Moi perso’ depuis que j’ai fait connaissance de ce site et son prédécesseur ; c’est vachement mieux ! Plus de bouses qui franchissent le seuil de ma porte. Pénètrent … ma boite … aux lettres. Alors, dans ma grande générosité j’essaye de livrer mes gros coups de cœur : avec cet album ; on touche quasiment dans mon top trois de ces 10 – 15 dernières années. (Confidence pour confidence, j'arrive à mettre beaucoup d'albums dans mon top 3 ;-) ... ).
Bah, quoi moi aussi j’ai des vieux albums et avec ce Jade je t’offre une pierre précieuse. Quoi ? Un jeu de mots ? Désolé pas fait exprès …
Pourquoi un Must ! La raison est simple, ici ; la frontière est très fine entre A.O.R. et hard mélodique. De plus, trois raisons pour avaliser mes dires :
1 - Une orchestration de haute volée,
2 - Une voix imparable,
3 - Un lead guitare … monstrueux.
On démarre par deux titres hyper pulsés, Northern Light & Time, quand arrive No Way Out le premier mid tempo’, servi royalement par un grain de voix très proche d’un Timothy B.Schmidt, des chœurs que ne renieraient pas le non moins fameux groupe d’où il œuvre en tant que bassiste et vocal. Je vous aide ça commence par « Ea » et ça fini par « gles ». Basse – voix ; comme pour Pete, sauf qu’ici le chant est zone réservée. Pour Love In Vain le mid se fait ballade.
Power Of Gold, on remet une buche dans le feu et on nous sert un « mid » pulsé ; recette « hymnique » et quand Birch, peut délivrer quelques notes avec une route tracée de silence vocal pendant qu’il fait parler la six cordes, je savoure ! Car je dois l’avouer, la seule faute de l’album consiste à faire du chant comme sur Northern Light ; alors que la gratte est magnifique. Le seul moment où j’ai eu envie de lui dire : « T’es gentil, tu chantes bien Pete ; mais si tu pouvais fermer ta gueule ; juste deux secondes … là … j’écoute ! »
Where There Is A Will, la recette est maîtrisée, c’est décidé ; il n’y aura pas de morceau faible … lecteur, lectrice si tu voulais faire des économies il ne fallait pas me lire. Car si un son de voix cristallin ; t’apprécies … ce Cd, obligatoirement ; tu achèteras ! Ainsi parlait Maënora !
Time And Again ; départ rythme batterie – piano … la guitare vient saupoudrer avec un riff ce départ et la voix, j’ai envie de dire « quasi unique » de Pete vient sublimer le couplet ; alors le refrain n’a plus qu’à dérouler le tapis pour en faire un « TitrKiKollAllaTeutête » pour des heures, des jours.
Nights In Mexico, attention ! Vient la ballade, j’ai nommé THE ballade de chez ballade ; avec ce genre de slow … je t’assure que le crapaud n’aurait pas eu besoin de faire une promesse à la con à la princesse pour l’emballer. Avec ce titre « lecteur », si tu l’offres à bobonne ; tu vas pouvoir continuer à regarder tes matchs de foot, tes pieds sur la table de salon et la canette sur l’accoudoir ! Pendant que maman, ne te demandera même pas de lever les jambes pour « jouer » avec son aspirateur. Bon, je l’écris mais j’ai pas pu tester ; Mme Maënora a arrêté la bière.
Quant à toi « lectrice », tu pourras te faire remplacer par ta mère, pour la scène de l’aspirateur. Et si tu es blonde avec (mince, j’ai oublié la suite) … demande 36.15 code Maënora ; si j’ai fini l’aspirateur je te rappelle
Can’t Stop Lovin’ You, il y a une fin à tout ; même la plus belle ballade, forcément il faut se remettre de ses fantasmes ; on ne peut pas finir un album avec cinq ballades. Mais, comme ils sont très fort chez Jade : On trouve un bel équilibre et on enchaine avec un hard F.M enlevé, bien comme il faut. Ils sont vraiment précieux chez Jade. J’en suis vert !
