MALEMORT – Château-Chimères - CHRONIQUE COURTE - Un essentiel de 2022 : il est excellent, achetez, écoutez et savourez ! Pourquoi ?
La valeur de la moutarde pour le prix « des sens ». Celle-ci je l’ai prise à la pompe.
Fin UNE.
CHRONIQUE MOYENNEMENT LONGUE (Allez-vous chercher une bière et faites tourner le vinyle).
Prologue.
Il est toutefois assez anecdotique de constater à une époque où certains écrivent avec les pieds… voire des moignons de pieds ?!? Que d’autres trempent leur plume dans l’encrier de leurs passions.
De fait, je me souviens encore de la dernière phrase de mon procto’ (oui, nous sommes très proches… voire intimes), juste avant que je plonge dans mon anesthésie, il me disait :
« Quand on veut changer les choses on les change de l’Intérieur ».
Je sais c’est profond… la pensée et mon moi intérieur, ou mon moi spirituel ? Histoire de caresser les tréfonds de mon âme avant de biiiiip… ouais désolé, anesthésie oblige, je me suis endormi.
Et si c’était la fin, le clap final, et que la grande faucheuse, elle-même, venait nous délivrer un dernier message ; alors il serait probablement de ce type : « Quand on veut changer les choses on les change de son vivant ! ». OuPas OuPas comme disait le Marsupilami.
Si on veut laisser une trace, il y a la méthode simpliste des nanards : un slip kangourou et une gastro, mais ça ne restera pas dans les anales (féminins (*)), ni dans les annales. Cependant aujourd’hui ça fait le buzz et alimente les réseaux sociaux et/ou TPMP par exemple. D’un seul coup le camion poubelle devient propre, sain et d’intérêt public.
(*) féminin car pour un homme on parle du saigneur des anaux (on oublie !).
Et la seconde méthode, moins simpliste, celle qui fait trace !
Aujourd’hui parlons du sillon, de la faille de Malemort dans l’univers de la musique, la bonne musique, pas la purge de syphons.
Un changement de concepts, une signature, une authenticité, l’oubli de la réplique, du trop entendu et ne pas répéter ce qui a été, ce qui est, mais créer ce qu’on est ! Une musique à soi, pour les autres.
Pari réussi, c’est ce que fait Malemort dans l’univers de la musique, ZE bonne musique ; j’entends déjà les haineux et les miséreux du bulbe dire : « oui, mais l’anglais c’est le chant du rock » ; vous remarquerez je n’ai mis aucune majuscule entre les guillemets, car le Rock s’exprime également (surtout ?) en français, je pourrais également citer Audiard : « un pigeon c’est plus con qu’un dauphin, d’accord… mais ça vole ».
Et qui serait dans le vrai ?
Les mangeurs de pudding et leur conduite à gauche, ou les fins d’esprits et le bon sens (dans sa globalité) ?
En plus c’est prouvé, on embrasse une grenouille, ça fait un prince (transgenre ?!?), on embrasse un pudding… on vomit ;
Une preuve, allez une seule, c’est cadeau : un stade d’athlétisme, un sport MONDIAL, on tourne dans le sens ANTI-HORAIRE !
Alors apprenez à prendre des ronds-points et savourez la langue de F. Dard, Molière, Hugo et Audiard ! Et pour la peine je vais vous spoiler, dans The Crown à la fin, la reine, elle meurt ! De plus mon pudding il est meilleur !
Je reviens…
Malemort, qu’est-ce donc ? Facile, un cocktail d’explosivité et d’efficacité. Une évolution au fil du temps et un label de qualité avéré. S’ils étaient dans le canapé, on pourrait affirmer autentica qualita, mais nous sommes plus dans une subtilité de barbouzes et de décibels. Entre l’élixir et la purge. La finesse et la brutalité à coups de Ploc-Ploc (mélodies de silencieux, pour taire les caves et les rouleurs à gauche !), de Fuzz et de Larsen, un univers de blanches et noires, de portées et de portée de mots.
Si j’en doutais, Quelle Sorte d’Homme… serais-je ? Un titre hymnique, les tronçonneuses sont remplacées par des six cordes, ça hache et en même temps on flirte avec la fibre mélodique, félicitations aux Sébastien et évidement à Julien pour sa participation sur ce titre, beaucoup plus de lignes solistiques tout au long de l’album et cela en est un régal ! En sus, un leader vocal qui porte l’ensemble et l’identité. Mais cette fin proche d’une bande son de film se savoure. Et chaque titre est somptueux !
