Né des cendres du groupe Last Ride, le combo constitué de Steven Brixx au chant, de Holly et Gabu aux guitares, recrutent Jeff Lee à la basse et Joe Wax à la batterie. Reste à trouver un nom pour cette nouvelle formation. Alors que Steven Brixx séjourne aux Etats Unis, il se rend en Californie pour assister à un Festival où se produit Motley Crue. Il réussi à approcher Nikki Sixx, le bassiste de Motley Crue, pour lui demander, non seulement, un autographe mais aussi, de lui suggérer un nom cool pour son futur groupe. Nikki Sixx lui répond: "Seventh Veil! " en souvenir d' un Club de Strip Tease, situé à Hollywood, dans lequel Motley Crue a tourné la vidéo du morceau: Girls, Girls, Girls.
Le groupe a trouvé son nom et commence à travailler sur leurs futures compositions. Au bout d'un mois, les avis divergent et Seventh Veil se sépare du guitariste Gabu, remplacé par Jack ( ex Hellstone et Easy Trigger). La formation semble tenir la route, signe chez Atomic Stuff, et, enregistre cet E.P. constitué d'à peine trois morceaux, début 2012. A la sortie du disque, en Mai 2012, le batteur Joe Waxx quittera le groupe pour laisser la place à Eric Roxx. Dès l'entame avec Nasty Skin, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Après un extrait radiophonique de 1947 qui semble venir des U.S, l'amorce d'un riff, bien aiguisé, se fait entendre et entraine avec lui, une rythmique au tempo AC/DC. Steven Brixx vient greffer sa voix éraillée et rauque sur un gimmick basse/batterie proche du C'Mon Everybody d'Eddy Cochran. Le refrain est bien enlevé et et le chorus aux accents Angus Young dans Highway To Hell est envoyé bien chaud. Meme combat avec Rock'n'Roll Veils dont l'intro rappelle un peu Antisocial, l'hymne emblématique de Trust composé par Nono. Les chorus sont tout aussi bien triturés et très mélodiques. Enfin, en tout aussi rapide, on trouve Jack'n'Roll avec une intro qui rappelle le Good Times Bad Times de Led Zep avec deux chorus flambés de type Chuck Berry et Van Halen, plus un superbe final.
Bref, voilà un mini E.P. simple, rapide et sans chichi où seule l'efficacité prime, même si la voix de Steven semble manquer de hauteur par moment. Devrait plaire aux fans de Rose Tatoo, Motorhead ou encore Airbourne et AC/DC.
Le groupe a trouvé son nom et commence à travailler sur leurs futures compositions. Au bout d'un mois, les avis divergent et Seventh Veil se sépare du guitariste Gabu, remplacé par Jack ( ex Hellstone et Easy Trigger). La formation semble tenir la route, signe chez Atomic Stuff, et, enregistre cet E.P. constitué d'à peine trois morceaux, début 2012. A la sortie du disque, en Mai 2012, le batteur Joe Waxx quittera le groupe pour laisser la place à Eric Roxx. Dès l'entame avec Nasty Skin, le titre éponyme de l'album, le ton est donné. Après un extrait radiophonique de 1947 qui semble venir des U.S, l'amorce d'un riff, bien aiguisé, se fait entendre et entraine avec lui, une rythmique au tempo AC/DC. Steven Brixx vient greffer sa voix éraillée et rauque sur un gimmick basse/batterie proche du C'Mon Everybody d'Eddy Cochran. Le refrain est bien enlevé et et le chorus aux accents Angus Young dans Highway To Hell est envoyé bien chaud. Meme combat avec Rock'n'Roll Veils dont l'intro rappelle un peu Antisocial, l'hymne emblématique de Trust composé par Nono. Les chorus sont tout aussi bien triturés et très mélodiques. Enfin, en tout aussi rapide, on trouve Jack'n'Roll avec une intro qui rappelle le Good Times Bad Times de Led Zep avec deux chorus flambés de type Chuck Berry et Van Halen, plus un superbe final.
Bref, voilà un mini E.P. simple, rapide et sans chichi où seule l'efficacité prime, même si la voix de Steven semble manquer de hauteur par moment. Devrait plaire aux fans de Rose Tatoo, Motorhead ou encore Airbourne et AC/DC.
Label : | Atomic Stuff |
Sortie : | 25/05/2012 |
Production : | SEVENTH VEIL |
Discographie : |
Nasty Skin (2012) |
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