Fondé par Julius ( basse et chant) et Judy ( claviers), le duo est complété par Léo à la batterie, Pix et Arthur aux guitares. Julius possède des compositions qu'il soumet tout de suite au reste du groupe pour réaliser un EP cinq titres, intitulé The Key To Change The World qui sort la même année. 2010, le quintet tourne sur Bordeaux, réalise, en 2011, un autre EP 5 titres , intitulé The End Is Nigh, qui sortira en Octobre 2012. D'autres concerts suivent, mais, en Avril 2013, Judy quitte le groupe, et, se fait remplacer, aux claviers, par Vhaal qui, techniquement, apporte une ouverture musicale plus large. Juin 2013, retour au Studio de Pessac, pour confectionner ce premier album.
Dès l'entame, avec On The Road, ça démarre avec un tempo plombé du type John Bonham de Led Zep. Puis, ça s'accélère avec un riff rapeux et tranchant, déclenché, en rafale, par la guitare de Pix. Break de Léo qui met le turbo. Le clavier Purpelien de Vhaal en arrière fond, et, la voix rauque et puissante de Julius vient survoler le tout. Enfin, chorus de guitare chaud et mélodique distillé par Arthur avec beaucoup de virtuosité. Même approche sur Braves Never Rest, avec son refrain fédérateur, et, le bon chorus mélodique de Pix. En plus saccadé et enlevé, on trouve Trust Me, avec un bon chorus clavier, couleur pourpre, de Vhaal , avec un feeling à la Jon Lord. Il y a, aussi, Rocket Roll, avec la basse clinquante de Julius, et, le même Julius qui offre, encore, un refrain bien efficace. En plus progressif, on a droit à trois pièces maitresses parfaitement charpentées, avec changements de rythmes et de climats. D'abord, I Am A Dead Man avec son riff bien aiguisé, son bon refrain, et le chorus chaud bouillant d'Arthur. Ensuite, on a Zombie Or Not To Be, avec son riff genre Rat Salad de Black Sabs, et, son coté baroque façon Dream Theater. Enfin, l'énorme The Sunstone, proche d'Iron Maiden. Une épopée lyrique à la fougue épique, avec un riff qui bourdonne comme un vol de frelons Asiatiques, et, une bonne alternance d'ambiances très suggestives. En plus Heavy, on a We Were Soldiers qui démarre comme une ballade sur laquelle Julius apporte des nuances plus harmonieuses à sa voix, pour terminer, au final, sur des notes qui s'envolent dans les hautes sphères. Enfin, on a droit à Go To The West, chanté en chœur, quasiment a cappella, à la manière d'émigrants Irlandais partant conquérir l'Amérique. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album bien équilibré, avec des compositions bien maitrisées, sachant allier, de manière subtile, métal et mélodies. Le groupe n'a pas encore trouvé de label pour distribuer ce CD, donc, pour se le procurer, il suffit d'écrire à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. .
Voilà, nos Girondins vont partir en tournée défendre cet album, et, s’attèleront, ensuite, à la préparation du deuxième opus. En attendant, si les Berserkers passent près de chez vous, ne les ratez surtout pas, car vous risqueriez de le regretter.
Dès l'entame, avec On The Road, ça démarre avec un tempo plombé du type John Bonham de Led Zep. Puis, ça s'accélère avec un riff rapeux et tranchant, déclenché, en rafale, par la guitare de Pix. Break de Léo qui met le turbo. Le clavier Purpelien de Vhaal en arrière fond, et, la voix rauque et puissante de Julius vient survoler le tout. Enfin, chorus de guitare chaud et mélodique distillé par Arthur avec beaucoup de virtuosité. Même approche sur Braves Never Rest, avec son refrain fédérateur, et, le bon chorus mélodique de Pix. En plus saccadé et enlevé, on trouve Trust Me, avec un bon chorus clavier, couleur pourpre, de Vhaal , avec un feeling à la Jon Lord. Il y a, aussi, Rocket Roll, avec la basse clinquante de Julius, et, le même Julius qui offre, encore, un refrain bien efficace. En plus progressif, on a droit à trois pièces maitresses parfaitement charpentées, avec changements de rythmes et de climats. D'abord, I Am A Dead Man avec son riff bien aiguisé, son bon refrain, et le chorus chaud bouillant d'Arthur. Ensuite, on a Zombie Or Not To Be, avec son riff genre Rat Salad de Black Sabs, et, son coté baroque façon Dream Theater. Enfin, l'énorme The Sunstone, proche d'Iron Maiden. Une épopée lyrique à la fougue épique, avec un riff qui bourdonne comme un vol de frelons Asiatiques, et, une bonne alternance d'ambiances très suggestives. En plus Heavy, on a We Were Soldiers qui démarre comme une ballade sur laquelle Julius apporte des nuances plus harmonieuses à sa voix, pour terminer, au final, sur des notes qui s'envolent dans les hautes sphères. Enfin, on a droit à Go To The West, chanté en chœur, quasiment a cappella, à la manière d'émigrants Irlandais partant conquérir l'Amérique. Bref, vous l'aurez compris, voilà un album bien équilibré, avec des compositions bien maitrisées, sachant allier, de manière subtile, métal et mélodies. Le groupe n'a pas encore trouvé de label pour distribuer ce CD, donc, pour se le procurer, il suffit d'écrire à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. .
Voilà, nos Girondins vont partir en tournée défendre cet album, et, s’attèleront, ensuite, à la préparation du deuxième opus. En attendant, si les Berserkers passent près de chez vous, ne les ratez surtout pas, car vous risqueriez de le regretter.
Discographie : |
Berserkers (2013) |
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