Fin 2.
Allez au revoir.
Quoi ?
Vous voulez rester ???
Bon, ok !
CHRONIQUE LONGUE (Allez-vous chercher le pack et faites tourner le CD)
Pour les membres du groupe, leurs familles, ma charmante correctrice et femme.
La musique est parfois une thérapie, un soin aux maux de l’âme. Elle peut agir comme le tulle gras, nous envelopper de toute sa bienveillance, mais parfois ça reste du pue en dessous. Ici, dans ce château, comme dans chacun de leurs concepts, la plaie est saine, et surtout pas aseptisée, car oui c’est une entaille, c’est une faille qui se crée entre notre monde et leur monde, notre potager et leur verger.
Alors, bien entendu, pour les personnes de goûts et bizarrement moins pour celles d’égoûts. Et rappel le tulle soigne la blessure (*)… des fois qu’un Pyromane Blues, traîne dans le coin. Ayons du tulle !
(*) au passage dans les forêts où le risque de blessure existe, il y a très peu de distributeurs de Tulle, oui il manque tulle dans la forêt. Svp pas de censure, il n’y a rien de grossier, juste un acte de prévention et de sécurité ! Pyromane Blues, Aurélien en guise de métronome pour emmener le groupe Malemort dans sa version speedée, sans rien sacrifier à la mélodicité. Révérence Messieurs !
Entaille car enté pas hanté ! Malgré ce que pourrait dire la pochette et toutes les interprétations ne serait-ce qu’autour du mot « chimère ». Mais avec Malemort c’est la guérison par le son !
Le son… Leçon 1 :
- Par l’univers de ses mélodies, associé à la profondeur de ses textes, les mots se posent nous caressent ou nous griffent, nous accrochent à l’ensemble et à l’entièreté de chacune des compositions.
Leçon 2 :
- Parfois dans la douceur, à d’autres instants la rudesse et la férocité.
- Le métronome varie pour nous montrer la palette, l’échelle chromatique ou chacun exprime son art : Xavier, Sébastien B ou L, Aurélien et Shob.
Leçon 3 :
- Un voyage permanent, dans moult paysages mais un seul univers, le leur.
Malemort est une marque déposée, une signature reconnaissable à l’infini.
Parlons en sus de la pochette, la plus belle des trois. J’adore cet univers entre un Tim Burton et un Moebius, pour faire court ; amoureux des paréidolies : de la poésie et du beau glauque, régalez-vous !
Quoi que fasse l’empreinte du temps… Je M’En Irai… toujours réécouter et savourer ! Et regarder car l’objet s’admire également. Un poster que j’aurais adoré avoir dans ma chambre d’ado’, entre mes lotions Biactol et mes rouleaux de Sopalin.
Je M’En Irai c’est également le lien entre Malemort et son identité, puisé dans un tube identifiable, hexagonal et régionale, avec un Guest de LUXE : Dan Ar Braz, e-unan, oui… lui-même.
Et comme on est en 2023 : « Bloavez mad. ! »
Savoir se rapproprier sans ambages, sans faire ombrage, mais en rendant hommage.
Savourez, une fois de plus, ce magnifique solo, avant ce pont chanté. Déjà 10 ans que j’ai pris le météorite Malemort en pleine tronche et j’en redemande. Merci ! De lus les fins de titres sont hypers soignées.
Leçon 4 :
- Malemort est une marque, une signature... mais en perpétuelle évolution, et écriture, à commencer par son instrumentation, et ses guitares. D’où, d’ailleurs 10 ans nous contemplent.
Les mélodies, une versalité d’interprétation, des voyages ; une décennie pour trois œuvres majeurs du Rock français. Avec au passage un retour aux sources et au fûts pour le métronome studio originel, Aurel. Le top équilibre entre puissance et mélodie.
Malemort, c’est aussi, le sens de la composition de « l’instant », la création en point d’orgue sans carcan.
Là où certains entendent du Métal je perçois aussi parfois l’âme du Punk, de la Pop (pleine puissance, une Magnitude Pop ?) dans certains refrains, des riffs Heavy, un flirt avec ZE chanson française, IN FINE… un cocktail en guise de marque déposée.
