Scintilla est un thriller de science-fiction, dont l’action se situe dans l'ancien Etat soviétique.
Des expériences génétiques étranges s’y déroulent. Un mercenaire est chargé de percer l’organisation scientifique qui mène ces expériences dans un laboratoire souterrain secret et avec son équipe d’y voler les résultats de recherches. Le chemin n’est pas aisé et parsemé de milices dangereuses impliquées dans une guerre civile sanglante, d'étranges monstres rôdent dans les tunnels abandonnés d’un ancien bunker soviétique… Finalement ils rencontrent le scientifique exécutant les expériences génétiques et son terrible secret…
Ce film a inspiré un supergroupe nouvellement formé THE SCINTILLA PROJECT, mené par Biff Byford avec à la clé cet album concept The Hybrid . Les titres sont co-produits par le célèbre producteur britannique Andy Sneap, qui, en plus de seconder Biff, y joue aussi de la guitare.
Biff Byford précise:.. " Lionel Hicks m’a été présenté par Toby Jepson pendant l'enregistrement de Call To Arms. Il a été amené à écrire une chanson pour le film de Lionel Hicks "Scintilla" Puis nous avons commencé à travailler sur l’idée que nous pourrions mettre sur pied un concept album basé sur le film, si je faisais une pause dans l'écriture avec SAXON, et j'ai décidé que j'allais produire et chanter aussi sur l'album. J'ai demandé à Andy Sneap de co-produire et jouer de la guitare sur certains morceaux ".
Cette parenthèse de Biff dans la story de Saxon est plutôt réussie. L’album s’ouvre sur un brillant Scintilla (One Black Heart), hard et heavy à souhait, on n’est pas vraiment dépaysé, si ce n’est que les claviers sont très présents, pour notre plus grand plaisir. Le tout aussi excellent Beware The Children accentue le côté arrangements orchestraux, une coloration symphonique que Biff utilise ponctuellement dans Saxon,et qui est ici beaucoup plus prononcée, concept album oblige. Permanence donne l’occasion à Andy Sneap de nous offrir un superbe solo, et après l’enchainement d’une excellente ballade Some Nightmare et du très efficace hard / speed Angels, le groupe nous offre un Pariah à développement progressif dans un style que ne renierait pas un Dream Theater. La dernière partie est un peu moins passionnante mais comporte encore quelques moments intenses comme Life In Vain et son break au piano.
Une bonne surprise que cet opus, c’est toujours un bonheur de retrouver Biff, qui s’est bonifié avec le temps, et dans un contexte un peu différent que Saxon, mais tout aussi passionnant.
Ce film a inspiré un supergroupe nouvellement formé THE SCINTILLA PROJECT, mené par Biff Byford avec à la clé cet album concept The Hybrid . Les titres sont co-produits par le célèbre producteur britannique Andy Sneap, qui, en plus de seconder Biff, y joue aussi de la guitare.
Biff Byford précise:.. " Lionel Hicks m’a été présenté par Toby Jepson pendant l'enregistrement de Call To Arms. Il a été amené à écrire une chanson pour le film de Lionel Hicks "Scintilla" Puis nous avons commencé à travailler sur l’idée que nous pourrions mettre sur pied un concept album basé sur le film, si je faisais une pause dans l'écriture avec SAXON, et j'ai décidé que j'allais produire et chanter aussi sur l'album. J'ai demandé à Andy Sneap de co-produire et jouer de la guitare sur certains morceaux ".
Cette parenthèse de Biff dans la story de Saxon est plutôt réussie. L’album s’ouvre sur un brillant Scintilla (One Black Heart), hard et heavy à souhait, on n’est pas vraiment dépaysé, si ce n’est que les claviers sont très présents, pour notre plus grand plaisir. Le tout aussi excellent Beware The Children accentue le côté arrangements orchestraux, une coloration symphonique que Biff utilise ponctuellement dans Saxon,et qui est ici beaucoup plus prononcée, concept album oblige. Permanence donne l’occasion à Andy Sneap de nous offrir un superbe solo, et après l’enchainement d’une excellente ballade Some Nightmare et du très efficace hard / speed Angels, le groupe nous offre un Pariah à développement progressif dans un style que ne renierait pas un Dream Theater. La dernière partie est un peu moins passionnante mais comporte encore quelques moments intenses comme Life In Vain et son break au piano.
Une bonne surprise que cet opus, c’est toujours un bonheur de retrouver Biff, qui s’est bonifié avec le temps, et dans un contexte un peu différent que Saxon, mais tout aussi passionnant.
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