C’est un groupe à part entière qui l’accompagne dans ce projet, Andi le présente ainsi et a eu l’occasion d’expliquer les circonstances de sa formation : "Ça fait des années que je cherchais un groupe (sur toute la planète) à qui je pouvais demander d'enregistrer un album avec moi, pour finalement les trouver sur la petite île dans laquelle j'habite depuis tout juste quelques mois. Ce qui est excitant, c’est le fait que les gars ont entre 19 et 22 ans. Vous n'allez pas le croire quand vous écouterez les chansons!"
Quand au curieux nom du groupe, il se justifie : "Évidemment, nous méprisons tout ce qui tourne autour des banques, les gestionnaires et les banquiers qui sont clairement responsables de la merde qui se passe de nos jours (et très certainement de notre avenir), de sorte que ça fait du bien de leur dire vocalement ce que nous pensons d'eux. Bien sûr, c'est très explicite, mais la musque aide à leur botter les fesses. "
Coq entame les hostilités d’une manière à la fois agressive (les banquiers sont en ligne de mire !) et moderniste, même dans la façon de chanter, on penserait presque sur le coup à Rob Zombie ! Will We Never Change revient momentanément à un hard rock mélodique plus classique, alors que Banker's Delight remet le cap sur des riffs plus modernistes et heavy. Ces jeunes musiciens sont en effet très pros, difficile d’imaginer en écoutant la qualité de leur jeu leur si jeune age. La production quant à elle est irréprochable, le son a de la consistance. Après la super power ballade Blind, on a droit à Don't Listen to the Radio (TWOTW 1938), un véritable tube qui pourrait passer en radio, malgré les préconisations du titre ! Le reste de l’album s’inscrit dans un hard rock mélodique avec parfois forcément quelques allures de Helloween, très mélodique et accrocheur, l’album se termine sur un titre plus intimiste, I Sing Myself Away, accompagné à la guitare acoustique.
Finalement une très bonne surprise que cette galette, les banquiers ont été une source d’inspiration efficace, et Andi montre qu’en dehors du formatage des citrouilles, il peut nous proposer un jeu plus personnel et varié.
Quand au curieux nom du groupe, il se justifie : "Évidemment, nous méprisons tout ce qui tourne autour des banques, les gestionnaires et les banquiers qui sont clairement responsables de la merde qui se passe de nos jours (et très certainement de notre avenir), de sorte que ça fait du bien de leur dire vocalement ce que nous pensons d'eux. Bien sûr, c'est très explicite, mais la musque aide à leur botter les fesses. "
Coq entame les hostilités d’une manière à la fois agressive (les banquiers sont en ligne de mire !) et moderniste, même dans la façon de chanter, on penserait presque sur le coup à Rob Zombie ! Will We Never Change revient momentanément à un hard rock mélodique plus classique, alors que Banker's Delight remet le cap sur des riffs plus modernistes et heavy. Ces jeunes musiciens sont en effet très pros, difficile d’imaginer en écoutant la qualité de leur jeu leur si jeune age. La production quant à elle est irréprochable, le son a de la consistance. Après la super power ballade Blind, on a droit à Don't Listen to the Radio (TWOTW 1938), un véritable tube qui pourrait passer en radio, malgré les préconisations du titre ! Le reste de l’album s’inscrit dans un hard rock mélodique avec parfois forcément quelques allures de Helloween, très mélodique et accrocheur, l’album se termine sur un titre plus intimiste, I Sing Myself Away, accompagné à la guitare acoustique.
Finalement une très bonne surprise que cette galette, les banquiers ont été une source d’inspiration efficace, et Andi montre qu’en dehors du formatage des citrouilles, il peut nous proposer un jeu plus personnel et varié.
Label : | earMUSIC |
Sortie : | 2013 |
Production : | n/a |
Discographie : |
Come in from the Rain (1997) |
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