La signature des grands. Magnitude Pop, le type même de titre où Malemort excelle, comme la piscine à débordements, le niveau maximum c’est l’émotion et ça déborde encore. Ce titre c’est le résumé de ce que faire le groupe, envoyer du bois, faire parler les individualités et flirter avec le mid-tempo.
Cet album est inévitablement une (r)évolution musicale, Les Sébastien réalisent un travail sensationnel en l’occurrence sur leurs lignes de six (cordes).
Prenons le temps (et une autre bière) pour SALUER pour l’occasion le travail de Composition de Xavier et Sébastien B.
Au milieu de ses douze cordes Shob sait faire claquer ses quatre pour donner plus d’épaisseur à cette paroi colossale, affirmer sa présence pour y donner du sens.
Plus épais que le mur de G.O.T. (Game Of Throne).
(blablabla) Pourtant une muraille de glace, de pierre et de magie. Malgré ses sept cents pieds (env. 213 mètres) de haut et cent lieues (environ 483 km) de long, c’est de l’homéopathie à côté.
De la Mousseline dilué dans l’eau de robinet, en comparaison aux pommes de terre du jardin de mamie et ses produits fermier.
Aux fûts le talent d’Aurélien conjugue parfaitement le lien et le liant avec la basse et l’ensemble, quant au troubadour : Xavier, il continue de marquer l’histoire de Malemort. Un être sans pareil. Il croît sa différence, comme référence et révérence.
Référence et révérence, pour la rime, comme par exemple mal dehors et Maldoror. Maldoror, il y a le style et la plume de Xavier avec l’effet pulsé et l’invitation au voyage, mais surtout en Live.
En sus toute l’étendue de sa poésie dans son plus profond sens mélodique, ou hargneux quand il le faut. Un éventail profond large comme un horizon, entre Sex Pistols et un Gainsbard. Les rues sombres de Londres et les éclairages d’un vieux bistrot parisien, ou ruisselle… L’Eau Des Fossés.
La liberté de l’expression musicale et des mots pour raconter la trame des histoires.
Comme des contes nocturnes d’enfants ou… d’adultes. L’eau des Fossés, cette intro magnifique, un bel arpège pour accompagner ce titre en mode Power balade. Et ce duo de six cordes pour accompagner magnifiquement ce solo tout en nuance. Malemort est devenu avec cet album un groupe ou l’identité vocale et musicale est complément similaire.
Ne perdez pas le fil, la lueur du phare. Portée par le Sémaphore. Cette lumière qui verra se frapper les vagues et la houle, mais résistera, encore et toujours au temps. Une lumière qui restera pour très longtemps. Car tour à tour la magie et la beauté en sus de la genèse historique, autour du concept et la création viendront porter ce Château Chimères. Lui rendre ce qu’il donne. Sémaphore encore un titre qui pourrait aisément faire partie de mon top titres de l’année. Et on peut goûter à la justesse de jeu de Shob. Et savourer également les apports de Mathieu.
Cet album est un puzzle de douze puzzles à assembler, un nombre de pièces avec pour chaque ensemble son propre univers et le lien avec son prochain, son authenticité et son identité.
Château Chimères : on le compose en partant de son centre, on y pause les couleurs, les décors, les personnages, son atmosphère, atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule ... ? Et on termine par son cadre. Alors, enfin l’œuvre prend tout son sens, se parachève… et se goûte. Donc on y retourne, comme après un rebond, un rebond… Comme Une Balle. Comme une balle, encore un titre mille-feuille, on déguste chaque fraction, avec le casque s’il-vous-plait. Pour le réglage du volume, c’est entre : trop fort et oreilles qui saignent ! Ces lignes solistiques sont venues titiller mon émotion lacrymale, surtout que Malemort arrive à poser des lignes de chœurs en fin de solo pour en faire un instrument supplémentaire. Le Trou de Balle que ça nous laisse !
Quand Malemort pourrait aisément se définir par sa spécificité vocale, il impose et clôture dans une apogée créative, somptueuse, en imposant l’hommage musical à un musicien pour fermer comme un épilogue son concept album ; tout simplement :
- Un dernier voyage de 277 secondes à apprécier dans sa plus grande décomposition. Terminer comme un excellent film avec une bande-son de voyage. Un générique pour le CLAP ! Inoubliable et magnifique. Décembre ! Douzième mois et douzième titre. On clôture l’année et l’album. Encore un exercice de style et de finesse. Un mois d’hiver, où on croise peu de singes, mais où tombent les verres et les canons pour réchauffer les auditeurs en terrasse.
