Cette petite chronique pour rendre deux hommages.
Le premier à un ex Cross rockeurs dont le surnom est Boblama qui n’a plus donné signe de vie depuis un bail et qui je sais appréciait énormément cet album. Ce type manque véritablement sur notre site préféré tant sa culture musicale au niveau pop rock est immense. J’espère juste qu’il va bien et si tu me lis, mon gars, ça serait bien que tu redonnes des news au milieu de tes lamas !!!!
Second hommage à l’album en lui-même celui d’un groupe Anglais nommé Royworld qui en 2008 sort son premier essai Man In The Machine. Parce qu’on ne peut pas tout acheter, j’ai découvert cet ovni il y a peu et je me devais de faire part de mon enthousiasme devant cet opus absolument inclassable mais au combien magnifique.
Ce sont vraiment des extras terrestres qui nous proposent cet objet. Une pop très travaillée genre New Wave des années 80 et de l’autre un coté prog que n’aurait pas renié des types comme Peter Gabriel ou bien Kip Winger en solo. Il faut ajouter à cela un chanteur Rod Futrille à la voix rappelant celle de Bryan Ferry avec ce côté dandy et vous aurez un cocktail détonnant et totalement original.
Comme un disque de bon rock progressif, il est délicat de vous parler en détail des différents titres tellement ceux-ci renferment de surprises musicales et vocales. Mais dès les premières notes d’Elasticity, vous comprendrez mieux ce qui vous attend. Le morceau est court mais propose une sorte de synthèse de ce qui va suivre.
Attention, il ne faut pas croire que les mélodies sont absentes et c’est bien là que le groupe se surpasse. On pourrait croire au vu de la complexité de leur musique que l’on est que dans le coté expérimental, pas du tout. Des titres comme Dust, Science, Transmission ou bien Man in The Machine sont hyper mélodiques.
Ca ne plaira peut être pas à tout le monde tellement leur univers est particulier mais franchement, faites-moi plaisir, jetez une oreille sur ce Man In The Machine. J’attends d’ailleurs avec impatience leur second essai pour m’en prendre encore pleins les oreilles. Tel un Fréderic Lopez sous acide, avec ce Royworld c’est « Rendez-vous en terre inconnue » !!!
Second hommage à l’album en lui-même celui d’un groupe Anglais nommé Royworld qui en 2008 sort son premier essai Man In The Machine. Parce qu’on ne peut pas tout acheter, j’ai découvert cet ovni il y a peu et je me devais de faire part de mon enthousiasme devant cet opus absolument inclassable mais au combien magnifique.
Ce sont vraiment des extras terrestres qui nous proposent cet objet. Une pop très travaillée genre New Wave des années 80 et de l’autre un coté prog que n’aurait pas renié des types comme Peter Gabriel ou bien Kip Winger en solo. Il faut ajouter à cela un chanteur Rod Futrille à la voix rappelant celle de Bryan Ferry avec ce côté dandy et vous aurez un cocktail détonnant et totalement original.
Comme un disque de bon rock progressif, il est délicat de vous parler en détail des différents titres tellement ceux-ci renferment de surprises musicales et vocales. Mais dès les premières notes d’Elasticity, vous comprendrez mieux ce qui vous attend. Le morceau est court mais propose une sorte de synthèse de ce qui va suivre.
Attention, il ne faut pas croire que les mélodies sont absentes et c’est bien là que le groupe se surpasse. On pourrait croire au vu de la complexité de leur musique que l’on est que dans le coté expérimental, pas du tout. Des titres comme Dust, Science, Transmission ou bien Man in The Machine sont hyper mélodiques.
Ca ne plaira peut être pas à tout le monde tellement leur univers est particulier mais franchement, faites-moi plaisir, jetez une oreille sur ce Man In The Machine. J’attends d’ailleurs avec impatience leur second essai pour m’en prendre encore pleins les oreilles. Tel un Fréderic Lopez sous acide, avec ce Royworld c’est « Rendez-vous en terre inconnue » !!!
Label : | |
Sortie : | 2008 |
Production : | Andy Green |
Discographie : |
Man In The Machine (2008) |
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