En effet, après avoir lu des chroniques mi-figue mi-raisin sur le dernier Poodles, Devil In The Details, je décidais de rejeter une oreille sur ce groupe Scandinave que j’avais laissé tomber après les 3 premiers albums. Je trouvais que le groupe s’était « Hardisé » et ne proposait plus justement ce que j’aimais sur les premiers : ce mix entre hard et pop.
Justement, beaucoup de chroniques pointaient l’éclectisme de ce nouvel essai disant parfois qu’il lorgnait du côté de la pop voire même de la varietoche, Britney Spears étant citée souvent !!! Là, ça m’intéresse !!!
C’est parti pour un voyage qui devrait m’entrainer sur des contrées que j’affectionne particulièrement. Before I Die débute, et là je me dis que c’est du Poodles pur jus, bien hard mais assez mélodique qui rentre bien dans le genre qu’ils ont remis au gout du jour avec Wig Wam. Par contre, j’ai dû me tromper de cd en écoutant House Of Cards qui propose une sorte de hard bluesy qui ne me touche que très peu. Alors, c’est vrai que le troisième titre et premier single est une vraie réussite pop FM de très haute tenue. Le morceau s’appelle The Greatest et fait office de premier single et on se doute pourquoi. Mais attention, si vous êtes comme moi et attendez d’autres morceaux dans le genre, vous allez être déçu. D’aussi pop FM, il n’y a rien d’autres. D’ailleurs c’est le seul titre ou n’apparaissent pas des membres du groupe sur son écriture. Le problème c’est que pour moi il y a tromperie sur la marchandise !!! En effet, on ne peut pas dire que Crack In The Wall balaye du côté de la pop avec son gimmick très hard et sombre. Alors bon, si il faut ressortir d’autres titres on peut citer le Baby qui sur son rythme peut rappeler Britney Spears mais en en étant loin quand même vu que l’Américaine utilisait beaucoup de boites à rythmes ce qui n’est pas le cas ici. Dans le même genre on a Stop mais bon ce n’est pas ce qu’ils ont fait de mieux. Je pense qu’il faut rester sur les basiques et Poodles y arrive avec des titres comme Everything ou Life Without You. Un petit plagiat de Led Zepp sur l’intro de Need To Believe juste en passant. Au final, ce 6ème opus du groupe ne m’aura que partiellement réconcilié avec nos amis Scandinaves. J’ai quand même beaucoup de mal sur les parties trop hard pour moi qui sont encore nombreuses. La moitié du cd me suffirait amplement.
Par contre, je ne comprends pas les critiques mitigées si ce n’est si les références sont basées sur les derniers albums. En effet, le groupe a toujours su intégrer des instants pop surtout sur les refrains dès les premiers essais. C’était même leur marque de fabrique. Ils s’étaient un peu trop durcis sur les 2 précédents et c’est peut-être pour ça que certains sont restés sur cet état de fait. Personnellement, j’écouterais le prochain mais en faire la chronique c’est une autre histoire !!!
Justement, beaucoup de chroniques pointaient l’éclectisme de ce nouvel essai disant parfois qu’il lorgnait du côté de la pop voire même de la varietoche, Britney Spears étant citée souvent !!! Là, ça m’intéresse !!!
C’est parti pour un voyage qui devrait m’entrainer sur des contrées que j’affectionne particulièrement. Before I Die débute, et là je me dis que c’est du Poodles pur jus, bien hard mais assez mélodique qui rentre bien dans le genre qu’ils ont remis au gout du jour avec Wig Wam. Par contre, j’ai dû me tromper de cd en écoutant House Of Cards qui propose une sorte de hard bluesy qui ne me touche que très peu. Alors, c’est vrai que le troisième titre et premier single est une vraie réussite pop FM de très haute tenue. Le morceau s’appelle The Greatest et fait office de premier single et on se doute pourquoi. Mais attention, si vous êtes comme moi et attendez d’autres morceaux dans le genre, vous allez être déçu. D’aussi pop FM, il n’y a rien d’autres. D’ailleurs c’est le seul titre ou n’apparaissent pas des membres du groupe sur son écriture. Le problème c’est que pour moi il y a tromperie sur la marchandise !!! En effet, on ne peut pas dire que Crack In The Wall balaye du côté de la pop avec son gimmick très hard et sombre. Alors bon, si il faut ressortir d’autres titres on peut citer le Baby qui sur son rythme peut rappeler Britney Spears mais en en étant loin quand même vu que l’Américaine utilisait beaucoup de boites à rythmes ce qui n’est pas le cas ici. Dans le même genre on a Stop mais bon ce n’est pas ce qu’ils ont fait de mieux. Je pense qu’il faut rester sur les basiques et Poodles y arrive avec des titres comme Everything ou Life Without You. Un petit plagiat de Led Zepp sur l’intro de Need To Believe juste en passant. Au final, ce 6ème opus du groupe ne m’aura que partiellement réconcilié avec nos amis Scandinaves. J’ai quand même beaucoup de mal sur les parties trop hard pour moi qui sont encore nombreuses. La moitié du cd me suffirait amplement.
Par contre, je ne comprends pas les critiques mitigées si ce n’est si les références sont basées sur les derniers albums. En effet, le groupe a toujours su intégrer des instants pop surtout sur les refrains dès les premiers essais. C’était même leur marque de fabrique. Ils s’étaient un peu trop durcis sur les 2 précédents et c’est peut-être pour ça que certains sont restés sur cet état de fait. Personnellement, j’écouterais le prochain mais en faire la chronique c’est une autre histoire !!!
Label : | Frontiers Records |
Sortie : | 2015 |
Production : | Mats Valentin. |
Discographie : |
Metal Will Stand Tall (2007)
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L’album en écoute ici et une video ICI.
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