Douze titres et pourtant le temps passe si vite, dans moult univers. Trop vite et quand le bras du vinyle, accélère sa course en fin de silence, avant de se reposer sur son support et d’arrêter la galette, on se demande : Mais pourquoi… Tu M’As Laissé Là ?
Quand tu réalises que Château Chimères est le type même d’albums que tu es obligé d’écouter d’une seule traite, tu comprends le phénomène addictif. Et le souci c’est que seul Malemort sait faire du Malemort. Lors, tu écoutes en boucle et tu te refais la discographie. Encore un titre purement hymnique, avec son flot de variations, comme ce pont vocal après son top solo. C’est en ça, dans ces phases de construction, que Malemort flirte avec le Prog. Mais plutôt très bonne école.
Comme un conte, dans une cour de miracles, où se côtoie, esprits divers et variés, richesse de diversité, un vagabond, un enfant, La Garçonne, le troubadour, au milieu de fantasmagorie, La garçonne, fait également des titres qu’on peut écouter sans jamais se lasser et à toute heure de journée. Dans ce domaine mid-tempo Malemort ou les variations musicales sont omni présentes, je suis totalement fan. La justesse et la précision pour chaque protagoniste.
Les Grands Ducs, se déplacent dans des sonorités diffuses, où traversent les mélodies de groupes, des prouesses individuelles… une nappe de violons, dans la finesse et la délicatesse du contact de la soie et des cordes, comme le jouerait Mathilde BUET, un décor cuivré comme le sont par exemple les trompettes de Mathieu DESBORDES, et des instants volés et marquants, comme le seraient des notes bavardes et loquaces mais plaisantes sur un solo de Julien LAMBERT. Il y a également dans ce titre la folie et l’adéquation entre le graphisme somptueux de Blitz’Art et la symbiose de la composition et de son interprétation.
EPILOGUE ; enfin ! C’est moi qui offre la dernière binouze.
Une façon « simple » de clôturer un album phare de cette année. Le phare, la lumière et l’éclairage si lointain. L’image, une côte Bretonne balayée par les cris de la mer, entre Douarnenez et Bénodet, non loin de Quimper. Où on pourrait croiser un personnage tel que Dan Ar Braz. Invité et inspiration pour d’une très belle pièce du puzzle.
Oui, chante, résonne ces sonorités, claquent parfois comme une bonne grosse basse, frappe comme moult caisses, déchire comme des larsens, porte comme UNE seule voix, puissante, reconnaissable, l’étendard qui rassemble l’ensemble. Le cadre nécessaire autour de ces pièces indispensables !
On entend les chopes qui s’entrechoquent et se saluent, on perçoit les trop pleins de mousses glisser sur les doigts, avant d’aller heurter le sol. Dans un fracas sourd. Le lieu, un bar, un beau bar, pas un bobard.
A la limite de la cuite d’un singe en hiver, en hiver et en Décembre !
Les murs sont épais dans cette citadelle sonore, Château d’Hérouville.
Malemort a joué, s’est bel et bien exprimé, le cocktail même si parfois explosif, et toujours empli de moult saveurs gustatives, oups, auditives.
Quelle sorte d’homme, je sais, mais QUELLE RECETTE ?
Nombres d’ingrédients, fusionnant pour notre plaisir. Un sceau, un label : Malemort !
Décembre j’entends dès le départ des sonorités façon Amicalement Vôtre. C’est musical et malgré que je sois très féru de l’identité vocale de Xavier, je savoure comme pas possible cette composition. Vous pouvez jeter aux oubliettes pas mal de titres de guitares héros, et les albums avec, car en sus de la virtuosité il y a la beauté, composée sur une page d’émotions.
Et si le doute pouvait encore planer, pour vous convaincre définitivement que le français est LA langue du Rock, de l’originalité, cet album est une obole musicale, pas Obole de thé !
Allez vaquez et apprenez le sens des ronds-points. Et surtout ACHETEZ l’indispensable !
Par contre message perso à Malemort on n’attend PLUS JAMAIS six ans ! Svp !