Alone, petit flashback ; un tempo bien enlevé dans l’esprit des deux premiers titres. Dans ce domaine, Jade ne doit pas avoir beaucoup de concurrence. J’adore … serait un doux euphémisme. Faut que j’arrête d’écouter je fais une pause ……Désolé j’en ai encore les tétons qui pointent ! Et cette gratte ; quel bonheur … Tout est parfait, couplet, refrain ! Et c’est dans MON lecteur.
All In Disguise, premier effet de voix pour l’intro’; ce qui n’a aucune valeur ajoutée, à mon avis, pour un mec de ce calibre ; mais vu qu’un certain Jon du New Jersey en use … pourquoi se priver ?
Moods ; une instrumentale très dans l’esprit du Flying In The Blue Dream de Satch pour finir ce superbe album . que Satch lui-même, n’aurait pas mieux joué ; d’ailleurs le morceau a été composé par le guitariste. Un titre musical de TRèS grande qualité instrumentale ; dans sa composition, mais aussi tout aussi bien dans son interprétation. Le morceau se veut très mélodique, tempo retenu pour donner plus de nuances d’émotions. Dans son genre un modèle !
Puis, en bonus (légèrement caché) chez lui, dans son salon au pied de sa cheminée, Pete nous fait son piano voix, on l’entend tousser, les ouïes les plus fines entendrons un léger pet feutré (j’ai une très bonne installation Hi-Fi) … Pour peaufiner le tout ; la magie de la grande improvisation, avec le son crin crin (oui c’est ça … bien pourri) et qui va bien avec le style. Encore la chanson qu’un Papa livre en obole à son enfant. Ou un pari à la con perdu ?
Bon, lectrice, lecteur, tu l’auras compris … cet album est un cinq étoiles. Pete n’a pas fait mieux à ma connaissance, ni avant, ni après. Alors, si tu as un album du sieur et que tu aimes ; dis-toi que là … c’est 100 fois mieux et si t’as déjà entendu un truc que tu n’avais pas aimé ; dis-toi … que ça n’a rien à voir avec cette œuvre.
Bah, quoi moi aussi j’ai des vieux albums et avec ce Jade je t’offre une pierre précieuse. Quoi ? Un jeu de mots ? Désolé pas fait exprès …
Pourquoi un Must ! La raison est simple, ici ; la frontière est très fine entre A.O.R. et hard mélodique. De plus, trois raisons pour avaliser mes dires :
1 - Une orchestration de haute volée,
2 - Une voix imparable,
3 - Un lead guitare … monstrueux.
On démarre par deux titres hyper pulsés, Northern Light & Time, quand arrive No Way Out le premier mid tempo’, servi royalement par un grain de voix très proche d’un Timothy B.Schmidt, des chœurs que ne renieraient pas le non moins fameux groupe d’où il œuvre en tant que bassiste et vocal. Je vous aide ça commence par « Ea » et ça fini par « gles ». Basse – voix ; comme pour Pete, sauf qu’ici le chant est zone réservée. Pour Love In Vain le mid se fait ballade.
Power Of Gold, on remet une buche dans le feu et on nous sert un « mid » pulsé ; recette « hymnique » et quand Birch, peut délivrer quelques notes avec une route tracée de silence vocal pendant qu’il fait parler la six cordes, je savoure ! Car je dois l’avouer, la seule faute de l’album consiste à faire du chant comme sur Northern Light ; alors que la gratte est magnifique. Le seul moment où j’ai eu envie de lui dire : « T’es gentil, tu chantes bien Pete ; mais si tu pouvais fermer ta gueule ; juste deux secondes … là … j’écoute ! »
Where There Is A Will, la recette est maîtrisée, c’est décidé ; il n’y aura pas de morceau faible … lecteur, lectrice si tu voulais faire des économies il ne fallait pas me lire. Car si un son de voix cristallin ; t’apprécies … ce Cd, obligatoirement ; tu achèteras ! Ainsi parlait Maënora !
