par la voix growl de Vincent Urbain ( Sangdragon), autre invité du quintet. Même approche sur Rise, inspiré de l'univers de Lovecraft, avec ses chœurs scandés, son riff bien tranchant, et, son tempo galopant. Un autre instrumental, très mélodique, intitulé Winter, ponctue cette première partie d'album, avant de laisser place à une saga constituée d'un ensemble de quatre pièces progressives, ayant pour thème le rapport de force entre l'homme, et, le cosmos.
La première s'intitule Dawn Of Time, et, alterne, avec beaucoup d'efficacité, les divers changements de rythmes et de climats, échafaudés de façon abyssale. Meme approche avec la suivante qui a pour nom Ages, doté d'un bon riff style Black Sabs, avec chœurs virils, et, ambiance solennelle. Puis, arrive Last Of His Kin, avec son gimmick à deux guitares, façon Wishbone Ash, et, son excellent chorus en wah-wah aérienne. Enfin, le quintet nous gratifie d'une belle pièce maitresse atmosphérique, intitulée The Fall Of Ice, véritable épopée lyrique, à la fougue épique qui conclue, à merveille, cette partie concept de la deuxième partie du disque.
Bref, vous l'aurez compris, voilà un bon album de Métal Progressif, avec des compositions intelligentes, de belle architecture, contenant tous les ingrédients essentiels, et mélodiques, distillés, avec talent, par cet excellent quintet qu'il sera, véritablement, intéressant de découvrir sur scène, s'ils passent près de chez vous.
D'où le titre d'Eons Of Domination, autoproduit par le groupe, et, qui sort en Septembre 2014.
Dès l'entame, on a droit à une intro instrumentale très suggestive, intitulée Opening, élaborée comme une musique de film, et, qui permet de se mettre en appétit avant d'entrer dans le vif du sujet avec le mythologique Océan Storm. Un riff ravageur entrainant une tempete de double grosse caisse qui balaye tout sur son passage, permettant à Matthieu Asselberghs, et, à Paul Eyssette (Heavylotion), venu en guest, de greffer, à tour de role, leurs voix puissantes sur cette solide assise rythmique, suivie d'un bon refrain mélodique, scandé par la voix growl de Vincent Urbain ( Sangdragon), autre invité du quintet. Même approche sur Rise, inspiré de l'univers de Lovecraft, avec ses chœurs scandés, son riff bien tranchant, et, son tempo galopant. Un autre instrumental, très mélodique, intitulé Winter, ponctue cette première partie d'album, avant de laisser place à une saga constituée d'un ensemble de quatre pièces progressives, ayant pour thème le rapport de force entre l'homme, et, le cosmos.
La première s'intitule Dawn Of Time, et, alterne, avec beaucoup d'efficacité, les divers changements de rythmes et de climats, échafaudés de façon abyssale. Meme approche avec la suivante qui a pour nom Ages, doté d'un bon riff style Black Sabs, avec chœurs virils, et, ambiance solennelle. Puis, arrive Last Of His Kin, avec son gimmick à deux guitares, façon Wishbone Ash, et, son excellent chorus en wah-wah aérienne. Enfin, le quintet nous gratifie d'une belle pièce maitresse atmosphérique, intitulée The Fall Of Ice, véritable épopée lyrique, à la fougue épique qui conclue, à merveille, cette partie concept de la deuxième partie du disque.
Bref, vous l'aurez compris, voilà un bon album de Métal Progressif, avec des compositions intelligentes, de belle architecture, contenant tous les ingrédients essentiels, et mélodiques, distillés, avec talent, par cet excellent quintet qu'il sera, véritablement, intéressant de découvrir sur scène, s'ils passent près de chez vous.
Discographie : |
Eons Of Domination (2015) |
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