MAENORA Plus d'infos à propos de l'auteur ici |
Tracklist :
01. Quelle Sorte D'homme ?
02. Pyromane Blues
03. Je M'en Irai
04. Magnitude Pop
05. Maldoror
06. L'eau Des Fossés
07. Sémaphores
08. Comme Une Balle
09. Tu M'as Laissé Là
10. La Garçonne
11. Les Grands-ducs
12. Décembre
Groupe :
Chant : Xavier Malemort
Guitare rythmique/solo, claviers : Sébastien Berne
Guitare rythmique/solo : Sébastien Lafaye
Basse : Shob
Batterie : Aurélien Ouzoulias
Musiciens inviés :
Dan Ar Braz - guitare sur : Je M’En Irai ;
Mathieu Desbordes – trompettes, trombones ;
Mathilde Buet – violons ;
Julien Lambert – guitare sur : Quelle Sorte D’Homme ?
Compositions : Xavier & Sébastien B
Concepts & paroles : Xavier
Reamping mixage : Guillaume Doussaud (Swan Sound Studio)
Mastering : Alain Douches (West West Side Music)
Dessins : Bliz’Art
Mise en page : Amandine Gombert / Bliz’Art
Sortie : 09/09/2022
LABEL: AUTOPRODUCTION
Discographie :
French Romances (2012)
Ball Trap (2016)
Château-Chimères (2022)
Communiqués de presse : 06/09/2022 - Le groupe MALEMORT a sorti son nouvel album Château-Chimères le 9 septembre 2022. Découvrez-le et écoutez-le intégralement dans la vidéo playlist ci-dessous.
Loin du featuring artificiel , cette participation est le fruit d'un hasard rocambolesque, que le groupe relate dans la description youtube !
Sur l'album "Château-Chimères", parmi les douze épisodes relatant l'histoire folle du château d'Hérouville, figure le single "Je m'en irai", dont l'histoire n'est pas banale. En pleine écriture, un malicieux hasard nous permit de croiser la route de Dan Ar Braz, le grand musicien breton, qui se trouve avoir enregistré de nombreux albums au Château dans les 70's/80's!!!!! Notre amitié naissante donna vie, au fil des semaines, à cette chanson sur laquelle Dan nous fit le cadeau d'ajouter sa guitare rêveuse.
Nous lui en sommes infiniment reconnaissants.
Réalisateur: Ronan Lagadec
Lumières: David Girodon/Lucie de la Girouardière
Paroles: Xavier Malemort Musique: Xavier Malemort/Sébastien Berne
Musiciens: Xavier Malemort Sébastien Berne Sébastien Lafaye Dan Ar Braz Romain Sauvageon Jiu Gebenholtz
Remerciements: Mairie d'Auvers sur Oise, Thierry, Patrick Dumeige, les Editions Hurlantes, Guillaume Doussaud.
Les fans peuvent enfin découvrir le clip décalé du nouveau single et précommander le troisième album, ainsi que son merch, durant 40 jours, grâce à une campagne kisskissbankbank :
https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/malemort-chateau-chimeres
Les heureux contributeurs recevront leur commande quelques jours avant la sortie du disque, début septembre … une vraie avant-première !
Quelques infos sur ce disque attendu
Titré « Château-Chimères », il retrace le destin aussi fou que tragique du château d’Hérouville… L’artwork a été confié au dessinateur Blitz’Art, dont l’univers se situe à la croisée de Tim Burton et d’Alice au pays des merveilles, le tout saupoudré d’humour noir.
Quant au disque, il a été mixé au Swan Sound Studio (Headcharger, Burning Heads) et masterisé par Alan Douches (Mastodon, Leprous, Motörhead…).
Quelle sorte d'homme , premier single du troisième album de Malemort, "Château-Chimères", à paraître début septembre 2022.
Des douze épisodes retraçant à travers ce disque le destin extraordinaire du château d'Hérouville , ce premier volet joue avec les codes des films de polar des années 50-60's.
En effet, l'excentrique compositeur Michel Magne, propriétaire du château, en a écrit les bandes-son, avant d'ouvrir un studio qui accueillera Bowie, Iggy Pop, Pink Floyd et bien d'autres...
Pour ce qui est du texte, certains d'entre vous repéreront l'astuce.
Réalisateur: Vincent Bordes Directeur de la Photographie: Jean Yves Ricci Maquillage: Christelle Sébastien Accessoiristes: Armen Balayan, Christelle Sébastien, Caroline Napora Merci aux Editions Hurlantes, à la mairie d'Auvers sur Oise, à la Compagnie du Costume. Album "Château-Chimères mixé au Swan Sound Studio, masterisé par Alan Douches.
Musiciens invités: Trompette: Mathieu Debordes Guitare: Julien Lambert
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