Time And Again ; départ rythme batterie – piano … la guitare vient saupoudrer avec un riff ce départ et la voix, j’ai envie de dire « quasi unique » de Pete vient sublimer le couplet ; alors le refrain n’a plus qu’à dérouler le tapis pour en faire un « TitrKiKollAllaTeutête » pour des heures, des jours.
Nights In Mexico, attention ! Vient la ballade, j’ai nommé THE ballade de chez ballade ; avec ce genre de slow … je t’assure que le crapaud n’aurait pas eu besoin de faire une promesse à la con à la princesse pour l’emballer. Avec ce titre « lecteur », si tu l’offres à bobonne ; tu vas pouvoir continuer à regarder tes matchs de foot, tes pieds sur la table de salon et la canette sur l’accoudoir ! Pendant que maman, ne te demandera même pas de lever les jambes pour « jouer » avec son aspirateur. Bon, je l’écris mais j’ai pas pu tester ; Mme Maënora a arrêté la bière.
Quant à toi « lectrice », tu pourras te faire remplacer par ta mère, pour la scène de l’aspirateur. Et si tu es blonde avec (mince, j’ai oublié la suite) … demande 36.15 code Maënora ; si j’ai fini l’aspirateur je te rappelle
Can’t Stop Lovin’ You, il y a une fin à tout ; même la plus belle ballade, forcément il faut se remettre de ses fantasmes ; on ne peut pas finir un album avec cinq ballades. Mais, comme ils sont très fort chez Jade : On trouve un bel équilibre et on enchaine avec un hard F.M enlevé, bien comme il faut. Ils sont vraiment précieux chez Jade. J’en suis vert !
Alone, petit flashback ; un tempo bien enlevé dans l’esprit des deux premiers titres. Dans ce domaine, Jade ne doit pas avoir beaucoup de concurrence. J’adore … serait un doux euphémisme. Faut que j’arrête d’écouter je fais une pause ……Désolé j’en ai encore les tétons qui pointent ! Et cette gratte ; quel bonheur … Tout est parfait, couplet, refrain ! Et c’est dans MON lecteur.
All In Disguise, premier effet de voix pour l’intro’; ce qui n’a aucune valeur ajoutée, à mon avis, pour un mec de ce calibre ; mais vu qu’un certain Jon du New Jersey en use … pourquoi se priver ?
Moods ; une instrumentale très dans l’esprit du Flying In The Blue Dream de Satch pour finir ce superbe album . que Satch lui-même, n’aurait pas mieux joué ; d’ailleurs le morceau a été composé par le guitariste. Un titre musical de TRèS grande qualité instrumentale ; dans sa composition, mais aussi tout aussi bien dans son interprétation. Le morceau se veut très mélodique, tempo retenu pour donner plus de nuances d’émotions. Dans son genre un modèle !
Puis, en bonus (légèrement caché) chez lui, dans son salon au pied de sa cheminée, Pete nous fait son piano voix, on l’entend tousser, les ouïes les plus fines entendrons un léger pet feutré (j’ai une très bonne installation Hi-Fi) … Pour peaufiner le tout ; la magie de la grande improvisation, avec le son crin crin (oui c’est ça … bien pourri) et qui va bien avec le style. Encore la chanson qu’un Papa livre en obole à son enfant. Ou un pari à la con perdu ?
Bon, lectrice, lecteur, tu l’auras compris … cet album est un cinq étoiles. Pete n’a pas fait mieux à ma connaissance, ni avant, ni après. Alors, si tu as un album du sieur et que tu aimes ; dis-toi que là … c’est 100 fois mieux et si t’as déjà entendu un truc que tu n’avais pas aimé ; dis-toi … que ça n’a rien à voir avec cette œuvre.
Label : | Point Music/AOR Heaven |
Sortie : | 2001 |
Production : | Anders « Thee » THEANDER |
Discographie : |
Alien Alien (????) |
Notes des visiteurs : |
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