Les influences Uriah Heep de l'album précédent se sont ici estompées, même si Steve Bettney fait toujours penser à Byron et qu'il y a parfois quelques touches de classic keyboards de Paul Bradder. La modernité dans le son, la présence de ROBIN BECK est un sacré plus, et les compos de ROB BENDELOW sont béton. Bref je rejoins complètement Eric et Rémi, superbe album, vive Marilyn !!!
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